sentiments liés au vécu traumatique (par exemple, ...) ; et faire des efforts pour éviter les activités, endroits,
personnes, conversations, objets, etc. lui rappelant son vécu traumatique (par exemple, ...).
Il rapporte vivre … des sept symptômes d’altération négative des cognitions et de l’humeur
associés à l’événement traumatique et ayant débuté après la survenue de cet événement (au moins 2) :
avoir une incapacité de se souvenir d'une partie significative du vécu traumatique (par exemple, ...) ; avoir
des croyances ou attentes négatives, persistantes et exagérées, face à soi, autrui ou le monde (par
exemple, ...) ; avoir des cognitions fausses et persistantes quant à la cause de l’événement traumatique
(par exemple, …) ; faire preuve d’un état émotionnel négatif et persistant (par exemple, …) ; démontrer
une diminution marquée d'intérêt ou de participation à des activités significatives (par exemple, ...) ; avoir
un sentiment de détachement ou d’aliénation face aux autres (par exemple, ...) ; et avoir une incapacité
persistant de vivre des émotions positives (par exemple, …).
Il rapporte vivre ... des six symptômes d'altération marquée de l’activation et de la réactivité (au
moins 2) : faire preuve d'irritabilité (par exemple, …) ou faire des crises de colère (par exemple, …) ; faire
preuve de comportements à risque ou auto-destructeur (par exemple, …) ; faire preuve d'hypervigilance
(par exemple, …); avoir des réactions de sursaut exagérées (par exemple, …) ; avoir de la difficulté à se
concentrer (par exemple, …) ; et avoir de la difficulté à s'endormir ou à demeurer endormi (par exemple, …).
Des symptômes dissociatifs sont également rapportés par M. (nom) : dépersonnalisation (par
exemple, …) ; déréalisation (par exemple, …). Cette dissociation n’est pas liée à une condition médicale ou à
une consommation de substance psychoactive.
Est-ce que les symptômes rapportés sont raisonnablement conséquents à la survenue des
événements traumatiques ?
Quand les symptômes actuels ont-ils débuté ? Quelle est leur durée, en mois ou années ?
Ont-ils été différés et, si oui, quel a été le déclencheur de leur apparition ? Se sont-ils résorbés et, si
oui, combien de mois ou d’années ont-ils duré ?
La détresse subjective de … est nulle … légère … modérée … sévère … extrême. Le
fonctionnement social est aucunement … légèrement … modérément … sévèrement … extrêmement
affecté par ces symptômes. Le fonctionnement occupationnel, ou autre ( …) est aucunement …
légèrement … modérément … sévèrement … extrêmement affecté par ces symptômes.
Quant à la validité, il n’y a aucune raison de soupçonner des réponses invalides. … Il y a
présence de facteurs pouvant affecter la validité, soit …. … Il y a présence de facteurs pouvant
définitivement réduire la validité, soit …. … La validité des réponses est substantiellement réduite car ….
… Les réponses nous semblent être invalides vu un état mental sévèrement altéré ou une intention
possible de fausser positivement ou négativement les réponses.
M. (nom) présenterait donc un trouble de stress post-traumatique, TSPT, léger … modéré ...
sévère … extrême, ... différé, avec … sans dissociation, ce qui est favorable … relativement … défavorable
au pronostic.
(ou)
Comme tous les critères du diagnostic de TSPT ne sont pas remplis (il manque … symptômes …,
etc.), l’impression diagnostique est d’un trouble lié à un événement traumatique ou à un stresseur,
autrement spécifié, soit un trouble de l’adaptation (spécifiez le sous-type).
(ou)