Remerciements
Voici venu le moment des remerciements, peut-être en un sens le moment le
plus important - tout du moins symboliquement - puisque ces quelques mots à la
fois terminent trois ans de travail et débutent ce manuscrit...
Je tiens tout d’abord à remercier Jacques, mon directeur préféré, pour m’avoir
guidé pendant ces trois années, amené dans un monde inconnu, laissé dériver un
sujet qui ne me plaisait pas tant que ça et travailler dans mon coin sur un problème
qui ne l’intéressait pas tant que ça, autorisé à me rebeller dans les cercles faits pour,
fait découvrir d’étranges mots qui se déclinaient en d’étranges livres (cette thèse
pourrait presque être ma propre excession) et montré des chatons aux moments
opportuns.
Ensuite mes remerciements vont à mes rapporteur·e·s, Lucia et Yousuke, pour
avoir accepté de lire cette thèse et pour leurs nombreuses remarques constructives
qui ont amené à la version que vous pouvez lire aujourd’hui. Notamment merci à
Lucia pour m’avoir forcé à préciser tous ces petits points trop vagues que j’avais
laissé, et Yousuke pour avoir subi un jour de ma part un exposé dont on devrait
ne jamais se rappeler.
Enfin terminons cette première vague en remerciant également les membres de
mon jury pour avoir accepté de venir et de juger. Merci à Jean-Pierre Ramis pour
son regard lointain mais déterminant, à Charlotte pour son aide et son écoute
quand j’avais besoin de parler maths et pour un cours de M2 dont je me souvien-
drai à jamais, à Julien pour ses nombreuses invitations à Grenoble, à Changgui
pour ma première conférence et pour une baguette de pain très nourrissante.
Une thèse, ce n’est pas seulement un·e doctorant·e face à un jury ; c’est aussi
des collègues, ami·e, une famille qui vous aident, vous soutiennent, vous accom-
pagnent. Permettez-moi donc de vous retenir un peu pour les remercier elleux aussi.
Tout d’abord merci à Thomas Dreyfus sans qui tout un chapitre de cette thèse
n’existerait pas, et qui est la vivante image de ce qui m’attend après soutenance.
Merci aussi à ma "grande sœur", Virginie Bugeaud, que je n’ai jamais rencontré
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