- surconsommation de glucides a IG élevé : Ils favorisent la prise de masse grasse viscérale :
cette graisse, localisée au niveau de l’abdomen, a la particularité d’être inesthétique, mais
également d’augmenter le risque de maladies cardiovasculaires et de diabète. Ils augmentent
le risque de diabète de type 2 .Ils augmentent le risque et les symptômes de toute maladie
inflammatoire et font vieillir l’organisme prématurément.
- grignotage (+ 50% des apports caloriques) : Est caractérisé par un fractionnement des repas.
Le grignotage concerne tous les aliments consommés en dehors des trois grands repas
quotidiens (petit déjeuner, déjeuner, dîner) ou les petits aliments destinés à remplacer les
repas traditionnels. Dans certaines cultures, on préfère les aliments salés comme les bretzels,
les petits pains croustillants et les chips, dans d'autres, on s'oriente plutôt vers des aliments
plus sucrés comme les yaourts, les fruits, les gâteaux secs, le chocolat ou les boissons
gazeuses.
- surconsommation de boissons alcoolisées : La consommation d’alcool s’accompagne
souvent de modifications qualitatives dans la prise alimentaire, même quand la consommation
énergétique totale n’est pas diminuée. Par ailleurs, elle stimule la lipogenèse et freine la
lipolyse. Mais entraîne également une stimulation de l’appétit suite à une forte inhibition de la
néoglucogenèse.
-facteurs environnementaux : Notre environnement socioculturel à beaucoup changé depuis
une vingtaine d’année. La publicité est omniprésente et elle modifie notre rapport au corps, à
l’alimentation. Cependant, ce sont ces mêmes publicités qui, aujourd’hui, permettent de
prévenir de cette obésité qui ne cesse de croître.
- facteurs psychologiques : la nourriture est efficace pour répondre à un stress : boulimie
(personne anxieuse qui mange n'importe quoi), anorexie (arrêt de l'alimentation).
- troubles hormonaux :
Chez la femme obèse, les perturbations du cycle sont fréquentes. Elle s'accompagne souvent
d'une raréfaction des ovulations et d'une baisse de la fertilité.
Chez l'homme, en cas d'obésité particulièrement sévère, le taux de testostérone libre tend à
s'abaisser.