compte-rendu final élève
publicité
Adaptation de l’organisme à l’effort Que se passe- t -il quand notre organisme fait du sport ? Chaque organe a une fonction différente : -les poumons servent à la ventilation, -la peau à la transpiration, -les muscles permettent la respiration cellulaire et développent l’énergie, -l’appareil circulatoire apporte la nourriture/nutriments et le dioxygène. Comment réagissent les muscles dans des milieux différents, selon le type d’entraînement et selon un effort courte durée et de l’endurance ? C’est à cette question que nous allons tenter de répondre. Est-ce que l’organisme réagit de la même façon selon le type d’effort exercé ? Hypothèse : nous supposons que les muscles de notre corps réagissent différemment selon le type d’effort fourni. Les facteurs variables étaient le sprint et l’endurance . Les facteurs constants étant la taille , l’age et le poids . Expérience : Nous avons mesuré : -la fréquence cardiaque (pouls : calcul de manière indirecte / stéthoscope : calcul de manière directe) -les volumes inspiratoires et expiratoires (avec l’aide de Spirom) -la force développée Pour mesurer la fréquence cardiaque on utilise le test de Ruffier : Nous avons utilisé un stéthoscope placé sur la poitrine, nous avons compté notre pouls pendant 1 minute au repos, puis après l’effort physique nous l’avons repris, puis de nouveau une minute après l’effort. Dans le but de comparer notre pouls au repos, notre pouls pendant et après l’effort. Les réserves inspiratoires et expiratoires (volumes de réserves expiré et volumes de réserves inspiré) et le volume résiduel (Volume d'air qui reste dans les poumons après avoir effectué une expiration forcée, c'est-à-dire avoir vidé les poumons de tout l'air qu'ils contiennent) sont mesurés grâce à la spirométrie sur le logiciel Spirom et la spirographie sert à mesurer la fréquence (La fréquence respiratoire est le nombre de cycles respiratoires (inspiration et expiration ) par minute, mesurés chez un individu) , le volume courant (volume d’air entrant et sortant des poumons) et le débit ventilatoire (Le débit respiratoire est le volume d'air circulant dans les poumons par unité de temps) . On peut donc définir la capacité vitale .( Volume maximal d'air expiré énergiquement après une inspiration maximale) Ces courbes sont réalisées grâce à une turbine associée à un filtre et un embout. (la personne souffle dans l’embout pour les deux en changeant l ‘allure de la respiration.) protocole : Pour savoir le type d’effort fourni, le professeur d’EPS nous a fait courir de plusieurs manières différentes. (Sprint et endurance = facteurs variables) Tout d’abord elle nous fait courir quelques tours pour nous échauffer, puis sur une distance de 500m en sprint , on réalise la spirographie (Etude des volumes respiratoires et du rythme de la ventilation pulmonaire.) et la spirométrie (calcul du volume et du débit de l’air ) et sur une durée d’environ 12min pour chacun des trois groupes , ensuite on reprend la spirographie et la spirométrie de la personne. Graphique Excel : moyenne du volume courant volume en L 1,40 1,20 1,00 0,80 0,60 0,40 0,20 0,00 repos repos sprint sprint endurance facteurs variables endurance interprétation Apres avoir calculé les moyennes du volume courant de chaque élève, on réalise un graphique . En l’observant, on constate que notre hypothèse se trouve validée . on peut voir que la moyenne du volume courant est différentes en fonction des facteurs variables tels que le repos le sprint et l’endurance. Le volume courant est plus important durant l’endurance , puis ensuite au repos . il est moins important durant le sprint.
