Mars-avril 2014
CENTRE DE DOCUMENTATION
Sélection de références extraites du fonds documentaire
ESTIME DE SOI
Les troubles de l’estime de soi (dossier). Santé mentale. Fév. 2014, n° 185. p.
20-75.
« Préoccupation contemporaine majeure, l’estime de soi est une facette importante
de la personnalité. Elle passe par l’acceptation de soi, l’autocompassion et la
collaboration avec autrui. En psychiatrie, cette notion est impliquée dans les origines,
la chronicisation et les récurrences de nombreux troubles psychiatriques. Clinique de
l’estime de soi. »
Sommaire du dossier
- en sommes-nous avec l’estime de soi ? Christophe André, p. 22.
- Efficacité personnelle et estime de soi Albert Bandura, p. 28.
- Evolution du concept d’estime de soi – Emeline Bardou,
Nathalie Oubrayrie-Roussel, p. 32.
- Narcissisme et estime de soi : quelles relations ? Catherine Chabert, p. 38.
- L’estime de soi pour bien grandir – Hélène Denis, p. 42.
- Estime de soi et scolarité Emeline Bardou, p. 46.
- Troubles schizophréniques et estime de soi Cyrille Bouvet, p. 52.
- «Qu’est-ce-que j’aime chez moi ?» - Alexandra Leduc, p. 56.
- Estime de soi et trouble bipolaire, Sophie Lauer, p. 60.
- «Je sais, je suis nulle» - Aurélie Docteur, p. 64.
- Grandeur et misère de l’estime de soi sur le Net Serge Tisseron, p. 68.
- Pour en savoir plus Ascodocpsy, p. 74.
HÔPITAL
MAURANGES, Aline. Stress, souffrance et violence en milieu hospitalier.
Montargis : Mutuelle Nationale des hospitaliers et des professionnels de la
santé et du social, 2011.
« La réflexion de trop, un mot de travers, le mal-être des autres qui dérange, dont on
ne veut pas prendre conscience, des conditions de travail qui se fondent dans le
quotidien que personne n’ose évoquer… La souffrance verbale, physique, une
souffrance latente, qui nuisent à la sérénité des soins,[…] En prise directe avec la
souffrance, le soignant est immanquablement confronté à ses doutes… à son
devenir d’Etre humain. Quelles sont ses armes, quelles seront ses réactions ? Aussi
dans un contexte de politique de prévention, de quelle manière aborder cette
souffrance, cette violence qui ‘transpire’ en milieu hospitalier… tant du côté des
soignants que des patients
Sommaire du manuel:
I- Le quotidien en service de soins - p.1.
A- Face à la mort - p. 3.
B- Face à la souffrance p. 11.
II- Les relations conflictuelles p. 17.
A- Violence sur le corps du soignant p. 18.
B- Les urgences, un service à part p. 44.
C- Violence du corps soignant sur les patients - p. 55.
D- Les relations conflictuelles dans les équipes p. 79.
III- Les conditions et l’organisation du travail - p.97.
Violence et dysfonctionnements p. 99.
IV- Le syndrome d’épuisement professionnel – p. 139.
V- Conclusion p. 151.
VI- Références p. 159.
VII- Bibliographie p. 163.
PLACEMENT SOUS SURVEILLANCE DE SURETE
Les premiers placements sous surveillance de sûreté. AJ Pénal. Mars 2014, p.
105-118
Dans un avis du 31 janvier 2014 (JO du 25 vrier), le Contrôleur général des lieux
de privation de liberté pointe certaines incohérences du régime des mesures de
sûretés créées par la loi du 25 février 2008. S’il évoque essentiellement la rétention
de sûreté dans son avis en ce qu’elle entraîne une privation de liberté en centre
socio-dico-judiciaire, il relève que trois des personnes sur quatre placées en
rétention de reté depuis 2011 l’ont été à la suite d’une connaissance dune des
obligations de la surveillance de sûreté.
Ainsi, souvent présentée comme moins attentatoire à la liberté, la surveillance de
sûreté n’en est pas moins une mesure grave pour les personnes concernées et les
conditions dans lesquelles ces mesures sont prononcées méritent la plus grande
vigilance. Il apparaît toutefois que les premières audiences de placement sous
surveillance de sûreté démontrent un manque de précision des textes notamment au
détriment des droits de la défense.
La notion de dangerosiqui est pourtant l’élément central du prononcé des mesures
de sûren’est toujours pas une notion univoque et, quoi qu’il en soit, la nécessité de
rester dans une perspective de réinsertion est indispensable pour ces mesures
comme le démontre l’expérience néerlandaise.
Sommaire du dossier
- Quels droits de la défense pour la personne placée sous surveillance de sûreté ou
en rétention de sûreté ? Virginie Bianchi, p. 106
- L’audience devant la JRRS – Gérard Lorho, p. 109
- Tableau synthétique présentant les mesures de surveillance et rétention de sûreté
Emmanuelle Allain, Maud Léna
- L’expertise psychiatrique et l’évaluation de la dangerosité pour la JRRS rétention de
sûreté Sophie Baron Laforêt, Arianne Casanova
- « TBS », une mesure de reté hollandaise applicable aux condamnés présentant
des troubles mentaux : un équilibre rompu ? Michiel Van Der Wolf, p. 115
TRAVAIL EN EQUIPE
Faire équipe (dossier). Santé mentale. Mars 2014, n° 186. p. 20-78.
L’équipe ne se décrète pas, elle se construit et structure chacun au fil du temps. Mais
comment « faire équipe » et articuler des différentes fonctions de professionnels ?
Les travaux psychanalytiques et ceux réalisés en clinique du travail éclairent ces
questions. En psychiatrie, l’équipe offre à ses membres une organisation défensive
commune permettant de faire face aux angoisses psychotiques. Dans cette
enveloppe groupale, l’équipe tisse du lien dont dépend la qualité du soin.
Sommaire du dossier
- Construire le « faire ensemble » - Dominique Lhuilier, p. 20
- Passer par l’équipe – Sophie Barthélémy, p.28
- Patient et équipe : une question d’accordage Chady Prévoteau, Clarisse Vollon,
p. 34
- Les femmes, la violence et l’équipe soignante Dominique Friard, Anne-Sophie
Kieffer, p. 40
- Une éducatrice dans l’équipe – Evelyne Besson, p. 46
- Lectures à plusieurs voix d’un travail en équipe Laetitia Albertini, Nathalie Gisbert,
Philippe Depalemacker, Béatrice Wallet, p. 52
- Travail d’équipe et activités informelles Jean-Paul Lanquetin, p. 58
- Les outils de gestion du faire ensemble Yannis Bussy, Raymond Panchaud, p. 64
- « Faire équipe, c’est exister dans la tête de chacun » - Philippe Quinet, p. 70
- Sculpte-moi une équipe Dominique Friard, p. 76
- Pour en savoir plus Ascodocpsy, p. 78
SOINS SOUS CONTRAINTE
Association Des Établissements participant au service public de Santé Mentale
(ADESM). Psychiatrie : guide des soins sans consentement. Association Des
Établissements participant au service public de Santé Mentale (ADESM), 2014, 38 p.
Le Centre Hospitalier Sainte-Anne, l’Association Des Établissements participant au
service public de Santé Mentale (ADESM) et la Société Hospitalière d’assurances
mutuelles (SHAM) se sont associés pour concevoir un guide pratique des soins sans
consentement.
Ce guide, fruit d’une riche collaboration entre différents acteurs de la prise en charge
(médecins, directeurs, juristes), est constitué sous forme de fiches pratiques. Il alerte
le lecteur sur les points de vigilance observés dans la pratique quotidienne des
établissements et issus de l’interprétation de la jurisprudence. Le guide ne décrit
qu’une seule procédure d’admission des soins sans consentement celle à la
demande d’un tiers.
Soins sous contrainte : mieux informer. Santé mentale, Actualités. Fév. 2014,
n° 185. p. 2.
Après une enquête auprès d’une quarantaine de patients hospitalisés, le Centre
Hospitalier Gérard-Marchant va renforcer l’accompagnement de l’information sur la
loi du 5 Juillet 2011 « relative aux droits et à la protection des personnes faisant
l’objet de soins psychiatriques et aux modalités de leur prise en charge. »
Psychiatrie délabrée en prison. Santé mentale. Fév. 2014, n° 185. p. 3.
Lors de son rapport annuel, la Cour des Comptes pointe la défaillance dans l’offre
psychiatrique, malgré un besoin de soins grandissants des personnes détenues. La
saturation des Unités Psychiatriques Spécialement Aménagées révèle un vrai
problème et une série de recommandations.
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