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Conseils Et Exercices Pour Révéler Vos Facultés Psi - Paranormal - Telekinesie - Psychokinèse - Télépathie - Clairvoyance

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Conseils et exercices pour révéler vos facultés
psi
Les conseils et exercices proposés sont développés plus complètement dans
"l'encyclopédie du paranormal" http://www.girard.fr/ où, pour chaque phénomène étudié, je
propose les conseils et exercices spécifiques.
Le secret du psi : des états de conscience modifiés
Ma propre expérience et celles d’autres sujets psi sont sans ambiguïté. Pour produire un
phénomène paranormal, l’état mental doit être différent, « décalé » en regard à l’environnement, ce
qu’on appelle un état modifié de conscience (E.M.C.)
Ces EMC sont confirmés par les analyses des tracés d’E.E.G. réalisés pendant la production de
phénomènes paranormaux. La plupart du temps, le sujet continue à se comporter quasi
normalement. Seuls des observateurs attentifs remarqueront cette différence qui sera souvent l’un
des signes annonciateurs de l’émergence du phénomène psi. Ce ne doit pas être une transe. La
télépathie, la psychokinèse, la clairvoyance et autres phénomènes psi procèdent de la même attitude
psycho-comportementale.
Les bouffées d'ondes Alpha lentes qui se produisent pendant l'expression du Psi, confirment
bien l'état de détente nécessaire
Le phénomène psi ne s’accommode guère d’un désaccord inconscient/conscient. Dans tous
les cas de figure, on se trouve placé devant l’impérieuse nécessité d’un accord parfait entre les
divers étages du mental. Il ne doit subsister aucun élément susceptible de rompre cette sereine
certitude que nous possédons un capital psi en nous, capital qui peut être mis en action pour peu que
nous le souhaitions. Il vous faudra donc d’abord « négocier » en convainquant votre conscient de la
réalité du psi. Cette conviction indéfectible est indispensable, pour que, tout naturellement, elle
chemine vers l’inconscient. Car c’est toujours ce dernier, qui in fine permettra la mise en œuvre
d’EMC efficaces. A contrario, il en est qui sont convaincus d’emblée. On pourrait penser qu’ils
partent avec une longueur d’avance pour exprimer leur psi. Détrompez-vous, lors des sessions de
cours pratiques que je donne, les scores des « convaincus d’avance », ne sont pas supérieurs aux
autres.
Votre préparation mentale
Votre esprit doit être ouvert, débarrassé de toutes idées préconçues. Oubliez résolument tout
ce que vous avez pu voir, lire, entendre sur le sujet. Pour réussir, il faut croire à la réalité des
phénomènes ou du moins admettre qu’ils sont possibles. Abordez les exercices que vous allez
effectuer avec un esprit neuf, étant persuadé que vous expérimenterez avec succès. C’est là une
condition essentielle pour parvenir à des résultats. Ce n’est pas un hasard si des chercheurs
scientifiques parmi les plus sérieux, comme Rémy Chauvin ou le physicien J.B. Hasted, disent avoir
obtenu le plus grand nombre de réussites avec des enfants. Lorsqu’ils se soumettent à des
expériences, ceux-ci se moquent bien en effet de ce qui est possible ou ne l’est pas, ils y croient.
N’étant pas nourris de préjugés et n’ayant rien à prouver, ils se plient avec une foi totale à ce qu’on
leur demande. Et, tout surprenants qu’ils soient, les résultats qu’ils obtiennent ne les étonnent même
pas. Pour eux, c’est tout naturel, et c’est eux qui ont raison.
Vous devez également jouir d’un bon équilibre affectif. Vos facultés psi peuvent être
perturbées d’un rien. Les mécanismes inconscients qu’elles font intervenir sont à la merci du
moindre trouble affectif. Nos facultés extrasensorielles sont au moins aussi délicates, sinon plus, que
nos facultés créatives. Un romancier qui vient d’apprendre une mauvaise nouvelle a beaucoup de
peine à écrire. Trop préoccupé par ses soucis financiers, un peintre parvient difficilement à
s’exprimer sur sa toile. Pour expérimenter dans de bonnes conditions, vous devez donc profiter
d’une période où vous n’avez aucun problème psychologique important, et vous efforcer de faire
table rase des inévitables petits soucis quotidiens. Nous avons tous de bons et de mauvais jours.
Choisissez les bons pour mener à bien votre apprentissage. Un bon équilibre moral est aussi
indispensable. D’après ce qui précède, vous avez sûrement compris qu’il faut, avant tout, être positif
pour réussir. Toute force négative que vous portez en vous va à l’encontre du succès.
Si vous expérimentez dans le secret désir de dominer les autres ou de leur nuire, votre
démarche peut se retourner contre vous et vous valoir un déséquilibre psychique parfois grave. Vous
devez avoir l’esprit en paix. Renoncez momentanément à votre apprentissage si vous êtes en période
dépressive ou simplement angoissé. L’angoisse bloque les capacités affectives et perceptives, et
vous n’obtiendriez aucun résultat. Pour réussir, vous devez être calme, serein, parfaitement confiant
en vous-même.
Si votre esprit doit être libéré de toute tension, votre corps doit l’être aussi. Un malaise qui
vous obsède ne peut que nuire à votre concentration mentale. La machine humaine est extrêmement
complexe : le corps et l’esprit sont intimement liés. Une cause psychologique peut entraîner des
troubles physiques et vice versa Vous avez mal à la tête ? Laissez de côté vos exercices, vous les
reprendrez le lendemain, quand vous vous sentirez mieux. Efforcez-vous de travailler toujours dans
les meilleures conditions :
- jamais totalement à jeun, mais jamais après un repas trop copieux,
- le matin de préférence quand vous n’êtes pas encore fatigué ou à la tombée du jour, après vous être
reposé,
- choisissez un endroit calme où personne ne viendra vous déranger, dans une atmosphère ni trop
froide ni surchauffée.
Dans ce domaine, nous ne pouvons vous donner que des conseils d’ordre général. En fait, les
conditions de travail favorables varient suivant les individus. L’important est de se sentir à l’aise,
calme et détendu. Faites différents essais et adoptez l’ambiance qui vous convient. Au début, si vous
n’obtenez que peu ou pas de résultats. Ne vous découragez pas, persévérez. L’apprentissage des
facultés psi, bien qu’il ne nécessite pas « d’efforts » dans le sens où on l’entend habituellement,
requiert une démarche psychophysiologique occupant un certain temps, comme n’importe quel autre
apprentissage.
Vos échecs ne doivent pas vous rebuter, ils sont absolument normaux. Tout individu qui
tente de s’initier à une discipline nouvelle éprouve une certaine appréhension, suffisante pour créer
chez lui un léger blocage. La moindre tension est une entrave à votre détente et, par conséquent, à
votre développement psi. Si vous n’obtenez vraiment aucun résultat au bout d’un long temps
d’apprentissage en ayant essayé différentes disciplines, interrogez-vous. Votre travail psi est
peut-être pour vous une source de conflits intérieurs ? Il se peut qu’il soit en contradiction avec
l’éducation que vous avez reçue ou avec vos croyances religieuses ? Inutile de persévérer si l’étude
que vous avez entreprise ne correspond pas à un désir profond cadrant harmonieusement avec
l’ensemble de votre vie. Vous ne pourrez jamais développer une activité qui va dans le sens
contraire de vos orientations fondamentales : morale, affective, culturelle ou intellectuelle.
Exercez-vous seul
Exercez-vous d’abord seul. Lorsque vos réussites sont assurées, vous pouvez rechercher un
partenaire – ce qui est indispensable s’il s’agit de la télépathie ! Ne vous étonnez pas si les exercices
que vous avez réussis avec un partenaire, échouent lorsque vous essayez de les reproduire en public.
Seul un sujet très entraîné et maîtrisant ses facultés psi est capable de réussir de telles expériences, et
encore pas toujours... Le scepticisme ou l’hostilité d’un tiers créent un climat propre à faire rater
n’importe quelle démonstration. C’est la raison pour laquelle tant de sujets psi appréhendent les
expériences publiques. Si vous considérez les phénomènes psi comme des talents de société, vous
allez au-devant d’échecs qui vous décourageront à coup sûr. Dans ce cas, apprenez plutôt des tours
de prestidigitation, vous serez moins déçu !
On a démontré que la relaxation, la méditation, le biofeedback favorisent les phénomènes
psychiques (P.E.S.) et psychophysiques (PK)
Commencez par vous suggérer que vous allez vous détendre l’esprit et le corps, pour insensibiliser
le corps et vider l’esprit. Il vous faut réduire le « bruit mental », les soucis quotidiens ou
informations sensorielles qui étouffent la manifestation d’un effet psi, qui est a priori faible. Il s’agit
de réduire toutes les données qui réclament l’attention des sens, apaiser l’esprit, déblayer le chemin
pour que les signaux les plus subtils atteignent la conscience. Établissez une « convention » avec
vous-mêmes sur le mode de l’autosuggestion du type : « Je désire trouver ! (Par exemple la carte
choisie par l’émetteur)
Mon inconscient se connecte harmonieusement avec l’autre. » Ou encore : « Moi, récepteur, je suis
totalement neutre, je me déclare uniquement sensible à la seule image vue par l’émetteur » (ou
l’inverse : moi émetteur, etc.)
Posez-vous des questions :
- Télépathie : connaissance des pensées d’une autre personne sans recourir aux sens connus. En
êtes-vous vraiment convaincu ?
- Voyance (pré-cognition ) : connaissance d’un fait inconnu se situant dans le futur ou dans le passé
(rétrocognition) ou dans l’instant (remote viewing)
Quel est votre sentiment à ce sujet ?
- Psychokinèse : modification d’un système matériel sans l’emploi des moyens connus. Où en
êtes-vous ? Les autres phénomènes je suis d’accord, mais celui là ! … Faites le point sur votre
intime conviction (ou non)
- Pratiquez-vous des exercices de relaxation ? Détente de l’esprit, relâchement musculaire. Training
autogène. Sophrologie, etc.
- Méditation : Êtes-vous familiarisé avec les techniques favorisant le vide mental ? Souhaitez-vous
acquérir ces techniques ?
- Prière non vocale, méthodes chrétiennes de développement spirituel. Mantras, etc. Pouvez-vous
focaliser (circonscrire) un désir, une supplique ?
En second lieu, situez-vous par rapport aux types jungiens :
- Le type « sentiment » réussit beaucoup mieux que le type « pensée »,
- Le type « intuition » réussit bien mieux que le type « sensation »,
- L’extraverti réussit mieux que l’introverti,
- L’attitude de perception réussit mieux que l’attitude de jugement
Ce qui favorise le psi :
- Attitude de créatif : musicien, poète (mise en exergue du cerveau droit),
- Chaleur communicative (empathie),
- Être à la recherche de possibilités nouvelles. Besoin de contacts nouveaux,
- Exprimer spontanément sans contrainte ses joies et ses peines.
Ce qui est défavorable au psi :
- Être dans une attitude mentale trop analytique,
- Se référer à des méthodes, des systèmes bien établis,
- Suspicion, méfiance, hésitation,
- S’écarter de tout contact familier,
- Susceptibilité. Besoin de secret
Un succès potentiel d’une expérience vécue comme importante peut créer un arrêt du
phénomène ou son affaiblissement, par réaction de surprise et/ou de peur (tendance à redouter d’être
auteur d’un phénomène psi)
De même, l’admiration inhibe, en particulier celle d’observateurs prestigieux, d’intimes ou encore la
présence de sujets psi reconnus. Ce qui entraîne une implication affective forte avec pour corollaire :
peur de décevoir d’où inhibition.
D’abord l’esprit de jeu !
Tout phénomène psi ne peut se réaliser de façon optimale que lorsque l’on est dans un état de
désir et non de volonté. Mais avant d’aborder la psychokinèse, pratiquez d’abord des exercices
télépathiques avec des proches pour lesquels vous avez plus particulièrement de grandes affinités. Il
est nécessaire que le message télépathique soit le plus clair possible, sans fioritures. Figure ou
message doivent être signifiant certes, mais le plus dépouillés possible. Sachez conserver la
“ quintessence ”, la télépathie ne s’accommode pas de détails et de complexité superfétatoire.
Répétons-le encore une fois : soyez dans le désir et non dans une volonté affirmée. Confirmer de
bons résultats avec la télépathie, c’est aborder la psychokinèse avec un plus déterminant.
Pour la télépathie, soyez tour à tour agent (émetteur) et récepteur (percipient : celui qui
“ reçoit ”. Asseyez-vous, yeux fermés, en face de votre “ complice ”, à une distance de deux mètres
environ. Votre partenaire va alors dessiner sur une feuille de papier blanc (sans quadrillage) une
forme géométrique simple (rond, carré, cercle, etc.)
Dès le dessin terminé, l’émetteur vous demande quel dessin il vient de terminer, tout en fixant
intensément le dessin qu’il a choisi. Soyez ouvert, disponible dans votre esprit et laissez-vous
imprégner des formes que votre partenaire vous transmet. Cet exercice doit être répété et il vous
faudra intervertir les rôles. Vous pourrez aisément mettre en œuvre d’autres exercices avec des
cartes à jouer dont vous devez deviner le choix de votre partenaire, recherche d’un objet dissimulé
par l’émetteur.
Rien ne s’oppose a priori à ce que vous puissiez tous exprimer le capital psi latent qui est en
vous. Vous devez être convaincu qu’il n’est donc pas nécessaire d’être un surhumain. Nous ferons
une comparaison entre notre possibilité virtuelle d’être un génie de l’interprétation musicale et celle,
plus commune d’arriver à jouer honnêtement d’un instrument de musique.
La nuance se situera donc sur un autre registre : celui de l’état modifié de conscience
particulier qui est nécessaire pour laisser émerger du plus profond de notre inconscient notre
potentiel psi. Les sujets psi, qui ont été médicalement observés pendant l’expression d’un
phénomène paranormal, présentaient un tracé à l’électroencéphalographe (E.E.G) qui s’est révélé
très typique et où l’on pouvait noter des bouffées d’ondes alpha lentes. Les ondes alpha
n’apparaissent normalement que dans des conditions spécifiques : sommeil paradoxal, relaxation
profonde (les yeux fermés) et lors d’états méditatifs. L’électrocardiogramme, lui, signalait des
tachycardies paroxystiques allant jusqu’à 180 pls/mn, contemporaines des ondes alpha déjà citées.
Cette observation qui n’est jamais constatée habituellement. Nous avons donc bien là, une piste
intéressante sur l’état mental souhaité pour mettre en évidence le psi.
Il ne s’agit pas de formuler une volonté farouche mais plutôt d’être dans un état de détente,
de lâcher – prise. Ceci est valable aussi bien pour la psychokinèse que pour la télépathie, la
clairvoyance ou tout autre phénomène Psi. Nous avons bien la confirmation que le désir doit
prévaloir sur la volonté !
Cerveau gauche, cerveau droit, une complicité nécessaire
Notre cerveau est composé de deux hémisphères qualifiés de cerveau gauche et de cerveau
droit. Ils sont reliés par le corps calleux. Pour des causes diverses, héréditaires, d’éducation, de
milieu social et autres, nous utilisons de façon inégale nos hémisphères, en privilégiant l’un part
rapport à l’autre. Grosso modo, nous distinguons deux processus distincts de pensée, l’un analytique
et verbal situé dans l’hémisphère gauche, l’autre, plus intuitif et visuel, situé dans l’hémisphère
droit.
Notre cerveau droit est l’allié à privilégier pour être en situation optimale de manifestation
psi. Petit conseil pratique : il vous suffit (tout du moins au début) d’obstruer avec un doigt la narine
gauche. Ceci mettra automatiquement votre cerveau droit en activité préférentielle. Avec un peu
d’habitude, vous pourrez pratiquer cette opération sans utiliser l’obstruction physique de votre
narine gauche avec votre doigt, mais par l’image mentale. La narine gauche, parfaitement libérée,
vous pratiquez des inspirations amples et des expirations profondes. Après quelques minutes vous
serez dans un état légèrement euphorique ; ceci est normal. Cette euphorie lève les censures
présentes au sein de votre inconscient et vous ouvre à la libération de vos facultés psi. Pour autant,
votre cerveau gauche ne va pas entrer dans une léthargie qui serait inquiétante. Il se met en retrait,
de sorte qu’il laisse à son voisin de droite, la priorité pour s’exprimer. Pour assurer une bonne
latéralisation du cerveau gauche vers le cerveau droit via le corps calleux, je vous propose
également d’autres méthodes :
- Intérioriser sa parole de façon amicale, bienveillante,
- Se mettre sincèrement dans le point de vue d’autrui. Empathie,
- Placer le combiné de téléphone à l’oreille gauche lorsque vous avez un échange où vous devez être
– par exemple – créatif, intuitif, sensible, etc.,
- Se mettre dans une détente réelle/ fermer les yeux / rêvasser,
- Projeter en visualisant la couleur verte,
- Se promener sans but précis,
- Avoir une activité ludique et ou physique,
- Être attentif à votre environnement, aux odeurs et aux émotions.
Bien familiarisé avec la mise en exergue de votre cerveau droit, vous pourrez tenter des
exercices de télépathie en vous exerçant sur des personnes que vous connaissez bien et pour
lesquelles vous avez une empathie naturelle. Ceci est important et a pour but de vous sécuriser, de
vous conforter dans vos premières tentatives psychokinétiques. Lorsque vous aurez bien contrôlé
cette gymnastique mentale et que vous pourrez utiliser à volonté votre hémisphère droit, vous aurez
franchi une étape-clé dans l’avancement de votre démarche pour effectuer vos premiers effets PK.
Seconde étape : choisir un lieu où le calme et l’harmonie prévalent. Veillez si possible à ce
que le décor de la pièce soit à dominante de teintes pastels dans les verts et ou les bleus. Il vous
faudra également chasser de votre esprit, toutes pensées qui peuvent accaparer votre esprit, se
comportant en véritables parasites. Dans cette optique, concentrez-vous sur un objectif donné.
Persévérance et maîtrise de soi pour bien maintenir l’esprit dans l’axe choisi en évitant toute
déviation vers d’autres sources d’intérêt.
Exercices pratiques
Ne soyez pas déçus si dans un premier temps les effets sont à la limite du significatif. Ils
vous conforteront et vous encourageront à améliorer vos “ performances ”. Les exercices que je
vous propose ne sont que des suggestions. Vous pouvez ne pas les « sentir » et en imaginer d’autres.
Dans ce domaine l’intuition est primordiale. Peut-être débuterez-vous plus facilement par un
déplacement d’objet (télékinésie) qui est un effet PK réputé moins facile à produire. Je le répète :
laissez-vous guider par votre désir.
Faites varier la température !
Munissez-vous d’un thermomètre médical à cristaux liquides. L’aspect visuel et facilement
observable du résultat de cette expérience en fait un bon exercice pour débuter. Ledit thermomètre,
qui se présente en général sous forme d’une bandelette noire et souple d’environ 15 cm x 2 cm, de
l’épaisseur d’un bristol ; sera disposé dans la paume de votre main que vous refermerez en
appliquant l’extrémité de vos doigts sur la surface du thermomètre. Après 1 minute, ouvrez la main
et lisez la température affichée (qui sera comprise entre 28°C et 34°C environ)
Après avoir noté la température, disposez le thermomètre comme indiqué au début. Vous allez
ensuite focaliser votre désir sur une variation de température en n’attachant aucune importance au
fait que vous n’arriverez peut être à rien de significatif. De façon “ détachée ”, non péremptoire, et
pour exemple. Pensez : « monte, dilate-toi, réchauffe-toi (ou le contraire) »
Votre imagerie mentale, quelle que soit sa nature est indispensable. Soyez convaincu de la facilité de
l’exercice. Notre expérience prouve qu’il y a une très grande probabilité de réussite dès les
premières tentatives. Si vous obtenez un résultat significatif, mais opposé soyez satisfait : vous êtes
sur la bonne voie ! Vous avez effectué un effet P.K et ceci est essentiel. Cet effet contraire, très
connu des parapsychologues, est appelé « psi-missing »
Si vous ne trouvez pas de thermomètre à cristaux liquides, procurez-vous un thermomètre à alcool
ou un thermomètre analogique.
Affolez votre boussole
Tout d’abord, contrôlez bien la fonctionnalité de votre boussole en vous assurant qu’elle
indique parfaitement le nord magnétique terrestre et que rien n’entrave les mouvements de l’aiguille.
Après avoir disposé la boussole, à plat, sur la paume de votre main droite, vous l’élevez au niveau
de votre cœur. Veillez à l’horizontalité de la boussole afin de ne pas gêner la moindre des
oscillations de l’aiguille. Bien évidemment, vous aurez pris la précaution de ne pas être orienté vers
le nord, ce qui fausserait la validité de vos résultats. Vous allez vous efforcer de diriger l’aiguille
vers le cœur. Comme pour l’expérience précédente, aidez-vous par une visualisation du phénomène
(projection pensée)
Pour vous aider à vous convaincre de votre réussite, sachez que votre cœur émet des micro-courants
électriques de très faible intensité certes, mais parfaitement analysables par un E.C.G.
Qui dit, courants électriques signifie « champs magnétiques » (très peu significatifs)
A vous d’imaginer une concentration de ces champs magnétiques vers votre boussole. Ceci est une
suggestion d’imagerie mentale. Lorsque vous serez sécurisés par vos premières réussites, vous
poserez votre boussole sur une table en vous assurant qu’elle est bien à plat. Avec vos deux mains
(ou une seule si vous le souhaitez) vous effectuez des mouvements semi-circulaires à environ 20 cm
au-dessus de la boussole. Vous tenterez ainsi de dévier l’aiguille. Dans les premières tentatives, les
premiers mouvements de l’aiguille sont à peine perceptibles.
Le pendule obéissant
Fabriquez-vous une petite potence d’environ 40 cm de hauteur. Sur la partie supérieure
horizontale, vous nouez à son extrémité un fil de coton. A l’extrémité libre du fil, vous attacherez un
petit objet d’environ 35/40 grammes. Vous l’aurez compris, l’expérience va consister à essayer – à
distance – d’impulser des oscillations à ce pendule de fortune. Veillez à être situé dans un endroit
exempt de la moindre possibilité d’artefacts tels des courants d’air ou encore une table bancale !
Diriger une aiguille
Confectionnez un réservoir improvisé à l’aide d’une bouteille en plastique d’eau minérale
dont vous couperez la base (ou un couvercle de récipient)
Le diamètre et la profondeur seront approximativement :  8 à 10 centimètres et d’une profondeur
(hauteur des bords) de 3 à 4 cm. Remplir d’eau à mi-bord. Vous déposez une cuiller à café d’huile
de table à la surface de l’eau. Sur cette micro nappe flottante, déposez délicatement une aiguille de
trousse à couture. L’expérience va consister à faire mouvoir l’aiguille dans un 1ertemps, puis enhardi
par ce premier effet vous tenterez ensuite d’imposer une direction à l’aiguille.
Accélérez la pousse de vos plantes !
Ici il s’agira d’accélérer (ou de ralentir) des graines à germination rapide. Semez le même
nombre de graines – de millet par exemple – dans deux pots. L’un servira de témoin et vous
l’éloignerez du pot que vous avez choisi, pour faire l’expérience, mais vous veillerez à ce que
l’hygrométrie, l’éclairage et la température soient identiques. Chaque jour à la même heure que vous
aurez choisie, imposez vos mains pendant une quinzaine de minutes à 2 ou 3 centimètres au-dessus
du pot. Accompagnez cet acte de pensées positives comme si vous vous adressiez à un être vivant.
Au bout d’une semaine vous serez surpris du résultat. Il n’est pas exceptionnel que la pousse soit le
double du lot témoin !
Encore plus fort !
Je vous propose une expérience conçue à la fin du 19èmesiècle par le Dr Paul Joirre de
l’Académie de Médecine de Paris. Ce dernier eut l’idée de concevoir un dispositif pour observer le
phénomène PK dans des conditions simples à mettre en œuvre, tout en restant crédible pour la
validité des effets produits par les sujets (à l’époque ils étaient qualifiés de médiums)
Il le baptisa : “ stéhénomètre ”
Moyens : un bouchon de liège, une aiguille à coudre, une carte de visite (ou un bristol) coupée en
deux dans le sens de la largeur et un grand verre ou un bocal. Vous essayerez de faire tourner le
carton en équilibre sur l’aiguille. Débutez sans le verre puis, succédant aux effets que vous
obtiendrez, réessayez en isolant le dispositif en le coiffant du verre.
Vous-même, pouvez imaginer d’autres expériences, dans la mesure où vous les “ ressentez ”
bien : Stopper le mouvement des aiguilles d’une montre, courber à distance des tiges métalliques
d’une longueur d’environ 20 cm et dont vous augmenterez progressivement le diamètre au fur et à
mesure de vos réussites, déplacer des objets usuels (verres, stylos, etc.)
Celles que nous vous avons proposées – et qui ont fait leurs preuves – sont destinées à vous donner
confiance en votre capacité à exprimer vos facultés PK.
Jean-Pierre Girard
http://www.girard.fr/
Livres conseillés : « Croyez aux dons qui sont en vous » de Jacques Mandorla. Editions Trajectoire (2004) et de
Françoise et Michel Moine « Développez vos pouvoirs Psi » Editions Stock (1982)
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