Les postures : si on les pratique régulièrement, on progresse très vite... Ce sont des
exercices de souplesse active. Pour les exécuter régulièrement, il faut motiver les
athlètes par le chronomètre ou par des exercices d’équilibre de plus en plus durs
(défis).
Une posture : se tenir debout, exécuter un mouvement sur un point d’appui, il
entraîne une tension sur une chaîne musculaire.
Tenir compte du muscle abdominal profond : le transverse. C’est le muscle abdominal
principal, il solidarise les ceintures pelviennes et scapulaires. Contracté, il place les
viscères dans une situation dynamique.
Passer de la position stable vers une position de déséquilibre, retrouver l’équilibre
(proprioception). Faire varier l’amplitude du mouvement pour créer un déséquilibre :
faible, moyenne, forte. Ces mouvements favorisent le tonus des tendons et préviennent
des blessures de l’enveloppe musculaire, de l’aponévrose des fascias (liens) et des
tendons.
Ce sont des mouvements préalables à des exercices violents : sprint, détente,
musculation lourde...
La séance doit tenir compte du temps imparti aux différents exercices de posture.
Respecter un ordre : par exemple, effectuer les exercices en partant du pied et en
remontant vers le haut du corps. Quelles sont les intentions de la posture ? Se
concentrer sur sa posture : consigne :
-« Je rentre le ventre ! » se concentrer sur cette consigne, permet de mettre le
transverse en tension. Permet aussi, de s’auto corriger.
Le transverse, est le muscle abdominal profond, il est indispensable de le développer
pour l’efficience des gestes d’athlétisme. Ne pas perdre trop de temps à muscler les
autres abdominaux, qui servent surtout à avoir des « barres de chocolat ».
Les exercices de souplesse ci-joints, respectent un ordre et sont complétés par des
mouvements d’ensemble. ( voir figures 1 à 24).