Les 20 points qui me caractérisent en tant qu’apprenant Curiosité : Je pense que je me caractérise par une bonne curiosité générale, et c’est un moteur sur lequel je m’appuie particulièrement en auto-apprentissage. Liberté : Je considère que l’auto-apprentissage est l’un des deux espaces de liberté avec le projet sui nous est offert avec l’ENSGSI : j’apprécie beaucoup cet espace, qui nous apprend à travailler en autonomie. Adaptation : A la fois à de nouvelles méthodes de travail, et à un nouveau binôme. L’adaptabilité à diverses méthodes est je pense l’une des qualités que l’on cherche à développer pendant notre apprentissage à l’ENSGSI. Efficacité : Mon défi cette année a été de trouver avec mon binôme une certaine efficacité dans le travail. Je pense que je peux progresser dans ce domaine, notamment en travaillant sur la régularité indispensable pour être efficace (voir Irrégularité). Irrégularité : L’un de mes points faible, quelque soit la méthode de travail, c’est dans la gestion de la régularité. Je dois réussir à prendre conscience des mécanismes qui me font « dérailler » lorsque je souhaite m’engager à suivre une voie, une méthode, et réussir à les éviter. Partage : En auto-apprentissage, je ressens le besoin de ressentir un partage avec mon binôme dans l’apprentissage. C’est pour moi une notion indispensable pour réussir à travailler. Cela passe par une bonne communication en équipe (voir Communication). Objectifs : Avec mon binôme, nous avons beaucoup travaillé sur la définition des objectifs. Malgré ce que l’on a accompli, je ressens toujours des difficultés à définir des objectifs clairs et surtout à m’y tenir. Clarification : Dans l’apprentissage des langues comme pour le management d’équipe, je crois que la notion de clarification est indispensable. Cela rejoint directement le travail effectué sur les objectifs, et est essentiel pour pouvoir se fixer des moyens de progresser. Communication : Qui dit travail en équipe dit échange, qui dit échange dit communication. Tout le travail posé cette année en auto-apprentissage des langues porte sur la capacité à communiquer dans une autre langue, la communication se trouve donc partout dans ce bilan. Oral : A titre personnel, j’ai parfois connu des difficultés à communiquer à l’oral en public. J’ai également certaines difficultés à me concentrer et saisir la globalité des conversions orales. L’oral a donc et sera encore un de mes axes privilégié pour poursuivre ma progression. Persévérance : Je pense être quelqu’un de persévérant, en particulier dans les études que je mène au GSI. Je pense ici particulièrement par exemple à la persévérance que je peux mettre en projet lors des moments difficiles, ou pour suivre une formation scientifique qui me déplait. Je crois que j’applique cette qualité en auto-apprentissage dans mon mode de fonctionnement. Evaluation : (voir Objectifs). Définition des objectifs et moyens d’évaluation sont des notions complémentaires, largement liées dan l’apprentissage des langues. Le TOIEC est l’un des moyens d’évaluation, mais il faut également être capable de créer sa propre grille pour s’auto-évaluer. Estime de soi : Le gros chantier que j’ai engagé cette année en management et en développement personnel se porte sur l’estime de soi. Cela influe forcément sur ma manière d’aborder l’autoapprentissage des langues, en lien permanent avec le projet et le pôle MP3. Confiance : La confiance en soi découle directement de l’estime de soi. Dans les activités que j’entreprends, le manque d’estime de moi-même peut agir sur ma confiance et me faire douter de mes capacités. J’essaye de minimiser ces doutes en auto-apprentissage. Peurs : Parfois, certaines peurs peuvent ressortir lorsque l’on se confronte à des situations pendant lesquelles on ne sent pas forcément à l’aise. Mon profil -/+ exacerbe ces peurs. Je cherche à apprendre à contrôler ces peurs en auto-apprentissage en me plaçant volontairement de ces situations en auto-apprentissage. Energie : L’énergie que j’investi dans un projet dépend de ma motivation, du contexte extérieur qui m’entoure et de l’énergie que je consacre déjà à d’autre projet engagés. Autant dire que cela fluctue très rapidement. Je dois apprendre à être plus constant dans l’énergie que je peux proposer, et cela passe par un travail sur les énergies superflues que je peux dépenser en une journée, notamment émotionnelles. Cela passe par une meilleure maîtrise de mon lâcher-prise (voir définition lâcherprise). Lâcher-prise : Je suis très dépendant de mon état émotionnel. Je dois arriver à dominer mes émotions, à savoir ne pas se bloquer sur certains ressentis lors de certaines activités d’autoapprentissage. Je cherche pour cela à exprimer de plus en plus mes ressentis, même si je peux croire que ceux-ci ne sont pas forcément indispensables à un échange. Evolution : Nous sommes des étudiants dont le but est de progresser et de se former en vu de notre futur avenir professionnel. La notion d’évolution est au cœur de notre démarche d’autoapprentissage. Cela passe par la prise de conscience de soi, puis par la mise en place de moyen pour faire évoluer les mécanismes de fonctionnement internes. Résultats : Sur le TOEIC, je considère mes résultats comme décevants (score 610) par rapport aux espérances de l’évolution que j’envisageais. C’est le bémol que je peux trouver cette année dans mon auto-apprentissage. Expérimentation : Une notion que j’apprécie beaucoup avec la liberté dans l’auto-apprentissage. Je terminerais par cette composante, parce que pour moi c’est la notion qui intervient le plus dans l’auto-apprentissage et c’est celle qui me fait le plus adhérer à cette méthode de travail.