Conclusion: Pour établir des liens de parenté il faut se fonder sur des caractères
homologues, c’est à dire hérités d’un ancêtre commun plus ou moins proche..
2° ) D’autres caractères homologues pour établir des phylogénies.
# Doc poly :
Caractères morphologiques et anatomiques.
- l’encéphale des vertébrés, il est composé de cinq parties toujours présentes,
dans le même ordre, avec les mêmes relations entre elles.
- Mais des développements plus ou moins important de ces différentes parties
- Avec quand même un accroissement relatif de l’ensemble : l’encéphalisation
- Un accroissement relatif des hémisphères cérébraux : la cérébralisation et
telencéphalisation et une régression des lobes olfactifs et optiques..
# Doc p 22 et 23 :
Comparaison des caractères embryologiques.(doc p 22et 23 et doc tbl)(TP 1)
-les premiers stade du développement des embryons des vertébrés : l’organisation est voisine
dans les différentes classes des vertébrés .Le tube neural évoluant en 3 puis 5 parties puis
surviendront ensuite des différenciations avec des développement plus ou moins important
.Pour les premiers stades du développement des embryons des vertébrés , l’organisation est
très voisine dans les différentes classes de vertébrés.
Lors du développement embryonnaire les caractères généraux primitifs se développent
avant les caractères particuliers de l’espèce.
Ceci est dû à l’intervention successive des diff. Gènes du développement.
Pour les invertébrés on étudie les diff. Stades larvaires.
# Doc tableau :
Exemple : fossiles de la famille des Equidés .
On observe :
- une augmentation constante de la taille
- une réduction du nombre de doigts de la main 4 puis 3 et 1, chez Equus il ne
reste que le doigt médian III
- baisse de la surface de contact avec le sol
- allongement des os du métacarpe et des os du doigt restant donc allongt du
membre et spécialisation à la course.
- Complexification des molaires supérieures, passage des dents à croissance
continue afin de devenir herbivore, avec changement de régime alimentaire.
(Nombre, longueur des doigts sont gouvernés par des gènes homéotiques)
Pour le cheval au cénozoïque il y a eu un refroidissement climatique qui a installé des
grandes prairies en Amérique du Nord le cheval s’y est adapté( herbivore, coureur dans de
grandes steppes herbeuses) puis y a disparu , il suit la même évolution dans l’ancien monde
mais y persiste jusqu’à nos jours.
C’est une sélection naturelle liée à de nouvelles niches écologiques.
Certains caractères vont se transformer par des mutations et les espèces pourront
dériver les unes des autres.