Exercice 3
1. a) Les événements DM et DE sont indépendants si, et seulement si, p(DM DE) = p(DM )p( DE).
Par hypothèse, p(DM ) = 0,08 ; p( DE) = 0,05 et p(DM DE) = 0,02. Or 0,02 0,080,05.
Donc les événements DM et DE ne sont pas indépendants.
b) Par définition d’une probabilité conditionnelle,
p(DM / DE) =
donc
2. a) Par définition de l’événement A, A = DM DE donc la probabilité de l’événement A est :
p(A) = p(DM ) + p( DE) - p(DM DE) donc
b) Par définition de l’événement B, B =
donc la probabilité de l(événement B est :
p(B) = 1 – p(A) donc
c) Par définition de l’événement C, A = CD où D = DM DE. Par conséquent CD = . On en déduit
que : p(A ) = p(C) + p(D) soit p(C) = p(A) – p(D) où p(A) = 0,11 et p(D) = 0,02.
En conclusion,
3. a) Ainsi le moteur peut ne présenter aucun défaut : X = 0. Il peut présenter un seul des deux défauts, dans
ce cas : X = 1. Ou bien il peut présenter simultanément les deux défauts : X = 3. Donc l’ensemble des
valeurs prises par X est :
b) On détermine ensuite la loi de probabilité de X .
p(X = 0) = p(B) donc p( X = 0) = 0,89.
p(X = 1) = p(C) donc p(X = 1) = 0,09.
p(X = 2) = p(D) donc p(X = 2) = 0,02.
D’où le tableau donnant la loi de la probabilité de X :
c) L’espérance mathématique de X est : E(X) =
soit E(X) = 10,09 + 20,02.
Donc
d) Par définition de la variance, V(X) =
soit V(X) = = 10,09 + 40,02 – (0,13)2.
Donc
On en déduit l’écart-type de X : (X) =
soit
V(X) 0,15 à 10-2 près par défaut.
(X) 0,39 à 10-2 près par défaut.