On n’en sort pas, la violence est partout, tant dans les chaumières que dans les écoles, dans la
rue, dans les guerres fratricides. Plus on entend de « nouvelles », plus la violence nous frappe
de plein fouet et plus elle nous inquiète, plus elle se localise, plus elle se rapproche de nous
tous.
Juste ces derniers jours, on s’étonne des agressions importantes envers des enfants, des
soignants, des enseignantes, des personnes âgées, et aucun voisinage ne s’y soustrait. On ne
peut plus l’ignorer, elle crée de l’inquiétude, des stress toxiques et des replis sur soi-même. La
prévention comme la répression ne semblent rien y changer, car elle continue de progresser et
de se rapprocher de nous de façon insidieuse.