
>>> Le Livret collector 
 Comme tous les autres livrets de l'Edition Ultimate James Bond, celui de Vivre et laisser 
mourir pésente rapidement et accompagné de sublimes affiches et images du film la production 
de la 8e aventure de l'agent 007. 
 
Les sujets abordés 
  >> « Le Monde de James Bond en 1973 » 
  Les débuts des années 70 est marqué par deux tendances cinematographiques : les films 
d'arts martiaux hong-kongais et les films d'action mettant en scène des acteurs noirs américains. 
Les  producteurs  de  James  Bond profitèrent  de ce  mouvement appellée  « blaxploitation » pour 
adapter le roman de Ian Fleming Vivre et  Laisser Mourir dans lequel  007 affrontait Mr Big, un 
cerveau du crime afro-américain. 
 
  >> « Un nouveau Bond pour une nouvelle ère » 
  Ce  chaptire  nous  explique  l'arrivée  d'un  nouvel  acteur  dans  la  peau  de  James  Bond  : 
Roger Moore. C'est l'occasion de revenir rapidement sur sa carrière et ses précédents succès (Le 
Saint) mais aussi pour nous rappeller ce qui a caractérise le Bond de Moore : un ton ironique  et 
un sens du raffinement plus prononcés qu'avec Sean Connery. 
 
  >> « Petite promenade...dans la mare aux crocodiles » 
  Le titre évoque bien sûr la cascade la plus marquante du film, celle où Bond échappe aux 
crocodiles.  Les  différents  bonus  ne  manqueront  pas  de  revenir  à  plusieurs  reprises  sur  cette 
séquence mémorable. 
 
 >> « Le dossier Vivre et laisser mourir » 
  Ce  chapitre  donne  lieu  à  une  revue  du  casting  du  film  (Jane  Seymour,  David  Hedison, 
Yaphet Kotto, Goeffrey Holder) et une présentation des deux autres cascades mémorables : la 
poursuite en hors-bord dans les bayous et l'autobus impérial. 
 
  >> « Sur les lieux du tournage avec 007 » 
 Vivre  et  laisser  mourir  a  été  principalement  tourné  en  Jamaïque,  pour  doubler  l'île 
fictive  de  San  Monique,  et  aux  Etats-Unis  pour  les  quartiers  de  New  York  ainsi  que  pour  les 
alentours de la Nouvelle-Orléans. 
 
  >> « Un Bond de tout premier ordre » 
  Pour  la  première  fois  de  la  série  des  James  Bond,  le  compositeur  John  Barry  laissa  sa 
place au profit de George Martin, le producteur des Beatles. C'est d'ailleurs Paul McCartney qui 
interprêta la chanson du générique Live And Let Die nominée aux Oscars de 1973. 
   
Commentaires du livret 
  Un livret assez complet sans être une mine d'information puisque la majorité de ce qui y 
est écrit sera repris dans  les divers bonus. Notons cependant que le  première chapitre s'avère 
intéressant  quand  il  nous  explique  la  mouvance  « blaxploitation »  :  un  terme  pas  forcément 
connu de tous.