nutation ( fermeture du grand bassin (entre les deux ailes iliaques et la base du sacrum) et ouverture du
petit bassin (entre les ischions et le coccyx) s’il s’agit de rotation postérieure d’iliaque avec extension
du sacrum ;) et de contre nutation (ouverture du grand bassin (entre les deux ailes iliaques et la base
du sacrum) et fermeture du petit bassin (entre les ischions et le coccyx) s’il s’agit de rotation
antérieure d’iliaque avec flexion du sacrum
parce que Le bassin est le relais entre le haut et le bas du corps, avec la convergence
- de forces montantes, venant des appuis, par l’os coxal,
- de forces descendantes, venant du tronc (et plus spécifiquement de la tête et du regard, en relation
dynamique constante avec l’extérieur), par le sacrum.
Ces forces se rencontrent au niveau des sacro-iliaques qui doivent rester mobiles pour les permanents
ajustements et adaptations nécessaires aux mouvements… La fonction posturale globale de stabilité du
bassin ne peut d’ailleurs se faire que dans cette mobilité minimale d’adaptation (et non dans la
rigidité), le passage devant être laissé pour les interactions constantes entre le haut et le bas, ce qui
demande également à ce que les lombaires elle mêmes soient libres de permettre et transmettre le
mouvement et ne soient ni en hyper lordose, ni en délordose.Le bassin est donc un centre de stabilité,
un centre musculaire reliant les extrémités, un centre aussi de mouvement en ce sens que, « abritant »
le centre de gravité, il va précéder, en pré-mouvement, tout mouvement de l’ensemble ou d’une autre
partie du corps. Il est lieu de liaison, de centration, de concentration de la vitalité, jusqu’à hériter,
même, de ce « cœur au ventre »…(site :
http://www.chups.jussieu.fr/polysPSM/anatfonctPSM2/poly/POLY.Chp.5.html)
- de manière générale souplesse chaîne postérieure de l’ensemble du corps pour faciliter
allongement dans l’extension et notamment allongement colonne vertébrale entre coccyx et
occiput.
- de manière générale souplesse chaîne croisée pour faciliter les coordinations
contralatérales et l’extension correspondante.
- de manière compensatoire : souplesse chaîne antérieure du buste et rotation externe +
abduction de l’épaule.
4- La souplesse : du général au particulier et du particulier au général
S’il est nécessaire de déterminer les zones particulières de tension sur lesquelles il faudrait
intervenir, il est rarement pertinent d’agir directement dessus car l’organisme va mettre en place
des mécanismes de compensation. Et si on le fait, les mouvements devront être très précis avec une
attention portée aux zones de tension.
-
travailler sur la posture
-
travailler sur les chaînes myofasciales
-
travailler sur des groupes musculaires et des articulation par rapport à des mouvements
particuliers.
-
Travailler sur des muscles et des fibres musculaires et le réintégrer dans les chaînes
myofasciales.
5- travail de ressenti et de prise de conscience fondamental en situation de chaleur, de confort
et de sérénité.
II- Les méthodes et objectifs
1- Relâchement, relaxation, massage et eutonie (on ne le fera que sur une articulation)
2- Allongement des chaînes (on fera myofaciales postérieure et en fonction du temps croisée)
par :
Enchaînement de mouvements globaux spécifiques lents en attention-concentration
pour justesse des mouvements et relâchement.
Posture passive nécessitant et entraînant un relâchement et un allongement.
Activo-passif (strech actif)): action d’une partie du corps qui étire l’autre
Activo-passif (stretching) : contraction contre résistance, relâchement, étirement.(on
ne fera pas)
3- Etirement postural passif et actif d’articulations par rapport à des mouvements globaux de
ces articulations en visant l’allongement des muscles limitant le mouvement :