Claude Debussy - Gymnázium Jozefa Gregora Tajovského

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Gymnázium Jozefa GregoraTajovského,Tajovského 25, 974 01 Banská Bystrica
Claude Debussy
La vie et l‘oeuvre
Richard Bešťák (3.L), Šimon Dian (3.L)
Le contenu
01,Prologue.......................................................................................................................03
02,Biographie a) Naissance et contexte familial............................................................04
b) Les années d'apprentissage...............................................................04
c) Le séjour à Rome................................................................................05
d) Le retour en France............................................................................06
e) Une reconnaissance difficile...............................................................06
f) Le premièr succès................................................................................07
g) Moderne...............................................................................................09
03,Résumé.........................................................................................................................13
04,Des annexes a) Catalogue des oeuvres......................................................................14
b) Le portrait de Debussy.....................................................................23
05,Bibliographie...............................................................................................................24
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Prologue
Claude-Achille Debussy est un compositeur français, l’un des compositeurs les plus
importants du 20e siecle, est considéré comme le fondateur de l’impressionnisme
musical. Il s’est inscrit dans l’histoire de la musique comme un impressionniste à
son corps défendant. Il refusait d'entrer dans un « moule » préétabli et cherchait la
liberté la plus totale...
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Biographie
Naissance et contexte familial
Le 22 aôut 1862 à 4 heures et demies du matin, Achille-Claude Debussy est né, dans
la maison familiale de St-Germain-en-Laye. Les compositeurs dans cette epoque
venaient sourtout des famillies riches mais les parents de Claude était si pauvre qu‘il
n’avait pas ni l’instruction principale. À l'âge de 3 ans il est allé vivre chez une
tante financièrement plus à l'aise Mme. Roustan ou il devint fascine par la musique.
Après avoir reçu quelques rudimentaires leçons de piano, Mme. Roustan a payé
pour des études plus sérieuses avec une Mme. Mauté de Fleurville, qui avait étudié
avec Chopin. (Elle était aussi la belle-mère du poète Verlaine qui deviendra une
source d'inspiration majeure lors de la maturité de Debussy). Claude a fait des
progrès remarquables et, à l'âge de 11 ans, il était accepté par l‘institution pleine de
traditions, la Conservatoire de Paris.
Les années d'apprentissage
Debussy à passé plus de dix ans au Conservatoire en tant qu'étudiant souvent de
manière décousue mais respectueux, brillant et rebelle. Il n'aura aucun prix
d'harmonie, ni d'improvisation, ni de composition. Sa vision de la musique ne
correspond pas aux traditions du Conservatoire. Les anecdotes à propos des idées
de Debussy ont devenu légendaires au Conservatoire. Quand Giraud, son professeur
de composition, lui dit "Je ne dis pas que ce que vous faites n'est pas joli, seulement
que c'est théoriquement absurde" et Debussy de lui répondre "Il n'existe pas de
théorie. Vous n'avez qu'à écouter. Le plaisir est la loi."
En 1873 il est admis dans la classe supérieure de piano d'Antoine Marmontel. Il va
suivre la filière traditionnelle, cours de solfège, d'interprétation, d'harmonie,
d'improvisation, d'accompagnement, de composition. Avec Marmontel, il ne
s'entend pas, mais son professeur reconnaît les facultés de Claude, qui aime
déchiffrer la musique et commencer une œuvre par des arpèges ou des accords.
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1879 et les années qui suivront seront des années de découvertes et de révélations
pour Debussy jeune homme de 17 ans. Il commence à composer ses premières
mélodies sur des textes d'Alfred de Musset Madrid et Ballade à la lune extraits des
contes d'Espagne publiés en 1830.
Le professeur de piano, Antoine Marmontel, recommande son élève à Madame
Marguerite Wilson-Pelouze, à la recherche d'un pianiste pour compléter le petit
orchestre de chambre de son château.
En 1881 grâce à son premier prix d'accompagnement, il commence à gagner sa vie
comme accompagnateur dans la classe de chant de Victorine Moreau-Sainti.
Entre temps, pendant son adolescence, Debussy a pris un travail comme pianiste
pour la riche veuve russe Nadezhda von Meck, la patronesse de Tchaikovsky.
Pendant trois anées, Debussy, provenant presque des bas fonds et de la misère,
voyagea avec les membres de cette famille élégante, jouant avec madame et
enseignant le piano à ses filles durant la tournée des capitales européennes et à son
domaine en Russie. Debussy est tombé amoreux avec la fille de Nadezhda et il
a demande sa main a Mme von Meck. Mais a cause des defferences sociales la
reponse de madame etait le ticket a Paris.
Le séjour à Rome
Retrouver a Paris il desirait de gagner le Grand prix de Rome mais le professeur
Giraud a pris son idée assez pessimistique „ C’est tous tres interessant, mais comme
ca vous ne pouvez pas gagner ce prix.” Alors Debussy a fait une concession et il
a composé une cantate académique L'enfant prodigue. C’était le tir dans le mille.
En 1884 il débuta le stage traditionnel de trois ans à la Villa Medici de Rome. Mail il
y etait malheureux et il souffrait des depressions. Il n’arrivait pas a trouver
l’ambience favorable pour continuer dans sa composition. Ces œuvres envoyées au
Conservatoire par exemple la pièce orchestrale Printemps était jugées comme étant
„bizarres, incompréhensibles et impossibles à exécuter.“ Cela avait seulement
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assuré Debussy dans son opinion negatif contre Rome. Enfin il part de la villa qui
était un grand reve de plusiers des ses collegues.
Le retour en France
Au bout de deux ans, Debussy donne sa démission au Conservatoire et rentre en
France. Il s’est réfugié dans le style de vie bohémienne de Montmartre, composant
et vivotant dans une pauvreté artistique. Incapable de ranimer ce qui existait entre
lui et Mme. Vasnier, il trouva une maîtresse, Gabrielle Dupont, qu'il appelait "Gaby
aux yeux verts". Elle restera avec lui pendant dix ans. Debussy, avec sa cape
flottante et son chapeau aux larges rebords, était une silhouette familière dans les
rues et les cafés nocturnes de Montmartre. Autour de 1887, Debussy commença à
fréquenter les réunions du jeudi des poètes "symbolistes", parmi lesquels l'on
retrouve Beaudelaire, Verlaine, Rimbaud et Mallarmé. Ceux-ci déclarent que l'art
doit faire appel aux sens et à l'intuition avant l'intellect. Debussy allait devenir le
poète musical de cet art de la suggestion. Comme tous les symbolistes, il était attiré
par les mystères sans nom et les horreurs obscures d'Edgar Allan Poe, tels que
traduits par Beaudelaire.
Une reconnaissance difficile
Une par une, les inspirations nécessaires commencent à apparaître. Debussy, à son
grand désespoir, comme les peintres révolutionnaires français de cette époque, a été
condamné par les critiques comme "impressionnistes". Monet, Renoir et autres
confrères ont sorti leur toiles dehors et, avec des traits vaporeux, ils ont essayé de
peindre la lumière elle-même, à travers les rochers, l'eau et le paysage. Cet
atmosphère se dépeint aussi sur le travail de Debussy. L'exposition universelle de
Paris, en 1889, est également importante pour la maturité de Debussy; il y a été
fasciné par le gamelan (la musique) javanais. La musique de Java lui montrait des
sentiers encore plus éloignés de la rhétorique romantique et des dogmes du
Conservatoire. Elle confirme son intuition que la fugue et le contrepoint, le
développement symphonique et les formes pré-ordonnées ne sont pas inévitables et
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qu'une véritable intoxication par l'harmonie et de la mélodie peut être suffisante - à
condition de les rendre assez intoxicantes.
Même année l'Académie des Beaux-Arts veut présenter en concert les créations de
Debussy à Rome. Claude veut y intégrer toutes les œuvres écrites à Rome dont celles
considérées par l'Académie comme "incompréhensibles", l'Académie refuse, le
concert est annulé....
Le premièr succès
Pendant deux années, il est allé écouter celui qu'il admire depuis longtemps :
Richard Wagner A Bayreuth, il revoit Tristan et Iseult, et découvre Parsifal et les
Maîtres Chanteurs, l'art wagnérien influencera également l'écriture musicale de
Debussy.
En 1890, il remporte son premier grand succès avec la Suite bergamasque, quatre
petites pièces pour piano dont le célèbre "Claire de Lune"
En 1893 il découvre les œuvres de Maurice Maeterlinck, dont Pelléas et Melisande
qu'il voit au théâtre des Bouffes parisiens le 17 mai. Ce dramaturge Belge qu'est
Maeterlinck avec sa conception du théâtre tout à fait innovante correspond
exactement aux aspirations profondes de Debussy. Il décide de mettre la pièce en
musique en créant un opéra "symboliste". Au mois de novembre, il rencontre
Maeterlinck à Gand pour lui soumettre le projet, Maeterlinck est d'accord dans les
grandes lignes.
Dès son retour, il se met au travail, il mettra dix ans à composer son opéra.
Le 29 décembre 1893, il présente son quatuor à cordes. Œuvre audacieuse en quatre
mouvements qui divise le public, jugée impressionniste, chaotique et inorganisée, La
critique en parle le lendemain dans le "Guide musical"
Le 22 décembre 1894, éclatant succès du "Prélude à l'après-midi d'un faune",
inspiré du poème de Stéphane Mallarmé, c'est la première œuvre symphonique de
Debussy. Le public enthousiasmé demande à bisser l'œuvre. Mallarmé est très
satisfait du succès obtenu de la mise en musique de son poème.
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Quelques années plus tard Debussy veut construire une symphonie en trois
mouvements : Prélude, Interlude et Paraphrase pour l'après-midi d'un Faune. Mais
le projet n'aboutira pas, seul le Prélude subsiste.
Le danseur Russe Vaslav Nijinsky crée un tableau chorégraphique L'Aprés-midi
d'un Faune sur la musique de Claude Debussy. Il est mis à l'affiche des programmes
des Ballets Russes le 29 mai 1912 au Théâtre du Châtelet à Paris. Le ballet fit
scandale à l'époque, aujourd'hui, la chorégraphie fait partie des grands classiques
du répertoire des danses et variations de l'Opéra de Paris.
A la fin de ce XIXème siècle, Debussy écrit à nouveau pour le chant, la voix et le
piano étant ses deux instruments de prédilection. Parmi ses nombreuses créations
inspirées des poètes de son époque mais aussi des poésies de la Renaissance je vous
propose en particulier : en 1897 Chansons de Bilitis, mélodies pour voix et piano sur
des poèmes de Pierre Louÿs. en 1898 trois chansons pour chœur à 4 voix mixtes a
cappella sur des poèmes de Charles d'Orléans.
En 1897 devant les multiples aventures de son infidèle compagnon, Gaby tente de se
suicider.
Coup de théâtre Claude est amoureux fou de Lilly Texier, la meilleure amie de
Gaby, il menace de se suicider si elle ne l'épouse pas, il en parlera en ces termes :
Le mariage a lieu le 19 octobre 1899 avec Erik Satie et Pierre Louÿs comme témoins
des mariés.
En 1899 Claude achève les Nocturnes, triptyque symphonique pour chœur de
femmes et orchestre : Nuages, Fêtes, et Sirènes, la première est donnée à l'OpéraComique de Paris. Inspirée par l'œuvre de grands peintres, sa musique restitue les
sensations et les couleurs, dans une forme d'écriture très personnelle qui ouvre les
portes au courant "debussyste".
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Moderne
1900, nouveau siècle, art moderne, art nouveau, art déco, Debussy est en plein dans
le courant des tendances du renouveau de l'art sous toutes ses formes. Sa renommée
est faite, à tel point qu'un clan "debussiste" s'est formé. L'écriture de sa musique est
libre, sans distinction de mode, voulant exprimer une allusion, une illusion, une
sensation, c'est finalement la musique du rêve, l'impressionnisme.
En 1901 il tient la critique musicale de la Revue blanche sous le pseudonyme de
Monsieur Croche.
Le 27 avril 1902 c'est l'aboutissement de 10 années de composition de son célèbre
opéra Pelléas et Mélisande, drame lyrique en 5 actes et 12 tableaux avec orchestre,
d'après la pièce de Maeterlinck. La première à lieu à l'Opéra-Comique à Paris,
l'orchestre est dirigé par André Messager, compositeur et ami de Claude, le public
attend l'événement avec curiosité. Voilà que les choses se gâtent, Maeterlinck est
furieux, sa femme devait chanter Mélissande, mais Debussy n'est pas vraiment
persuadé du talent de Madame Maeterlinck.
Il lui préfère de loin Mary Garden, soprano écossaise qui donne au rôle la
dimension juste et le succès incontestable à l'opéra. Maeterlinck furieux ne veut pas
en rester là et fait tout pour saboter la première, veut provoquer Debussy en duel,
lui intente un procès que Debussy gagne, et écrit au Figaro.
Bien au contraire, c'est le succès pour Debussy, les représentations font salle comble,
puis l'opéra est donné à New-York et à Londres. Avec Pelléas et Mélisande, opéra
moderne, Debussy est maintenant reconnu comme un compositeur d'avant garde
dans le monde entier.
Néanmoins Debussy, trop novateur, ne plaît pas à tout le monde, loin de là, la
critique est sévère, le public est divisé et va même jusqu'à s'agresser lors de
l'entracte de la grande première. Gabriel Mourey, chroniqueur et polémiste écrit :
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Après tout ce tumulte Claude reprend la plume et compose de nombreuses pièces
dans lesquelles le piano, solo, avec voix ou avec orchestre, prend une place
prépondérante, toujours à la recherche de sons et d'harmonies complexes. Quand
on lui demande d'où viennent ses accords, il répond :
Le 1er février 1904, Claude Debussy est fait Chevalier de la Légion d'Honneur,
n'aimant pas les honneurs il accepte la médaille pour faire plaisir à ses vieux
parents.
Nouveau coup de théâtre, Claude est amoureux, cette fois c'est la mère d'un de ses
élèves, Emma Bardac, femme cultivée, musicienne, qui chante admirablement, elle
est son idéal féminin tant recherché.
Au mois de juillet 1904, abandonnant leur conjoint respectif ils se retrouvent tous
deux à Pourville en Normandie. Le scandale éclate, Lilli, la femme de Claude tente
de se suicider, Claude rentre à Paris pour l'emmener à l'hôpital et repart aussitôt.
Tous les amis de Claude désapprouvent sa conduite, quant à Emma elle est
déshéritée par sa famille. Leur amour étant plus fort ils se marient en 1908 après
avoir tous deux divorcés.
Entre temps, le 30 octobre 1905, Claude à 43 ans est un heureux papa. Emma donne
naissance à leur fille Claude-Emma dite Chouchou.
En 1905 Debussy compose son poème symphonique en 3 parties, "La Mer" : "De
l'aube à midi sur la mer", "Jeux de vagues", "Dialogue du vent et de la mer". cette
œuvre reflète l'impressionnisme musical cher à Debussy.
En 1908, il publie un recueil de petites pièces pour sa fille, "Children's Corner".
Le bonheur de Debussy est entaché par la maladie En 1909, Claude est atteint d'un
cancer pour lequel il suivra de nombreux traitements jusqu'à la fin de sa vie. Cette
année là il est nommé membre du Conseil Supérieur du Conservatoire.
Serge de Diaghilev qui donne la première représentation des Ballets Russes le 18
mai 1909, au théâtre du Châtelet à Paris souhaite rencontrer Debussy pour lui
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commander la musique de son premier ballet français. A cette occasion Claude
rencontre Igor Stravinski avec lequel il va se lier d'amitié.
1910 il fait des tournées de concerts en dirigeant lui-même ses œuvres à Budapest et
à Vienne.
Le 22 mai 1911, au théâtre du Châtelet, est donné le ballet en 5 actes pour solistes,
chœur et orchestre "Le Martyre de Saint Sébastien", sur un texte de Gabriele
D'Annonzio, musique de Debussy, avec Ida Rubinstein dans le rôle principal. Très
critiquée par l'archevêque de Paris, l'œuvre n'aura pas de suite.
Le 15 mai 1913 au Théâtre des Champs-Elysées, c'est la première de "Jeux", le
ballet commandé par Serge de Diaghilev à Claude Debussy sur un argument et une
chorégraphie de Vaslav Nijinsky est dansé par la compagnie des ballets russes avec
Vaslav Nijinsky dans le rôle principal.
En 1914 il fait une tournée triomphale en Russie et en Europe, puis la guerre éclate,
Debussy, anti-germaniste, se mobilise et signe dorénavant ses œuvres : Claude
Debussy, musicien français.
Sa maladie s'aggrave, il est opéré en 1915, épuisé il se retire dans son appartement
du 80, avenue du Bois de Boulogne, la morphine l'aide difficilement à supporter la
douleur. Il trouve encore la force de travailler et durant la fin de sa vie il compose
plusieurs sonates, des pièces pour voix et piano et deux livres d'Études pour piano :

Pour les accords pour piano

Pour les agréments pour piano

Pour les arpèges composés pour piano

Pour les cinq doigts d'après monsieur Czerny, pour piano

Pour les degrés chromatiques pour piano

Pour les huit doigts pour piano

Pour les notes répétées pour piano

Pour les octaves pour piano

Pour les quartes pour piano

Pour les sixtes pour piano

Pour les sonorités opposées pour piano
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
Pour les tierces pour piano
Au mois d'août 1915 il termine la Sonate pour violoncelle et piano.
A la fin de l'année, il écrit les paroles et la musique d'un chant de Noël, Noël des
enfants qui n'ont plus de maison.
Claude apparaît une dernière fois en concert le 5 mai 1917, à la salle Gaveau où il
interprète sa Sonate pour violon et piano avec Gaston Poulet.
Lié d'amitié avec Serge de Diaghilev, il ne rate pas une représentation des Ballets
Russes à Paris, il lui adresse également un abondante correspondance.
Le 26 mars 1918 Claude Debussy meurt des suites de sa maladie, Romain Rolland
note dans son journal de guerre
" 26 mars, mort de Claude Debussy...
Le seul créateur de beauté dans la musique de notre temps..."
L'enterrement a lieu le 28 mars, sous les bombardements, dans l'anonymat le plus
total. Lors du passage du cortège, un commerçant commente :
"Il semble que c'était un musicien".
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Le résumé
Malgré que Debussy était un compositeur unique dans son oeuvre est une
personalité remarquable dans l’histoire de la musique son nom n’est pas très connu
dans notre époque. Il n´etait jamais un homme très connu et celebré, mais des
oeuvres qu´il a laissé ici nous touchent jusqu´a maintenat et on voulait vous
présenter la vie de ce grand compositeur français. Pour que vous aussi en entendant
son nom pouviez dire: "Il semble que c'était un musicien".
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Des Annexes
a) Catalogue des oeuvres
1878 : Chant et basse réalisés pour le concours d'harmonie
1879 : Ballade à la lune: C'était dans la nuit brune, mélodie pour voix et piano ; Chant
donné pour la classe d'harmonie d'Émile Durand ; Chant et basse donnés pour le concours
d'harmonie
Madrid: Madrid, princesse des Espagnes, mélodie pour voix et piano
Trio, en sol majeur, pour piano, violon et violoncelle
1880 :
Beau soir : Lorsque au soleil couchant les rivières sont roses, mélodie pour voix et piano
Caprice : Quand je baise, pâle de fièvre, mélodie pour voix et piano
C hant et basse donnés pour le concours d'harmonie
Danse bohémienne pour piano
Fleur des blés : Le long des blés que la brise fait onduler, mélodie pour voix et piano
Leçon pour la classe d'harmonie d'Émile Durand
Nuits d'étoiles : Nuit d'étoiles, sous tes voiles, mélodie pour voix et piano
Rêverie : Le zéphir à la douce haleine, mélodie pour voix et piano
Symphonie, pour piano 4 mains
transcription pour piano 4 mains de Petr Ilytch Tchaikovsky, Le lac des cygnes, 3è acte
(danses russe, espagnole et napolitaine)
1881 : Aimons-nous et dormons: Aimons-nous et dormons, sans songer au reste du
monde, mélodie pour voix et piano — Daniel: Versez, que de l'ivresse. Aux accents
d'allégresse, cantate pour 3 solistes et orchestre — Jane: Je pâlis et tombe en langueur,
chanson écossaise, mélodie pour voix et piano — Les roses: Lorsque le ciel de saphir,
mélodie pour voix et piano — Pierrot: Le bon Pierrot que la foule contemple, mélodie
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pour voix et piano — Rondel chinois: Sur le lac bordé d'azalée, mélodie pour voix et
piano — Séguidille: Un jupon serré sur les hanches, mélodie pour voix et piano —
Souhait: Oh! quand la mort que rien ne saurait apaiser, mélodie pour voix et piano —
Tragédie: Les petites fleurs n'ont pu vivre, mélodie pour voix et piano — Triolet à Phillis
[Zéphyr]: Si j'étais le zéphyr ailé, mélodie pour voix et piano — (1881-1882) : Hélène:
Franchis les mers icariennes, scène lyrique pour soprano, choeur à 4 voix mixtes et
orchestre
1882 : Choeur des brises: Réveillez-vous, arbres des bois, pour voix de femme et choeur
Clair de lune: Votre âme est un paysage choisi, mélodie pour voix et piano (1ère version)
Divertissement, pour piano 4 mains
En sourdine: Calmes dans le demi-jour, mélodie pour voix et piano (1ère version)
Fantoches: Scaramouche et Pulcinella, mélodie pour voix et piano (1ère version)
Fête galante: Voilà Sylvandre et Lycas et Myrtil, mélodie pour voix et piano
Florise, d'après la comédie, en 4 actes, de Théodore de Banville (non réalisé)
Flôts, palmes et sables: Loin des yeux du monde, mélodie pour voix et piano
Fugue à 4 voix, pour le concours final du Prix de Rome
Fugue à 4 voix, sur un sujet de Gounod, pour l'examen d'essai du Prix de Rome
Hymnis, comédie lyrique pour soliste, choeur et orchestre
Intermezzo, pour violoncelle et orchestre
Je vous la souhaite bonne et heureuse, chant pour une voix avec accompagnement de
piano ( Lettre de Nouvel An à Marie-Blanche Vasnier)
La fille aux cheveux de lin: Sur la luzerne en fleur, chanson écossaise, mélodie pour voix
et piano
Le lilas: O floraison divine des lilas, mélodie pour voix et piano
Le triomphe de Bacchus, suite d'orchestre, pour piano à 4 mains
Mandoline: Les donneurs de sérénades, mélodie pour voix et piano
Nocturne et Scherzo, pour violoncelle et piano
Pantomime: Pierrot qui n'a rien d'un Clitandre, mélodie pour voix et piano
Printemps: Salut printemps, jeune saison, cantate, pour choeur de voix de femmes et
orchestre
Rondeau: Fut-il jamais douceur de cœur pareille, mélodie pour voix et piano —
Sérénade: Las, Colombine a fermé le volet, mélodie pour voix et piano
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1883 : Chanson espagnole: Tra la la… nous venions de voir le taureau, duo pour 2 voix
égales — Chanson triste: On entend un chant sur l'eau dans la brume, mélodie pour voix
et piano — Coquetterie posthume: Quand je mourrai, que l'on me mette, mélodie pour
voix et piano — Églogue: Chanteurs mélodieux, habitants des buissons, duo pour soprano
et ténor avec piano — Fleur des eaux, mélodie pour voix et piano — Fugue pour le
concours de fugue
Fugue pour le concours d'essai du Prix de Rome — Invocation: Élevez-vous, voix de
mon âme, cantate pour choeur de voix d'hommes et orchestre — L'archet: Elle avait de
beaux cheveux blonds, mélodie pour voix et piano — Le gladiateur: Mort aux Romains,
tuez jusqu'au dernier, cantate pour 3 solistes et orchestre — Musique: La lune se levait,
pure, mais plus glacée, mélodie pour voix et piano — Paysage sentimental: Le ciel
d'hiver si doux, si triste, si dormant, mélodie pour voix et piano — Première suite
d'orchestre Romance [musique pour éventail]: Silence ineffable de l'heure, mélodie pour
voix et piano — (1883-1886) : Diane au bois, comédie héroique pour soprano et ténor
avec piano [fragment]
1884 : Apparition: La lune s'attristait Des séraphins, mélodie pour voix et piano — Fugue
à 4 voix, sur un sujet de Massenet, pour l'examen d'admisison pour le Prix de Rome —
La romance d'Ariel: Au long de ces montagnes douces, mélodie pour voix et piano — Le
printemps : L'aimable printemps ramène dans la plaine, pour choeur à 4 voix et orchestre
(FL 24) Version pour deux pianos et voix, premier mouvement ; second mouvement
— L'enfant prodigue, scène lyrique pour soprano, baryton et ténor avec orchestre (FL 57)
version piano 4 mains — Regret: Devant le ciel d'été, tiède et calme, mélodie pour voix
et piano — Romance: Voici que le printemps, ce fil léger d'avril, mélodie pour voix et
piano
1885 : Barcarolle: Viens! l'heure est propice, mélodie pour voix et piano — Chevaux de
bois: Tournez, tournez, bons chevaux de bois, mélodie pour voix et piano — L'ombre des
arbres: L'ombre de arbres dans la rivière embrumée, mélodie pour voix et piano —
(1885-1886) : Zuleima, ode symphonique pour chœurs et orchestre — (1885-1887) : :
Ariettes oubliées, mélodies pour voix et piano
1886 : As you like it (Comme il vous plaira), adaptation de Shakespeare, proposée par
Maurice Vaucaire (non réalisé)
Green: Voici des fruits, des fleurs, des feuilles, mélodie pour voix et piano
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Salammbô, d'après Flaubert (non réalisé)
Spleen: Les roses étaient toutes rouges, mélodie pour voix et piano
1887 : C'est l'extase: C'est l'extase langoureuse, mélodie pour voix et piano — Il pleure
dans mon cœur: Il pleure dans mon cœur comme il pleut sur la ville, mélodie pour voix et
piano — La mort des amants: Nous aurons des lits pleins d'odeurs légères, mélodie pour
voix et piano — Printemps, suite symphonique, en mi majeur, pour choeur, piano et
orchestre
1887-1888, La demoiselle élue: La demoiselle élue s'appuyait sur la barrière d'or du ciel,
poème lyrique, pour voix de femmes: 2 solistes, choeur et orchestre — (1887-1889) :
Poèmes de Beaudelaire, mélodies pour voix et piano
1888 : Arabesque I pour piano (FL 66 n° 1) — Axel, mélodie pour voix et piano — Le
balcon : Mère des souvenirs, maîtresse des maîtresses, mélodie pour voix et piano —
(1888-1889) : Petite suite, pour piano à 4 mains [En Bateau ; En Cortège ; Menuet ;
Ballet] (FL 65)
1889 : Harmonie du soir: Voici venir les temps où vibrant sur sa tige, mélodie pour voix
et piano — Le jet d'eau: Tes beaux yeux sont las, pauvre amante, mélodie pour voix et
piano — Recueillement: Sois sage, ô ma douleur, mélodie pour voix et piano —
transcription pour 2 pianos à 4 mains de Camille Saint-Saens, Introduction et Rondo
capriccioso (Op. 28) — transcription pour piano à 4 mains de Camille Saint-Saens
Caprice, pour piano, sur des airs de ballet d'Alceste de Gluck — (1889-1890) : Fantaisie
pour piano et orchestre,
1890 : Ballade (slave), pour piano (L 70) — La belle au bois dormant : Des trous à son
pourpoint vermeil, mélodie pour voix et piano — Mazurka, pour piano (FL 67) —
transcription pour 2 pianos à 4 mains de Richard Wagner, Le vaisseau fantôme
(ouverture) — Rêverie, pour piano (FL 68) — Tarentelle styrienne [Danse], pour piano
(FL 69) [orchestrée par Maurice Ravel en 1923) — transcription pour 2 pianos à 4 mains
de Camille Saint-Saens, Airs de ballet d'Étienne Marcel — transcription pour 2 pianos à 4
mains de Camille Saint-Saens, Symphonie n° 2, en la mineur (Op. 55) — Valse
romantique, pour piano (FL 71) — (1890-1892) : Rodrigue et Chimène, opéra en 3 actes
— (1890-1905) : Suite bergamasque, pour piano (FL 75)
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1891 : Arabesque II, pour piano — Clair de lune: Votre âme est un paysage choisi,
mélodie pour voix et piano (2è version) — Dans le jardin: Je regardais dans le jardin,
mélodie, en do dièse mineur, pour voix et piano — En sourdine: Calmes dans le demijour, mélodie pour voix et piano (2è version) — Fantoches : Scaramouche et Pulcinella
mélodie pour voix et piano (2è version) — Fêtes galantes I, mélodies pour voix et piano
— La mer est plus belle que les cathédrales, mélodie pour voix et piano — La
Princesse Maleine, texte de Maurice Maeterlinck (non réalisé) — Le son du cor s'afflige
vers les bois, mélodie pour voix et piano — L'échelonnement des haies moutonne à
l'infini, mélodie pour voix et piano — L'embarquement pour ailleurs, texte de Gabriel
Mourey (non réalisé) — Les Angélus: Cloches chrétiennes pour les matines, mélodie
pour voix et piano — Les cloches: Les feuilles s'ouvraient sur le bord des branches,
mélodie pour voix et piano — Marche écossaise, sur un thème populaire, pour piano
4 mains — Mélodies, pour voix et piano — Romance: L'âme évaporée est souffrante,
mélodie pour voix et piano — Romances, mélodies pour voix et piano — transcription
pour 2 pianos à 4 mains de Robert Schumann, Six études en forme de canon pour piano
ou orgue à pédales (Op. 56)
1892 : De grève: Sur la mer les crépuscules tombent, mélodie pour voix et piano — De
rêve: La nuit a des douceurs de femme, mélodie pour voix et piano — Les noces de
Sathan, pièce ésotérique, en 1 acte et en vers, texted de Jules Bois (non réalisé) —
Nocturne, pour piano (FL 92) — Ondine pour piano — (1892-1893) : Proses lyriques,
mélodies pour voix et piano — Scènes (3) au crépuscule, esquisses, pour orchestre —
(1892-1894) : Prélude à l'après-midi d'un faune, pour orchestre, pour orchestre (FL 86)
1893 : De fleurs: Dans l'ennui si désolément vert, mélodie pour voix et piano : De soir:
Dimanche sur les villes, mélodie pour voix et piano — Quatuor pour cordes, en sol
mineur, (opus 10 ; FL 85) — transcription pour piano à 2 mains de Joachim Raff,
Humoresque en forme de valse — (1893-1902) : Pelléas et Mélisande, drame lyrique en
5 actes et 12 tableaux avec orchestre (FL 88). Partition piano et voix, durand 1907
1894 : Images inédites pour piano (Lent, doux et mélancolique ; Sarabande Souvenir du
Louvre ; Quelques aspects de Nous n'irons plus au bois, toccata (FL 94) — Orphée (
Amphion), ballet avec Paul Valéry (non réalisé) — Sonate pour violon et piano (lettre à
Durand, juin 1894, non réalisé) — (1894-1901) : Pour le piano (Prélude ; Sarabande ;
Toccata ) (FL 95)
18
1895 : La grande bretèche, d'après Honoré de Balzac (non réalisé) — 1895-1898,
Cendrelune (La reine des aulnes), conte lyrique en 2 actes et 3 tableaux, texte de Pierre
Louÿs (non réalisé) — (1895-1898) : Daphnis et Chloé, scénario de Pierre Louÿs (non
réalisé)
1896 : Les uns et les autres, pièce en un acte, texte de Paul Verlaine (non réalisé) —
orchestration de Erik Satie, 1ère et 3è Gymnopédies —(1896-1897) : Aphrodite ballet
d'après le roman de Pierre Louÿs (non réalisé) — (1896-1900) : La Saulaie, mélodie pour
baryton et orchestre
1897 : La chevelure: Il m'a dit «Cette nuit d'ai rêvé», mélodie pour voix et piano — La
flûte de pan: Pour le jour des Hyacinthies, mélodie pour voix et piano — Le chevalier
d'or, pantomime de Madame Forain (non réalisé) — (1897-1898) : Chansons de Bilitis,
mélodies pour voix et piano — (1897-1899) : Nocturnes, tryptique symphonique pour
choeur de femmes et orchestre (FL 91). Transcriptions pour deux pianos par Maurice
Ravel : n° 1 ; n° 2 ; n° 3
1898 : Dieu ! qu'il la fait bon regarder!, pour choeur à 4 voix mixtes a cappella — Le
tombeau des Naiades: Le long du bois couvert de givre, mélodie pour voix et piano —
Yver, vous n'estes qu'un villain, pour choeur à 4 voix mixtes a cappella — (1898-1908) :
Chansons de Charles d'Orléans, pour choeur à 4 voix mixtes a cappella
1899 : Marche nuptiale ( pour le mariage de Pierre Louÿs: 24 juin) — Berceuse: Il était
une fois une fée qui avait un beau sceptre, pour une voix sans accompagnement — Pièce
pour une voix et orgue [perdu] — (1899-1902) : Nuits blanches: Tout à l'heure ses mains
plus délicates, mélodies pour voix et piano
1900-1901 : Musique de scène pour les Chansons de Bilitis
1901 : Le voyage de Pausole, symphonie d'après Pierre Louÿs (non réalisé) — Lindaraja,
pour 2 pianos à 4 mains — Prélude, pour piano — Toccata, pour piano — (1901-1911) :
Rhapsodie pour saxophone alto et orchestre ; Rondes du printemps, pour orchestre
1902-1911 : Le Diable dans le beffroi, conte musical en 2 actes et 3 tableaux [d'après
Edgar Allan Poe]
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1902-1917 : Comme il vous plaira, 3 actes et 5 tableaux d'après Shakespeare ([projet de
1886, repris avec P. J. Toulet, non réalisé)
1903 : D'un cahier d'esquisses pour piano (FL 99) — Estampes pour piano (FL 100) —
Jardins sous la pluie pour piano — La soirée dans Grenade, pour piano ; La terrasse des
audiences du clair de lune pour piano — Noël pour célébrer Pierre Louÿs pour toutes les
voix, y compris celle du peuple — Pagodes, pour piano — transcription pour piano à 2
mains de Robert Schumann, À la fontaine (extrait des 12 pièces pour piano à 4 mains,
Op. 85) — (1903-1905) : La Mer, esquisses symphoniques pour orchestre (FL 109)
1904 : Auprès de cette grotte sombre, mélodie pour voix et piano — Chansons de France,
mélodies pour voix et piano Colloque sentimental: Dans le vieux parc solitaire et glacé,
mélodie pour voix et piano — Danse profane, Danse sacrée pour harpe chromatique
avec accompagnement de cordes (2 violons, alto, violoncelle, contrebasse) (FL 103) —
Dionysos, tragédie lyrique, en 3 actes, texte de Joachim Gasquet (non réalisé) — Fêtes
galantes II, mélodies pour voix et piano — Hommage à Rameau pour piano ; Hommage
à Samuel Pickwick Esq. PPMPC pour piano — La Grotte: Auprès de cette grotte
sombre, mélodie pour voix et piano — Le faune: Un vieux faune de terre cuite, mélodie
pour voix et piano — Le roi Lear, musique de scène pour orchestre — Les ingénus : Les
hauts talons luttaient avec les longues jupes, mélodie pour voix et piano — L'isle joyeuse
pour piano (FL 106) — Masques, pour piano (FL 105) — Pièce pour piano (pour un
concours de la revue « Musica » (FL 108) — Reflets dans l'eau, pour piano — Rondel:
Le temps a laissié son manteau, mélodie pour voix et piano — Rondel: Pour ce que
Plaisance est morte, mélodie pour voix et piano
1904-1905 : Images I pour piano — (1904-1910) : Le promenoir des deux amants,
mélodies pour voix et piano
1905 : Les accords de septième regrettent ! ; neuf mesures pour piano — Mouvement,
pour piano – révision et réduction pour piano de Jean Philippe Rameau, Les Fêtes de
Polymnie — (1905-1908) : Ibéria, pour orchestre — (1905-1912), Images III, pour
orchestre
1906-1908, Children's Corner (petite suite pour piano) (FL 113) [1. Docteur Gradus ad
Parnassum ; 2. Jumbo's Lullaby (Berceuse des éléphants) ; 3. Serenade for the doll
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(Sérénade à la poupée) ; 4. The Snow is Dancing (La neige danse) ; 5. The Little
Sheppherd (Le petit berger) ; 6. Golliwog's Cake Walk]
1907 : Cloches à travers les feuilles pour piano — Et la lune descend sur le temps qui fût
pour piano — Images II pour piano (FL 111) — Petite cantate sur grand papier pour le
jour de sa fête Emma ( 3 voix, cloches et piano) — Poissons d'or, pour piano — (19071910) : Histoire de Tristan, drame lyrique, texte de Gabriel Mourey (non réalisé) —
Siddharta, drame bouddhique, texte de Victor Segalen (non réalisé) – Orphée roi, drame
lyrique, texte de Victor Segalen (non réalisé)
1908 : Quand j'ai ouy le tambourin sonner, pour choeur à 4 voix mixtes a cappella —
(1908-1917) : La chûte de la maison Usher, pièce d'après Edgar Allan Poe
1909 : Ce qu'a vu le vent d'ouest pour piano — Danseuses de Delphes pour piano — Des
pas sur la neige, pour piano — La cathédrale engloutie, pour piano — La sérénade
interrompue, pour piano — Le petit nègre, cake-walk pour piano (FL 114)— Le vent
dans la plaine, pour piano — Les collines d'Anacapri, pour piano — Les fées sont
d'exquises danseuses pour piano — Voiles, pour piano — Hommage à Haydn (FL 115)
— (1909-1910) : Masques et bergamasques, ballet pour Diaghilev (autres titres :
L'éternelle aventure; L'amour masqué, non réalisé) — Préludes I, pour piano (FL 117)
— Rhapsodie pour clarinette avec piano ou orchestre — (1909-1912) : Gigues, pour
orchestre
1910 : Ballade de Villon à s'Amye: Faulse beauté qui tant me couste cher, mélodie pour
voix et piano — Ballade des femmes de Paris: Quoy qu'on tient belles langagières,
mélodie pour voix et piano — Ballade que Villon feit à la requeste de sa mère pour prier
Nostre Dame : Dame du ciel, régente terrienne, mélodie pour voix et piano — Ballades
de François Villon, mélodies pour voix et piano — Crois mon conseil, chère Climène,
mélodie pour voix et piano — Je tremble en voyant ton visage, mélodie pour voix et
piano — La danse de Puck, pour piano — La fille aux cheveux de lin pour piano — La
plus que lente, valse pour piano ; La Puerta del Vino pour piano — Les sons et les
parfums tournent dans l'air du soir, pour piano ; Les tierces alternées pour piano —
Minstrels, pour piano — Petite pièce pour clarinette et piano ou orchestre — (1910-1912)
: Préludes II, pour piano (FL 123)
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1911 : Chant des matelots du vaisseau qui ne veut rien savoir ; pour un petit mousse, 1ère
et 2è basses — Le martyre de Saint Sébastien, musique de scène pour un mystère en 5
actes pour solistes, chœur et orchestre
1911-1912 : Khamma, légende dansée, en 3 scènes, de W.L. Courtney et Maud Allan —
(1912-1913), Jeux, poème dansé de Nijinsky, en un acte (FL 128) Partition manuscrite
; Réduction pour piano, durand 1912
1912-1914 Crimen amoris, conte lyrique, en 3 actes, texte de Charles Morice d'après Paul
Verlaine (devenu Fêtes galantes, opéra-ballet avec la participation de Louis Laloy)
1913 : Évantail : Ô rêveuse pour que je plonge, mélodie pour voix et piano — La boîte à
joujoux, ballet pour enfants, livret d'André Hellé (128)— Placet futile: Princesse! À
jalouser le destin d'une Hébé, mélodie pour voix et piano — Poèmes de Stéphane
Mallarmé, mélodies pour voix et piano — Soupir: Mon âme vers ton front où rêve, ô
calme sœur, mélodie pour voix et piano — Syrynx, pour flûte seule — Berceuse
héroique pour piano (FL 132) ; Brouillards pour piano ; Bruyères pour piano ; Canope
pour piano — 6 Épigraphes antiques, pour piano à 2 et à 4 mains (FL 131) [1. Pour
invoquer Pan, dieu du vent d'été ; 2. Pour un tombeau sans nom ; 3. Pour que la nuit soit
propice ; 4. Pour la danseuse aux crotales ; 5. Pour l'Égyptienne ; 6. Pour remercier la
pluie au matin] ; Version orchestrée par Jean-Marie Morel, Éditions Symétrie, Lyon 2006
(n° 1862-1918 ; ISMN M-2318-0110/ 0116] En six cahiers conducteurs et un cahiers de
parties séparées. — Le palais du silence ou NO-JA-LI, ballet en un acte de Georges de
Feure
1914 : Noël pour 1914 (voix et piano) — La neige sur le village, poème symphonique, en
5 mesures, avec cloches — (1914-1915) : révision de Frédéric Chopin, Œuvres complètes
pour piano
1915 : Œuvre pour « Les vêtemens du blessé », Élégie pour piano (FL 133) — En
blanc et noir, pièces pour 2 pianos à 4 mains (FL 134] Avec emportement (do majeur)
; Lent. Sombre (do majeur) ; Scherzando (ré mineur) — Études (12) pour piano,
premier livre (FL 136) : n° 1. Pour les cinq doigts d'après monsieur Czerny, pour piano ;
n° 2 Pour les tierces ; n° 3. Pour les quartes ; n° 4. Pour les sixtes ; n° 5. Pour les
octaves ; n° 6. Pour les huit doigts ; Études pour le piano, second livre (FL 137) : n°
22
7. Pour les degrés chromatiques ; n° 8. Pour les agréments ; n° 9. Pour les notes
répétées ; n° 10. Pour les sonorités opposées ; n° 11. Pour les arpèges composés ; n°
12. Pour les accords — Feuilles mortes pour piano ; Feux d'artifice pour piano ; Général
Lavine, eccentric pour piano — Lent. Sombre, pour 2 pianos à 4 mains — Noël des
enfants qui n'ont plus de maison : Nous n'avons plus de maison, mélodie pour voix et
piano — Pièce pour piano — Scherzando, pour 2 pianos à 4 mains — Sonate en trio
pour flûte, alto et harpe — Sonate pour hautbois, cor et clavecin (non réalisé) — Sonate
pour trompette, clarinette, basson et piano (non réalisé) — Sonate, en forme de concert,
pour divers instruments (non réalisé) — Sonate pour violoncelle et piano
1916-1917 : Ode à la France: Les troupeaux vont par les champs désertés, cantate, pour
soprano, choeur mixte et orchestre ; Sonate pour violon et piano (FL 140) Conducteur,
piano, violon ; partie violon
1917 ; révision de Johann Sebastian Bach, Six sonates pour violon et clavevin et Trois
sonates pour piano et violoncelle
23
b) Le portrait de Debussy
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La bibliographie
01, Claude Debussy - Claude Debussy/Barvy a rytmus
02, Malá encyklopédia hudby - 1983
03, Classical Music Pages - http://w3.rz-berlin.mpg.de/cmp/debussy.html
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