QSTP,sujet n°2, 08 09
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TRAVAIL PREPARATOIRE : (10 points)
Vous répondrez à chacune des questions en une dizaine de lignes maximum.
1. Quelle est la signification économique du taux de marge pour une entreprise ? (document 1) 1 pt.
2. Comparez l’évolution du taux de marge à celle du taux d’investissement (document 1) 2 pts.
3. Expliquez la phrase soulignée dans le document 2. 2 pts.
4. Quels avantages les entreprises endettées retirent-elles d’une amélioration de leur rentabilité ? (document 2) 2
pts.
5. Expliquez la corrélation entre l’évolution du taux d’utilisation des capacités de production dans l’industrie
(document 3) et celle du taux d’investissement (document 1). 1 pt.
6. Expliquez la phrase soulignée dans le document 4. 2 pts.
QUESTION DE SYNTHESE : (10 points)
Vous montrerez que la hausse de la rentabilité des entreprises peut favoriser la reprise de leurs investissements,
mais qu’elle n’en est pas une condition suffisante.
DOSSIER DOCUMENTAIRE
Document 1 Document 3 (INSEE, « Etat de la France 2000 »)
Document 2
L’anticipation de la demande des entrepreneurs joue le rôle le plus important dans la détermination de
l’investissement. En période de faible croissance ou de récession, il est raisonnable de penser que les entreprises
adoptent une stratégie d’investissement prudente ; elles ne cherchent pas à augmenter leurs capacités de
production et parfois même, elles ne renouvellent pas les équipements devenus obsolètes. A l’inverse, en période
de croissance soutenue, les entreprises ont intérêt à accroître leurs capacités de production afin de bénéficier de la
hausse de la demande.[…] L’investissement d’une entreprise peut aussi être déterminé par les conditions de son
financement. Pour investir, en effet, l’entreprise dispose en priorité de ses ressources propres ; si celles-ci s’avèrent
insuffisantes, elle doit emprunter auprès des banques ou, si sa taille est suffisante, sur les marchés financiers.
Beaucoup dépend alors de sa capacité à rembourser les emprunts arrivant à échéance et les frais financiers ; les
profits qu’elle dégage et son niveau d’endettement sont des indicateurs de cette capacité. Les entreprises dont la
situation est favorable de ce point de vue obtiennent des financements externes à des conditions avantageuses ;
celles qui offrent des garanties insuffisantes rencontrent plus de difficultés. L’Economie française 1999-2000, INSEE
Document 4
Le redémarrage de l’investissement s’est affirmé en 1998. […] D’abord, l’accélération de l’activité a poussé les
entreprises à s’équiper pour étendre leur capacité de production. Ensuite, les taux d’intérêt réels, qui étaient restés
élevés malgré le retrait important des taux nominaux depuis 1993, se sont repliés significativement. […] Ce repli des
taux d’intérêt réels a redonné de l’attrait au rendement des activités productives.
OFCE, L’Economie française 1999, La Découverte.
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CORRECTION QS : montrez que la hausse de la rentabilité des entreprises peut favoriser la
reprise de leurs investissements, mais qu’elle n’en est pas une condition suffisante.
TRAVAIL PRÉPARATOIRE :
Question 1 : Le taux de marge des sociétés non financières est le rapport de leur excédent brut d'exploitation (la valeur
ajoutée de laquelle a été déduite le paiement des salaires, des charges sociales et des impôts sur production) à la valeur
ajoutée (VA) (en %). C'est un indicateur de profit , puisqu'il mesure la part de la VA restant à l'entreprise et permettant
de rémunérer le facteur capital dans sa globalité. En d'autres termes, il indique la proportion de richesse disponible pour
rémunérer les créanciers, les propriétaires de l'entreprise (les actionnaires pour une société anonyme), l'État et
l'entreprise elle-même (sous la forme de bénéfice en réserve).
Question 2 : Les variations du taux de marge et du taux d’investissement vont de pair mais sans pour autant être
strictement parallèles.
Globalement, la baisse du taux de marge de 1970 à 1982 (- 5 points) va de pair avec une baisse du taux d'investissement,
(4 points) alors que la forte remontée du taux de marge depuis 1982 (7 points) s’accompagne d'une hausse du taux
d'investissement (mais seulement à partir de 1984) jusqu'en 1990, mais de moindre ampleur (2 points)
De 1984 à 1990 le taux d'investissement demeure plus faible qu'il ne l'était pendant les Trente Glorieuses, alors que le
taux de marge atteint des sommets inégalés.
À partir de 1990, le taux de marge se maintient à des niveaux élevés (entre 32 et 33 % de la VA), mais le taux
d'investissement subit des variations sensibles: il diminue de 1992 à 1997, pour repartir à la hausse en 1998. (Mais avec 4
points de moins que son niveau de 1970).
Donc le lien est moins net sans doute que d’autres facteurs comme la demande anticipée jouent un rôle plus important.
Question 3 : Pour décider d'un investissement nouveau, un chef d'entreprise envisage avant tout quel sera l'état de son
carnet de commandes. Il se projette dans un avenir à court terme et, selon que ses anticipations seront ou non optimistes,
il décidera ou non d'engager une dépense en capital.
Conformément à l'analyse keynésienne, les perspectives d'avenir, c'est-à-dire les débouchés prévus par les chefs
d'entreprise avant la décision d'engager un nouveau capital, seraient donc primordiales par rapport aux autres
déterminants de l'investissement. La demande effective détermine la quantité à produire. Ainsi, s’il faut produire plus,
l’entreprise va embaucher et investir. Inversement, si l’entreprise anticipe une récession, elle n’investira pas.
Question 4 : L’amélioration de la rentabilité se traduit par une hausse des profits. En période de taux d’intérêt élevés, les
entreprises peuvent déjà souhaiter se désendetter pour diminuer les charges financières qui pèsent sur elles. Elles le
feront d’autant plus facilement que la demande sera atone.
Mais les entreprises qui améliorent leur rentabilité peuvent aussi assainir leur bilan et ainsi obtenir plus facilement de
nouveaux financements externes: les prêts bancaires sont obtenus à des conditions plus favorables (taux d'intérêt plus
faibles car risque moindre). Les épargnants sont attirés par la hausse des profits et cela rend plus facile le financement
sur le marché financier. Cette hausse des profits favorise également la reconstitution de la marge d'autofinancement des
entreprises.
Donc cela élargit le choix des financements possibles pour l’entreprise.
Question 5 : On constate que la forte augmentation de l'investissement productif de 1986 à 1990, accompagnant la
croissance soutenue, et depuis 1994 (document 1) correspond à un taux d'utilisation croissant des capacités de production.
Plus ce taux s'élève, plus le rythme de croissance de l'investissement s'accélère (taux d'utilisation proche de 90 % en
1989 correspondant à un pic de l'investissement). À l'inverse, la baisse du taux d'investissement (de 1992 à 1994) se
conjugue à un taux d'utilisation des capacités productives beaucoup plus faible (creux en 1993).
On peut logiquement penser que la décision d'engager un investissement nouveau suppose une utilisation optimale des
capacités de production déjà existantes. A capacité de production inutilisée, toute augmentation ponctuelle de la demande
peut être satisfaite. Si la demande est forte et durable et dépasse les capacités de production alors l’investissement peut
se justifier (ref à l’accélérateur)
Question 6 : Le repli des taux d'intérêt réels signifie une baisse des taux d'intérêt nominaux déflatés, c'est-à-dire
desquels on a enlevé la hausse des prix. Le contexte de reprise économique permettant d’escompter une hausse des
profits, cette baisse des taux d'intérêt réels favorise les investissements productifs au détriment des placements
financiers puisque la profitabilité des entreprises se relève. Elle pousse également les entreprises à s'endetter de nouveau
pour profiter d'un effet de levier, c'est-à-dire d'une situation dans laquelle l'endettement accroît la rentabilité des
capitaux propres (la rentabilité éco des investissements apparaissait supérieure aux taux d’intérêt réels en baisse).
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QUESTION DE SYNTHESE :
INTRODUCTION : Repartira ou ne repartira pas ? L’investissement, depuis la fin des années 70 n’arrête pas de faire de
faux départs. L’investissement immatériel et l’investissement direct à l’étranger prennent une place croissante dans
l’économie mais l’investissement matériel (flux qui permet de renouveler ou d’accroître le stock de capital technique) reste
le plus important. Il est vrai que la décision d’investir pour une entreprise est irréversible et que les entrepreneurs aiment
les risques calculés.
La politique française, depuis les années 80 est une politique en faveur d’un partage de la valeur ajoutée au profit des
entreprises, dans l’optique que le rétablissement des profits des entreprises et ainsi le redressement de leur rentabilité
(cad leur capacité à générer des profits à partir des capitaux engagés dans leur activité productive) permettrait une
reprise de l’investissement dont la faiblesse inquiétait à juste titre.
La hausse de la rentabilité des entreprises suffit-elle pourtant à la reprise des investissements ?
Nous montrerons que si la hausse de la rentabilité des entreprises peut favoriser la reprise de leurs investissements, elle
n’en est pas une condition suffisante.
I/ La hausse de la rentabilité des entreprises peut favoriser la reprise de leurs investissements.
A. Empiriquement, on peut constater une similitude dans l'évolution des deux variables.
- Une baisse de la rentabilité des entreprises va de pair avec une faible croissance de l'investissement productif...
(Questions 1 et 2)
- ... alors que la reconstitution des marges bénéficiaires s'accompagne d'une croissance de l'achat de capital fixe
(questions 1 et 2).
B. La hausse de la rentabilité des entreprises favorise l'assainissement de leur situation financière et permet un
autofinancement plus important, ce qui encourage l'achat de capital fixe.
- La hausse du taux de marge permet aux entreprises de se désendetter, et par conséquent de contracter de nouveaux
emprunts à plus faibles taux d'intérêt et d’attirer de nouveaux investisseurs en cas d’augmentation du capital (émission de
nouvelles actions). (question 4)
- ... et elle favorise la constitution d'une épargne permettant aux entreprises de s'autofinancer en partie (question 4).
- Un partage de la VA en faveur des entreprises (hausse du taux de marge) permet aux entreprises d’escompter des
profits futurs plus élevés (hausse de la rentabilité éco de leurs investissements).
Transition : Pourtant, on constate que depuis les 90’s, alors que la rentabilité des entreprises est bonne, le taux
d’investissement demeure bien en deçà de son niveau de 1970.
II/ Cependant, une rentabilité accrue des entreprises n'est pas une condition suffisante à la reprise de
l'investissement.
A. Sans une demande suffisante et durable, les entreprises n'investissent pas, car il leur suffit d'accroître le taux
d'utilisation de leurs capacités de production...
- La demande effective constitue un élément majeur de la décision d'investir (question 3) et son évolution est aujourd’hui
instable.
- ... ce qui pousse les entreprises à y répondre en augmentant le taux d'utilisation de leurs capacités de production : une
utilisation partielle des moyens de production n’incitera pas une entreprise à de nouveaux investissements à court terme
(question 5).
B. … et dans un contexte de croissance ralentie, des taux d’intérêt réels trop élevés poussent les entreprises à
effectuer des placements financiers (alors beaucoup plus rentables) au détriment de l'investissement, et ce, même si les
entreprises ont les capacités de financer l’investissement sans avoir recours à l’emprunt.
Inversement, le redémarrage de l’activité économique, combiné à des taux d’intérêt réels en baisse peut encourager les
entreprises à investir (placements financiers deviennent alors moins intéressants et l’effet de levier positif devient
incitatif) (question 6)
Conclusion : Dans l’optique libérale, le rétablissement des profits constitue l’élément essentiel à la reprise des
investissements. L’approche keynésienne insiste, quant à elle, sur le rôle de la demande conjuguée à la faiblesse des taux
d’intérêt. Le niveau élevé atteint par le taux de marge depuis les années 90 n’a pas permis une reprise conséquente de
l’investissement : il semble que les entreprises soient davantage sensibles au niveau des débouchés, donnant alors raison au
keynésianisme. Keynes privilégiait la politique de relance et l’investissement public pour stimuler l’investissement privé. Les
autorités européennes seront-elles prêtes à revenir sur les contraintes budgétaires strictes qui laissent bien de marge de
manœuvre aux gouvernements nationaux…
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Rappel de cours
Au sens de la comptabilité nationale, investir consiste pour une entreprise à acheter des moyens de production matériels
durables, dont les logiciels depuis 1999. Cette opération est mesurée par la formation brute de capital fixe (FBCF). On parle
également d'investissement immatériel pour des dépenses incorporelles (formation, recherche et développement, achats de
brevets et licences ... ).
La rentabilité d'une entreprise mesure sa capacité à générer des profits à partir des capitaux qu'elle a engagés dans l'activité
productive. Le taux de marge est une manière de mesurer les profits. Il se calcule par le rapport de l'excédent brut d'exploitation:
EBE (résultat d'exploitation après paiements des salaires et des charges sociales, mais avant paiement des charges financières) à
la valeur ajoutée. Traditionnellement, on mesure la rentabilité par le taux de rentabilité économique, rapport entre l’EBE et
l'ensemble des capitaux mis en oeuvre (capitaux propres et capitaux empruntés).
Etude des documents :
document 1
Le taux de marge des sociétés non financières mesure la part de la VA restant à l'entreprise et permettant de rémunérer
le facteur capital dans sa globalité. Il indique la proportion de richesse disponible pour rémunérer les créanciers, les propriétaires
de l'entreprise (les actionnaires pour une société anonyme), l'État et l'entreprise elle-même (sous la forme de bénéfices mis en
réserve).
On observe trois grandes phases dans l'évolution de cet indicateur
- après 1970, le taux de marge chute, par paliers, jusqu'en 1982. Cette chute est accentuée entre 1973 et 1975, ainsi
qu'entre 1979 et 1980;
- de 1983 à 1989, le taux de marge augmente régulièrement;
- depuis 1989, le taux de marge stagne à un niveau élevé par rapport à son niveau atteint à la fin des années 1960 au
cours desquelles la croissance économique était très importante.
Le taux d'investissement des sociétés non financières mesure l'effort, rapporté à la richesse produite, que consacrent ces
agents à acquérir des moyens matériels durables de production, utilisés pendant plus d'un an au cours du processus de
production. Cet indicateur connaît une baisse assez régulière de 1972 à 1984, mises à part les années 1975-1976 et 1979-1980. À
partir de 1984, ce taux se redresse jusqu'en 1990. Au-delà de cette période, on assiste à une chute importante de ce ratio, puis à
sa stabilisation en 1994 à un niveau exceptionnellement bas. L’année 1995 ne doit pas faire illusion malgré le niveau
apparemment plus élevé de ce taux; du fait d'un changement de base de calcul, son évolution est orientée à la baisse jusqu'en
1997. Par la suite, cet indicateur se redresse lentement.
La comparaison de ces indicateurs permet de déduire globalement que la baisse du taux de marge (de 1970 à 1982) va
de pair avec une baisse du taux d'investissement alors que la forte remontée du taux de marge (depuis 1982) s'accompagne d'une
hausse du taux d'investissement (à partir de 1984 et jusqu'en 1990).
Entre 1984 à 1990 le taux d'investissement demeure plus faible qu'il ne l'était pendant les années fastes des Trente Glorieuses
alors que le taux de marge atteint des sommets inégalés.
À partir de 1990, le taux de marge se maintient à des niveaux élevés (entre 32 et 33 % de la VA), mais le taux d'investissement
subit des mouvements erratiques: il diminue de 1992 à 1997, pour repartir à la hausse en 1998.
document 2
Pour décider d'un investissement nouveau, un chef d'entreprise envisage avant tout quel sera l'état de la demande qui va
lui être adressée, donc son carnet de commandes à venir. Les perspectives d'avenir, c'est-à-dire les débouchés prévus par les
chefs d'entreprise avant la décision d'engager un nouveau capital, seraient donc primordiales par rapport aux autres déterminants
de l'investissement.
Parmi ceux-ci figurent les conditions de financement des investissements. Â ce titre, la marge d'autofinancement , joue
un rôle important. Mais c'est surtout sa profitabilité, qui résulte de la différence entre les profits (eux-mêmes influencés par le
niveau des coûts de production) et les intérêts (représentant le coût du capital à emprunter) qui joue un rôle fondamental dans la
décision d'investir des entreprises. Celles qui améliorent leur rentabilité peuvent ainsi assainir leur bilan et obtenir plus
facilement de nouveaux financement externes: les prêts bancaires sont obtenus à des conditions plus favorables (taux d'intérêt
plus faibles car risque moindre). Une amélioration de la rentabilité économique se traduit par une hausse des profits; ainsi les
épargnants sont attirés par l'émission d'obligations ou de titres émis sur le marché monétaire (billets de trésorerie par exemple),
ou par l'augmentation de capital via l'émission d'actions. Cette hausse des profits favorise également la reconstitution de la
marge d'autofinancement des entreprises.
document 3
QSTP,sujet n°2, 08 09
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Une entreprise combine le facteur travail au facteur capital pour produire; dans toute entreprise les facteurs de
production ne sont jamais utilisés à leur pleine capacité productive, car il est nécessaire de conserver une marge de manœuvre
pour faire face à toute variation conjoncturelle.
À certaines périodes on assiste à une forte hausse du taux d'utilisation des capacités de production, au point que le
niveau atteint s'avère très élevé: c'est le cas en 1973 et 1989. Plus généralement, on assiste à une élévation de ce taux:
- entre 1976 et 1979 (mais le niveau atteint reste inférieur à 86
- - entre 1981 et 1990, avec notamment une ascension très rapide dès 1986; - entre 1993 et 1995;
- à partir de 1997, mais de façon irrégulière.
En confrontant ce document au document 1, on constate que la forte augmentation de l'investissement productif de
1986 à 1990 (accompagnant la croissance soutenue du PIB) et depuis 1994, correspond à un taux d'utilisation croissant des
capacités de production. Plus ce taux s'élève, plus le rythme de croissance de l'investissement s'accélère (taux d'utilisation
proche de 90 % en 1989 correspondant à un pic de l'investissement). À l'inverse la baisse du taux d'investissement (de 1992 à
1994) se conjugue avec un taux d'utilisation des capacités productives beaucoup plus faible (creux en 1993).
On peut logiquement penser que la décision d'engager un investissement nouveau suppose une utilisation optimale des
capacités de production déjà existantes.
document 4
La reprise des achats de capital fixe a été affirmée en 1998 par une croissance économique plus soutenue et par le repli
des taux d'intérêt réels. ( taux d'intérêt nominaux déflatés, c'est-à-dire desquels on a enlevé la déformation que provoque la
hausse des prix) ont baissé.. Ainsi la baisse des taux d'intérêt réels favorise les investissements productifs au détriment des
placements financiers puisque la profitabilité des entreprises s'accroît.
Introduction -Accroche. actualité de la faiblesse de l'investissement. -Définition des termes du sujet. -Annonce du plan.
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