( Réponses aux questions pour résoudre le problème
1. La teneur en dioxygène diminue en présence du muscle.
2. L’eau de chaux est troublée en fin d’expérience, mettant ainsi en évidence une production de dioxyde
de carbone par le muscle.
3. Le muscle consomme du dioxygène et rejette du dioxyde de carbone.
4. Le glucose est consommé par les organes.
5. La quantité de glucose diminue avec le temps en présence du muscle. Celui-ci a donc consommé du
glucose.
6. Le sang quittant le muscle contient moins de glucose et de dioxygène que le sang entrant, mais plus de
dioxyde de carbone.
7. Le sang fournit au muscle du glucose et du dioxygène et récupère le dioxyde de carbone produit par
son travail.
➜Les organes ont besoin de prélever du dioxygène et des nutriments dans le sang. Ils y rejettent des
déchets, comme le dioxyde de carbone.
Des échanges variables selon l’activité
( Réponses aux questions pour résoudre le problème
1. Après l’effort, la coloration est moins foncée. La quantité de glucides présente dans le muscle est donc
plus faible après l’effort qu’au repos. Le muscle a donc consommé des glucides au cours de l’effort.
2. Plus l’effort est important, plus le muscle consomme de dioxygène et rejette de dioxyde de carbone.
3. La consommation de dioxygène et de glucose du cerveau d’une part, le rejet de dioxyde de carbone
d’autre part, sont supérieurs lorsque le cerveau est en activité.
4. Les besoins du cerveau et du muscle augmentent avec l’activité.
5. Une augmentation de l’activité du cerveau entraîne une augmentation du débit sanguin.
6. Au cours de l’effort, le débit sanguin dans les muscles, le cœur et les poumons augmente.
➜Quand l’activité augmente, les apports de dioxygène et de nutriments augmentent grâce à une aug-
mentation du débit sanguin.
Activité
3
19
L’organisme en activité
Les options pédagogiques de l’activité
Après avoir étudié les échanges réalisés en permanence par les organes, on s'intéresse maintenant
à ceux-ci lorsque l'activité est variable. On commence par la quantité de glycogène présent dans le
muscle, avant et après un effort, ce qui permet de mettre en évidence une consommation (doc. 1). Puis
on s'intéresse à la respiration du muscle (doc. 2). On déduit de ces deux documents que les besoins aug-
mentent avec l'activité. Et pour les autres organes ? Les mêmes paramètres sont comparés pour le cer-
veau (doc. 3). Le document permet ainsi de montrer que tous les organes sont actifs, au repos comme
à l'effort.
Dans la deuxième partie de l'activité, on s'intéresse à l'irrigation des organes au cours d'une varia-
tion de l'activité. On reprend l'exemple du cerveau (doc. 4), puis celui des organes de l'effort (doc. 5).
Le constat est le même : les organes en activité reçoivent plus de sang que lorsqu'ils sont au repos. Cela
permet de comprendre comment ils peuvent consommer plus de nutriments et de dioxygène.