l"Empire Britanique, elle manifesterait quelque chose mieux que les prématurés,
nés par ces pays que le pouvoir contraint d'une amitié desinteressée a separé de
la Turquie". Les Bulgares, nomées "les favoris immaculés de la Russie,
deviennent l'objet de la haine particulière de la part de St.Clairand et Brophy. On
émet des avis que 'l'apparition de panslavisme a relativement provoqué
l'existance du panislamisme. La lutte pour l'indépendance nationale des peuples
chrétiens balkaniques est considée comme 'la manifestation du nationalisme"' et
l'étouffement impitoyables des insurections ,respectivement, comme la réponse
légitime du pouvoir d'Etat turque contre les manifestations nationalistes3. Selon
Paul Dumont , l'un des auteurs de la lecture contemporaine de l"histoire de
l"Empire Ottoman "en general, le traité de Berlin a eu pour son but d'arrêter
l'élan panslaviste des Russes et des Serbes. Au lieu des grandes unités
territoriales, autant desirées à Péterburg et a Belgrade, les diplomaties
occidentales ont fait une mozaïque des principautés autonomes et des territoires,
prêts a se mettre en pièces mutuellement parce que la division territoriale ,
prevue par le Congrès, a fait naître une rivalité inévitable. L'Empire Ottoman a
été privé des populations, considérées comme les plus laborieuses et les plus
prospérantes en Empire"4.
Au debut de XX siecle, sur la Péninsule six états politique ont déjà existé,
ils ont confessé l'islam et la réligion chrétiennne (surtout l'orthodoxe) et ils ont
mené une politique, basée sur leures propres doctrines nationales.Ces états, avec
leures ambitions économiques, militaires et politiques ont déplacé la politique
sur le voisin faible - l'Empire Ottoman.Pourtant les Grandes Puissances
Occidentales ont protegé une politique inchangeable à l'égard de la Péninsule.
Elle a resté telle qu'elle a été au cours des années précédentes. Les Balkans ne
cessent pas d'être un polygon pour les experiments européens, soummis à leur
géopolitique.
Les guerres balkaniques ont mis le début de la considération des états de
la Péninsule comme "la poudrière" de l'Europe. Dans cette terminologie , qui
reste émblémathique pour les Balkans, est compris tout: L'économie, la
politique, les doctrines nationales, la culture. Selon Robert Situn, le chercheur de
l'Empire des Habsburg, bien renomé à l'Occident, "le triomphe de l'idée
panserbe signifierait le triomphe de la culture de l'Est qui domine celle de
l'Ouest et cela serait le coup fatal contre le progres et le dévelopement
contemporaine des Balkans"5. C'est un exemple significatif pour la confusion
des indices politiques et culturels, et pour la définition du nationalisme comme
le trait caractéristique et même le facteur, exerçant une influence sur la culture
balkanique, en general.Je suppose qu'on y comprenne le statut cadet de chaque
nationalisme par rapport à la culture nationale relative pour qu'elle soit
influencée par lui.
Ainsi, par exemple, au sujet de la sitiuation et des causes de l'eclatement de
la Première guerre mondiale, Henry Kissinger "parle franc" , en son livre, que
'Les peuples européens se sont permettés de se transformer en captifs des