Début 20ième Siècle : Etudes et théories des
reflexes de Sherrington au centre de l’étude de
la motricité.
Plus tard : réflexes considérés comme peu
significatifs face à la complexité et la fléxibilité
des comportements.
Puis : partie des théories ré-intègrent le rôle
des réflexes dans le contrôle volontaire.
Des milliers de neurones spinaux sont
impliqués dans le moindre mouvement, on ne
peut déduire le mouvement de l’activité des
neurones isolés, considérés individuellement.
Æétude et théories du contrôle moteur.
Æon s’éloigne du comportement des éléments
isolés (neurones spinaux, etc) pour se baser sur
des variables essentielles (force, longueur) qui
semblent effectivement contrôlées.