Les bases du mouvement volontaire
Début 20ième Siècle : Etudes et théories des
reflexes de Sherrington au centre de l’étude de
la motricité.
Plus tard : réflexes considérés comme peu
significatifs face à la complexité et la fléxibilité
des comportements.
Puis : partie des théories ré-intègrent le rôle
des réflexes dans le contrôle volontaire.
Des milliers de neurones spinaux sont
impliqués dans le moindre mouvement, on ne
peut déduire le mouvement de l’activité des
neurones isolés, considérés individuellement.
Æétude et théories du contrôle moteur.
Æon s’éloigne du comportement des éléments
isolés (neurones spinaux, etc) pour se baser sur
des variables essentielles (force, longueur) qui
semblent effectivement contrôlées.
Deux théories actuelles sur l’activation musculaire
volontaire :
Théorie 1: La commande centrale :
Conditionne directement les niveaux d’activité des
motoneurones alpha et donc le niveau d’activation
des muscles.
Les réflexes sont mineurs, n’interviennent que lors
de correction de perturbations extérieures
inattendues.
Théorie 2 : La commande centrale :
Modifie niveau d’activité musculaire.
Spécifie les paramètres des réflexes musculaires.
Illustration : Refléxe de dé-lestage (“unloading”)
Tâche de contraction volontaire importante et
constante contre une charge attachée au
poignet
On supprime brusquement la charge :
mouvement explosif
la mesure de l’activité musculaire (EMG)
indique absence de toute activité électrique du
muscle
Æ“Inverse” du réflexe d’étirement : le muscle
raccourci brutalement en l’absence de charge,
absence d’activité des fuseaux
neuromusculaires, la boucle réflexe est
temporairement inopérante.
Retrait de la charge
EMG
Temps (sec)
0.1
00.2
EMG
Mg (charge)
1 / 23 100%
La catégorie de ce document est-elle correcte?
Merci pour votre participation!

Faire une suggestion

Avez-vous trouvé des erreurs dans linterface ou les textes ? Ou savez-vous comment améliorer linterface utilisateur de StudyLib ? Nhésitez pas à envoyer vos suggestions. Cest très important pour nous !