des changes, alors que les X mondiales de marchandises et services s’élevaient à 7442 milliards de $
pour l’année entière.
B) Peut être favorable à la croissance économique.
La théorie ns apprend q’1 marché mondial du K devrait permettre une meilleure alloc’ internationale
des fonds dispo. L’ouverture des frontières offre de nouvelles possibilités de placements de l’Ep : des
K vt pouvoir s’orienter vers les placements + profitables que ceux dispo en frontières fermées. Une
ressource rare, l’Ep, va dc être mieux utilisée. Les emprunteurs vt également avoir accès à cette Ep à
des conditions + avantageuses grâce à la baisse des coûts d’intermédiation. L’I devrait être favorisé du
fait de la baisse des coûts de financement.
Concrètement 1 pays dt les I sont > à son Ep peut maintenant, s’il a la confiance des investisseurs,
bénéficier d’1 transfert d’Ep en provenance de l’ext. Ces mvt de K privés peuvent prendre la forme de
crédits, de placements fin’ (achat d’actions ou d’obligation) ou d’IDE. Cela se traduit par un
endettement ext ds le cas d’octroi du crédit ou d’achat d’obligations. A l’inverse, les IDE et les ventes
d’action ne st pas générateurs de dettes. Les USA, qui pourraient être handicapés par un faible taux
d’épargne, ont été les principaux bénéficiaires de cette possibilité nouvelle. L’augmentation de leur
endettement ext ne pose pas de pb en raison de la confiance qu’accordent les débiteurs à la 1° éco
mondiale. Les PVD ou en transition peuvent bénéficier de tels transferts, à condition de toujours
rassurer les financiers sur leur capacité à rembourser leurs dettes.
Les états peuvent également tirer un bénéfice de cette globalisation fin’. Ils ont maintenant la
possibilité de financer 1 partie de leur déficit budgétaire par des K ext. C’est d’ailleurs une des raisons
1 pr laquelle les USA ont libéralisé leur marché du K pendant les 80’. Confrontés à un déficit
budgétaire important, ils ont supprimé les obstacles aux M de K afin de pouvoir le financer sans
provoquer de hausse excessive des TI à LT. La Fr a également eu recours à cette solution ds les 80’.
Cela se traduit par une hausse de l’endettement public et met l’état en situation de dépendance vis-à-
vis de ses débiteurs étrangers. Tel est évidemment le pb des pays ne pouvant apporter les garanties de
sécurité fournies par des pays hautement développés.
II) Mais la globalisation financière accroît l’instabilité financière.
La libéralisation des marchés fin’ a provoqué un déséq qui se traduit par des crises fin’ que l’on essaie
today de prévenir. Deux philo s’opposent : les uns croient à la responsabilité des agents fin’, les autres
souhaitent une réglementation + contraignante des activités liées à la finance.
A) Le système financier est devenu plus instable.
Le passage d’1 ensemble de syst financiers nationaux très réglementés à un syst fin’ mondial sans gde
réglementation a provoqué de l’instabilité. Les crises fin’ se st multipliées depuis 1970 sous la forme
de crises bancaires, et de crises de change.
Les crises bancaires se traduisent par une détérioration de la situation fin’ des bank pouvant conduire à
des faillites. Les 2/3 des pays membres du FMI ont connu 1 telle crise depuis 1973. Parmi les PDEM,
USA et Japon st les + touchés. Les bank, ds les 2 cas, ont prêté de l’argent à des clients qui ont spéculé
sur l’immobilier ou en bourse. Le dégonflement de ces bulles spéculatives a transformé 1 partie des
créances de ces bank en pertes. Aux USA la situation a rapidement été assainie grâce à des faillites
bancaires pr de petits établissements, et au soutien des autorités monétaires. Au Japon le refus des
faillites a eu pr contrepartie 1 prolongation de la crise.
Les crises boursières st des chutes brutales des cours des actions ou parfois des obligations, qui suivent
le gonflement d’1 bulle spéculative. Deux principales : 1987 et 2000. Entre 1994 et 1999, les indices
boursiers avaient triplé aux USA et doublé en EUR. Ce mvt avait amplifié les mvt de l’éco réelle, car
sur la même période la Prod américaine avait augmenté de 30% et les profits de 60%. Multiplication
des fusions acquisitions dans la nouvelle éco, avec bcp d’emprunts : les anticipations se st retournées
début 2000, provoquant 1 chute de LT des indices boursiers. En Fr le CAC 40 a baissé de plus de 50%