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DÉCOUVRIR LE DHARMA VIA L'EDUCATION SATHYA SAI DES VALEURS HUMAINES

‘’Sai Stree Shakti’’ est une série d’émissions spéciales de Radio Sai qui évoquent en
détail les forces de la nature qui se sont incarnées en femmes substantiellement
spirituelles pour agir en tant qu’instruments de choix de l’Avatar et contribuer
significativement à Sa mission.
Bhagavan a non seulement loué leurs excellentes vertus, mais Il les a aussi façonnées
pour qu’elles soient des exemples de devoir, de dévotion et de dévouement qui
ressortent comme des idéaux, non seulement pour les autres femmes, mais pour
l’humanité toute entière.
Pour marquer l’auspicieuse 90ème année de l’avènement divin, nous saluons ces fidèles
Sai dynamiques et divines dont la contribution à la mission de Sai a été formidable,
constante et largement silencieuse.
A partir du 19 mars 2015 et tous les mois jusqu’au 19 novembre 2015, Radio Sai
célébrera la Journée des Femmes en mettant en exergue la vie et le dévouement de Sai
Stree Shaktis privilégiées qui resteront dans l’histoire comme les contemporaines aptes
et compétentes de l’Avatar Sri Sathya Sai qu’Il a choisies comme instruments pour
exécuter Ses buts avatariques. Leurs incarnations semblent être une part planifiée du
plan magistral de Bhagavan.
Ce 19 avril 2015, Radio Sai a le grand plaisir de mettre en lumière Mme Carole
Alderman, du Royaume-Uni, qui fut la pionnière qui a propagé l’Education Sathya Sai des
Valeurs Humaines en Europe, au Moyen-Orient, en Afrique, en Amérique du Nord et audelà, en ressuscitant ainsi l’art et le cœur de l’intégration de l’apprentissage du profane
et du sacré.
‘’Je parcourrais des millions de kilomètres pour un seul de tes sourires’’
‘’Nous avons de la chance si nous savons quel est notre dharma dans cette vie
particulière. Le mien, c’est de diffuser le message de l’Education aux Valeurs Humaines.
J’ai une fois rendu visite à un lecteur de nadis en 2007 à Bangalore, qui m’a décrit les
aspects les plus privés de ma vie avec une précision totale et il a poursuivi en me disant
que le but de ma vie était ‘’d’unir les religions’’. Bien sûr, c’est précisément ce que fait
l’Education Sathya Sai des Valeurs Humaines. Les cinq valeurs – soit la vérité, l’amour,
la paix, la conduite juste et la non-violence – sont les fondements de toutes les
principales religions du monde et j’ai découvert en donnant des ateliers de formation à
l’Education Sathya Sai des Valeurs Humaines tout autour du monde que chacun les
comprend comme les fondements de sa propre religion.’’
– Carole Alderman
Avec la formation de près de 2000 adultes, y compris des enseignants professionnels,
par l’entremise d’une soixantaine d’ateliers donnés au Royaume-Uni, en Irlande, au
Canada, en Egypte, au Maroc, en Israël et à Dubaï, les efforts de Carole Alderman pour
introduire l’Education Sathya Sai des Valeurs Humaines (ESSVH) au centre de
l’apprentissage ont impacté des dizaines de milliers d’enfants et leurs familles, à ce
jour.
Par exemple, l’Abbey Primary Community School de Leicester, au Royaume-Uni, qui
compte plus de 600 élèves, utilise l’EVH depuis des années et plus de 200 écoles du
Royaume-Uni intègrent l’Education aux Valeurs Humaines (EVH) sous une forme ou
l’autre dans leur programme.
A la suite des ateliers d’Education aux Valeurs Humaines en Egypte, aujourd’hui, toutes
les écoles primaires d’Egypte utilisent la technique pour intégrer les valeurs humaines
universelles dans l'expérience pédagogique laïque.
Et à leur tour, les adultes formés par Carole Alderman ont formé des centaines
d’enseignants par l’entremise de groupes d’une trentaine de personnes et forment
actuellement des enseignants pour qu’ils forment également d’autres
enseignants/formateurs.
Pourtant, le parcours de Carole Alderman pour former des adultes à puiser les valeurs
humaines universelles à l’intérieur d’eux-mêmes et les intégrer dans l’expérience
pédagogique scolaire et parascolaire débuta plutôt ‘’accidentellement’’.
On dit que lorsque Dieu créa le monde, il débuta par un Big Bang et c’est littéralement
ainsi que le couple britannique constitué par Bob et Carole Alderman entama sa
relation avec Bhagavan Sri Sathya Sai Baba.
Les Alderman se rendent souvent sur la riviera italienne ou la riviera française pour y
passer leurs vacances. En 1983, ils louèrent une petite maison de campagne en
Dordogne. Le temps était magnifique, quand ils quittèrent l’Angleterre et quand ils
traversèrent la Manche, mais plutôt inhabituellement pour cette époque de l’année, il se
mit à pleuvoir dès qu’ils posèrent le pied en France. Coincés dans leur maisonnette, les
vacances se transformèrent en une semaine de lecture. Par chance, Bob avait
emprunté un livre pour sa femme à la bibliothèque publique pour la toute première fois
– Sai Baba, l’Homme des Miracles, d’Howard Murphet, qu’il qualifia de ‘’lecture un peu
légère’’. Carole, elle, fut immédiatement captivée. Les enseignements expliquaient
clairement le sens des Brahma Sutras avec lesquels elle avait lutté au cours de
philosophie qu’elle suivait.
Après trois semaines passées en France, Carole et Bob rentrèrent en Angleterre. Dans
un virage, sur une route fort fréquentée, et à seulement quelques kilomètres de chez
eux, la voiture se mit à déraper, puis à zigzaguer et elle était sur le point de percuter un
grand mur de béton. ‘’Nous allons mourir, maintenant’’, songea Carole, ‘’mais ce sera
intéressant, car je vais découvrir si la réincarnation est vraie.’’ Elle craignait d’être
grièvement blessée et estropiée comme sa fille Debbie l’avait été, quelques années
auparavant. C’est à ce moment-là que des paroles tirées du livre résonnèrent dans sa
tête : ‘’Quel que soit le nom par lequel vous ferez appel à Moi, Je serai avec vous.’’
‘’Sai Baba, je suis chrétienne’’, dit-elle, et elle adopta une position de sécurité, tandis
qu’ils se dirigeaient droit sur l’obstacle en béton, et pria : ‘’Seigneur Jésus-Christ, prends
pitié de moi.’’ La voiture percuta le mur et se mit à tournoyer à travers la route à trois
bandes pour venir finalement s’immobiliser sur la bande d’arrêt d’urgence.
A leur grande stupéfaction, Bob et Carole en sortirent totalement indemnes. C’était
comme s’ils avaient été dans les auto-tamponneuses à la fête foraine. Bob n’avait
qu’une petite égratignure à la cheville, alors que la voiture était fortement
endommagée. Aucune des vitres n’avait été brisée, les sièges et les portières étaient
intacts, mais l’avant et l’arrière de la voiture étaient complètement défoncés. La route
était très fréquentée, quelques instants auparavant et curieusement, elle s’était vidée
pendant l’accident. Carole et Bob éprouvaient un grand sentiment de calme. Ils avaient
l’impression d’avoir été divinement protégés, comme tenus entre les mains de Dieu.
Dans l’heure qui suivit, Bob et Carole étaient de retour chez eux et ils racontèrent tout
ce qu’ils savaient sur Sai Baba et Ses enseignements à leur fille Debbie et son amie,
Ann.
L’année suivante, en 1984, Carole se rendit en Inde avec Bob pour en apprendre plus
sur Sai Baba et Ses enseignements et de retour au Royaume-Uni, elle téléphona
immédiatement à Victor Kanu pour lui parler des miracles et de ses expériences. Celuici Iui demanda de venir le dimanche suivant puisqu’il recevrait quelques amis en visite
qui seraient également intéressés d’entendre ce qu’elle avait à dire. Une fois arrivée
chez lui dans le sud de Londres à l’heure prévue, il l’emmena directement dans sa
voiture jusqu’au Centre Sai local où elle apprit qu’elle était la ‘’conférencière invitée’’ !
Elle n’avait encore jamais parlé en public avant et elle était extrêmement nerveuse et
mal à l’aise. Elle n’avait aucune note, même si ses expériences étaient encore nettes
dans sa mémoire. Au cours de son exposé, Victor refusa de la regarder, mais plus tard, il
dit simplement que tout qui connaissait Sai Baba devait apprendre à parler en public
sur ses expériences avec Lui.
UN RÔLE PRÉORDONNÉ
Endéans quelques semaines, Carole s’était portée volontaire pour aider Victor dans son
travail concernant l’ESSVH. Son rôle était de fournir un soutien administratif et moral,
puisque ce n’était pas une enseignante formée sur le plan scolaire. En 1985, une
conférence internationale sur l’EVH eut lieu à l’Institut Froebel, à Londres. Des délégués
issus de 19 pays, dont M. et Mme Indulal Shah, de l’Inde et le Dr Art-Ong Jumsai, de
Thaïlande, participèrent à la conférence.
En 1986, la première conférence africaine sur l’ESSVH et sur le service communautaire
eut lieu à Accra, au Ghana. (Elle avait été organisée par Victor Kanu.) Carole assista à
l’événement en tant que secrétaire et reporter. Plusieurs semaines après être rentrée
chez elle, elle réalisa qu’elle n’avait été que l’une des trois Caucasiens là-bas. Ne pas
faire cas de la couleur ou de la race lui prouva le vrai pouvoir du programme EVH de Sai
Baba dans la pratique.
En 1987, la Sathya Sai (UK) Society for EHV devint une fondation enregistrée qui
comprenait Victor et Genoveva Kanu ainsi que 22 autres membres. Quelques graines
furent semées au Royaume-Uni concernant les Valeurs Humaines, mais en 1989,
suivant les conseils de Bhagavan Baba, les Kanu déménagèrent en Zambie pour y
fonder une école et l’ESSVH cessa alors au Royaume-Uni.
UNE LEÇON EST RÉPÉTÉE JUSQU’À CE QU’ELLE SOIT INTÉGRÉE
Même si Carole avait entendu parler de Swami en 1983 et si dans les trois semaines,
elle avait réservé un vol pour aller Le voir en 1984, ce n’est qu’au cours de son
quatrième voyage, en 1990, pendant sa deuxième entrevue que Swami commença à lui
parler. ‘’Qui est enseignant ?’’ Quand personne ne répondit, Carole dit : ‘’Je ne suis pas
enseignante, Swami, je suis conseillère.’’ Il demanda alors : ‘’Combien de types
d’enseignants y a-t-il ?’’ Carole savait bien que Swami en avait parlé, mais elle ne
connaissait pas la réponse appropriée, aussi garda-t-elle le silence en espérant que
Swami attendrait la réponse d’une autre personne, mais hélas, il se tourna à nouveau
vers elle et lui reposa la même question ! Carole répondit au hasard : ‘’Deux. Les bons et
les mauvais.’’
Il n’y a aucune latitude pour bluffer Swami et Il répondit par un ‘’non’’ ferme et se
détourna d’elle.
L’année suivante, Carole s’assura qu’elle avait étudié ce qu’Il avait dit sur le sujet et
quand Swami lui reposa la même question, elle répondit : ‘’Trois ! Ceux qui se plaignent,
ceux qui expliquent et ceux qui inspirent.’’ ‘’Non’’, répondit Swami et Il répéta la réponse
dans un ordre différent : ‘’ceux qui inspirent, ceux qui expliquent et ceux qui se
plaignent.’’
L’année suivante, après qu’Il lui ait reposé la même question, Carole répondit : ‘’Trois :
ceux qui inspirent, ceux qui expliquent et ceux qui se plaignent.’’ ‘’Oui’’, dit-Il, ‘’et vous
faites partie de ceux qui expliquent.’’
L’année suivante, Il répéta la même question pour la quatrième fois et après qu’elle ait
donné la même réponse, Swami dit : ‘’Oui, et vous faites partie de ceux qui inspirent.’’
Carole était ravie d’avoir fait un pas de plus par rapport à la fois précédente, mais juste
avant qu’elle ne devienne trop satisfaite, Swami ajouta : ‘’Non, J’ai commis une erreur.
Vous faites toujours partie de ceux qui expliquent.’’
C’est en 1996, à l’occasion de son dixième voyage que, pour la cinquième fois, Il lui
reposa la question. Elle venait de passer deux mois à l’ashram et elle avait pu profiter
de beaucoup de contacts avec Swami pour la pièce de Noël. Son esprit était beaucoup
plus calme. ‘’Trois, Swami’, répondit-elle. ‘’Bonne fille’’, sourit-Il, en lui tapotant la tête.
Carole reconnaît qu’il lui avait fallu cinq ans pour que son esprit de singe cesse ses
impertinences et pour qu’un peu d’humilité prévale.
De 1988 à 2000, à l’exception de 1993, Carole eut chaque année des entrevues avec
Swami. Ces 12 entrevues se passèrent toutes dans le cadre d’un groupe plus important,
hormis deux qui ne comportaient qu’elle et son mari, Bob. Une de ces entrevues privées
avec Bob eut lieu le 18 janvier 1999, quand Swami matérialisa une broche représentant
un paon serti de rubis et de diamants pour Carole. Après avoir introduit Carole et Bob
dans la pièce intérieure, Il matérialisa pour Bob une bague avec un diamant vert qu’Il lui
glissa au doigt en disant : ‘’Regardez ! Elle vous sied parfaitement.’’ Il accomplit ensuite
une cérémonie et plaça Sa main sur chacune de leurs têtes en les bénissant. C’était
magnifique et Il conclut par ces mots : ‘’…Une vie longue et paisible.’’
La broche et le collier de 101 perles en or que Swami matérialisa pour Carole
PROPAGER LE MESSAGE DE SAI
La bénédiction de Baba pour une vie longue et paisible devait aussi servir de tremplin
pour que Carole puisse trouver son dharma dans la vie et le réaliser, comme les
prophéties l’avaient prédit.
En 1993, Aimé Levy restaura l’ESSVH au Royaume-Uni. Après une série de
changements à la direction, en 1995, Carole Alderman fut nommée coordinatrice
nationale du Royaume-Uni. Puisqu’elle n’était qu’une enseignante ‘’intuitive’’ et
puisqu’elle n’était pas formée professionnellement, elle accepta d’occuper le poste
jusqu’à ce qu’on puisse trouver un candidat qualifié. A Pâques, une réunion fut
organisée à Rugby et on décida que comme cadeau d’anniversaire pour Baba, Carole
réaliserait quinze plans de leçons pour le mois de novembre – un pour chacune des cinq
valeurs et pour chacune des trois tranches d’âge.
Mais les semaines qui suivirent s’avérèrent éprouvantes, car elle s’aperçut que tout le
matériel qu’on lui envoyait serait absolument inutilisable pour un public occidental ou
international et elle ne put même pas rédiger un seul plan de leçon. Se sentant
totalement impuissante et désespérée, elle pria pour obtenir l’aide de Swami.
Celui-ci ne manqua pas de répondre ! L’aide commença à affluer sous de multiples
aspects. On lui téléphonait au sujet d’autre chose, mais il s’avéra qu’une personne ou
l’autre connaissait une histoire ou une activité dont elle avait besoin pour un plan de
leçon particulier qu’elle s’efforçait alors de compléter. Et si elle avait besoin d’une
chanson, elle se réveillait au milieu de la nuit en rêvant d’une grande chorale qui
chantait et les paroles et la mélodie continuaient de se faire entendre dans sa tête. Elle
avait l’impression que la création lui offrait tout ce dont elle avait besoin et en
novembre 1995, en lieu et place de l’objectif des 15 plans de leçons, Carole avait écrit
tout un livre avec 50 plans de leçons qu’elle apporta à Swami.
Comme il n’était jamais simple d’obtenir une entrevue avec Bhagavan, Carole dut
attendre quelques jours avant qu’elle ne puisse Lui présenter le premier livre. A un
moment donné, elle songea même que tout le travail réalisé durant les huit derniers
mois n’était pas bon et s’adressa ainsi mentalement à Baba : ‘’Si Vous ne voulez pas de
ce livre, Swami, alors je n’en veux pas non plus et je vais le brûler !’’
Deux jours plus tard, soit le 2/11/1995, une entrevue lui fut accordée et elle fut
autorisée à présenter le livre à Sai Baba qui l’inspecta, page par page et après toute une
série de questions et de commentaires concernant le symbolisme du fruit utilisé et pas
mal de taquineries, Carole obtint Ses bénédictions et l’assurance qu’Il était ‘’très
heureux’’ de son travail.
Swami lui demanda alors si elle allait promouvoir l’ESSVH au Royaume-Uni. ‘’C’est bien
mon intention, Swami’’, répondit Carole. Mais mentalement, elle songea : ‘’Cela va être
difficile. J’aurai besoin de Votre aide, Swami’’. Avant même que la pensée ne se soit
complètement formée dans son esprit, Baba remua la main et matérialisa une chaîne
de 101 perles en or qu’Il plaça autour de son cou en lui disant : ‘’Ne l’enlevez jamais !’’
Même si Carole L’avait déjà vu matérialiser des objets auparavant, le fait que cette foisci, c’était pour elle était particulièrement bouleversant. Depuis lors, elle n’a jamais
enlevé sa chaîne, même pas pour une grosse opération chirurgicale. ‘’Je suis sûre
qu’elle me protège et qu’elle me guide’’, dit-elle.
En 1996, elle ajouta d’autres plans de leçons au premier livre qui fut divisé par tranches
d’âge pour créer le livre 1 (6 à 8 ans) et le livre 2 (9 à 12 ans) – livres qui contenaient
chacun 26 plans de leçons. Carole souhaita les apporter à Swami pour obtenir Son aval
et Sa bénédiction.
PAS DE VALEURS, PAS D’HUMANITÉ, RIEN QUE DE L’ANIMALITÉ !
Le 6/11/1996, le groupe de Carole eut la bénédiction de recevoir une entrevue. Carole
s’assit à Sa gauche et attendit, impatiente et anxieuse, avec les deux nouveaux livres
d’ESSVH dans son giron. Après avoir matérialisé de la vibhuti blanche pour le groupe,
Swami conduisit tout le monde dans la pièce intérieure. Il posa les livres sur Ses
genoux et les lut attentivement, page par page, en faisant des commentaires et en
posant des questions.
Swami demanda alors d’insérer une modification dans le résumé d’introduction qui
mentionnait que les valeurs ‘’étaient une part inhérente de l’être humain’’. ‘’Pas une
part’’, dit Swami. ‘’Pas de valeurs = pas d’humains. Seulement des animaux !’’ Et donc,
Carole modifia dûment son texte par rapport aux valeurs qui sont ‘’inhérentes à l’être
humain’’. Et quoique les livres étaient déjà partis à l’imprimerie et que presque tout le
travail avait déjà été effectué, lorsque Carole prit contact avec son mari en Angleterre
concernant la modification, elle s’entendit dire que la p. 14 où l’erreur apparaissait
devait encore être imprimée !
L’EFFET MULTIPLICATEUR DE L’ESSVH
En 1997, un enseignant d’une école privée, M. Dipak Kuman Fakey, lança dans une
école de Leicester un ‘’club des bonnes valeurs’’ qui utilisait les plans de leçons de
l’ESSVH. Cette école obtint un très bon rapport d’évaluation de la part du gouvernement
britannique et c’était principalement dû à l’enseignement de l’éducation des valeurs de
Swami. Et quelques années plus tard, en 2013, Dipak reçut une médaille – l’Ordre de
l’Empire Britannique – des mains de la reine d’Angleterre pour son travail éducatif au
bénéfice de la communauté.
En 1997, le livre 3 (12 à 15 ans) sortit et il fut de nouveau béni par Swami – qui le
garda sur Ses genoux pendant la plus grande partie de l’entrevue.
Carole se rendit vite compte que les écoles voulaient un livre pour chaque année et dut
concevoir six livres supplémentaires ! Elle renomma la série qui couvrait maintenant la
1ère année (4 à 5 ans) jusqu’à la 8ème année (12 à 13 ans).
En 1998, le programme d’ESSVH fut introduit dans les écoles primaires de Coventry et il
commença aussi à se répandre en Irlande où Carole et son équipe avaient commencé à
proposer leur formation.
En 1999, l’Organisation Sai du Royaume-Uni lança un site web national pour l’ESSVH (à
présent www.bisse.org.uk) et constitua une société à responsabilité limitée et une
association reconnue d’utilité publique pour mieux soutenir la formation et le travail
d’un groupe croissant de bénévoles.
En 2000, l’Organisation Sai commença à publier un bulletin d’information électronique
sur son site web qui remplaça largement les bulletins imprimés et pour compléter le
programme, le texte du livre 1 fut enregistré sur CD dans l’optique de créer un livre
audio pour les enseignants malvoyants qui voudraient utiliser l’ESSVH.
En 2001, des bénévoles entreprirent d’organiser des classes de vacances de cinq jours
qui s’avérèrent très populaires. 108 enfants furent inscrits pour le premier événement
du genre à Ilford, dans l’est de Londres.
Une classe de vacances d’ESSVH à Londres
Un festival national d’art dramatique fut également organisé avec la participation de
beaucoup d’écoles de tout le Royaume-Uni. Carole se rendit en Israël avec l’Ecossaise
Isobel Ritchie pour y donner une formation d’une semaine à une vingtaine
d’enseignants. Elle prit aussi la parole le jour de la Journée des Femmes à Prasanthi
Nilayam, en novembre 2001.
En 2002, l’Organisation Sai mit en place un service d’aide téléphonique pour les
enseignants en ESSVH. Une formation fut organisée au Pays de Galles et Zita Starkie
commença à enseigner là-bas dans six petites écoles primaires.
En 2003, le British Institute for Sathya Sai Education (BISSE) fut constitué pour opérer
en tant qu’Institut d’Education Sathya Sai au Royaume-Uni. La formation de sept jours
bénie par Sathya Sai Baba a été certifiée par l’Open College Network (OCN), le plus
grand organisme indépendant de certification de cours du Royaume-Uni. En plus
d’accroître la crédibilité du BISSE aux yeux du public et de la communauté éducative, la
certification signifiait que les enseignants pouvaient obtenir des ‘’crédits’’ pour leur
développement professionnel en suivant la formation en ESSVH du BISSE.
En 2004 sortit le premier DVD qui présentait l’ESSVH dans les écoles et les classes de
vacances et Dipak Kumar lança des jeux de société basés sur les valeurs. Puis Carole
voyagea jusqu’en Egypte pour y former des bénévoles qui travaillaient dans une école
d’un quartier pauvre du Caire. Plus tard, elle forma un groupe plus important
d’enseignants musulmans qui accueillirent très bien l’ESSVH en disant qu’il ‘’venait
directement du Coran’’. Au Maroc, l’atelier de formation des enseignants fut conduit en
français par Christina Wilson et Pamela Nash et Carole les accompagnait.
Carole Alderman avec un groupe lors d’une formation en Egypte
En formant les enseignants musulmans, Carole et son équipe traduisirent les cinq
valeurs utilisées dans l’un des exercices en arabe classique. Les livres 1 et 2 avec les
plans de leçons ont été traduits en arabe et se trouvent sur son site web,
www.bisse.org.uk.
Des plans de leçons ont aussi été traduits en français, en espagnol, en espagnol sudaméricain, en mandarin et en d’autres langues et des échantillons sont disponibles et
peuvent être téléchargés gratuitement sur son site web.
En 2005, l’acceptation populaire du programme était manifeste avec les enseignants
qui organisèrent quatorze classes de vacances (cinq jours d’activités parascolaires pour
les enfants durant leurs vacances scolaires), neuf cours de parentalité, la formation
continue des enseignants et ils mirent sur pied 19 autres événements basés sur les
valeurs dans la communauté, dont cinq expositions au Royaume-Uni.
Carole se rendit également à Toronto avec Michelle White pour y donner la formation de
sept jours à 125 Canadiens. Les participants étaient des enseignants issus de divers
conseils d’administration d’écoles publiques et privées de tout le Canada.
De 2005 à 2010, le programme d’ESSVH continua de se développer et de se propager
au Royaume-Uni avec des formations régulières et de plus en plus d’écoles qui
utilisaient les plans de leçons. Les livres et leurs plans de leçons étaient aussi imprimés
en Inde et des milliers d’entre eux furent vendus à la librairie de l’ashram.
Enseignants et élèves à Wembley
SUIVRE LE DHARMA MALGRÉ LES DÉFIS
Alors même qu’il semblait que l’univers était totalement en phase avec le pouvoir et
l’intérêt suscité par le programme d’ESSVH, un défi attendait Carole.
Après s’être dévouée durant plusieurs décennies à propager l’ESSVH sur une échelle
internationale, en 2010, l'Organisation Sai Internationale demanda que le BISSE cesse
ses activités. Celui-ci devait être remplacé par l’Institute of Sathya Sai Education – UK
qui réécrirait toute la formation et les plans de leçon à partir de zéro. Elle se conforma
dûment à cette instruction et le BISSE cessa toutes ses activités, y compris la formation
et la publication de nouveaux plans de leçons. On informa aussi Carole que Swami avait
donné comme instruction qu’elle soit invitée à devenir l’un des directeurs du nouvel
institut, mais cette invitation n’arriva jamais.
Carole ne comprenait pas tout à fait la décision de fermer le BISSE qui était bien établi
et qui faisait un travail remarquable, mais comme elle était un véritable instrument de
Swami, elle accepta Sa volonté et elle pensa que son travail dans l’ESSVH était
maintenant peut-être terminé.
Néanmoins, lors de sa visite suivante à l’ashram, elle reçut beaucoup
d’encouragements de la part de fidèles qui avaient suivi la formation ou qui utilisaient
les plans de leçons et ceux-ci suggérèrent qu’elle devrait réellement continuer à œuvrer
pour l’ESSVH. Carole sut qu’elle devait continuer à suivre son dharma. Et depuis 2011,
elle a recommencé à enseigner l’ESSVH au public par l’entremise d’une ‘’Sacred and
Secular Education in Human Values’’.
La formation continue chez elle dans l’East Sussex, une fois par an, formation qui attire
des participants du monde entier. Le neuvième et dernier livre de plans de leçons de
Carole fut publié en 2015 et c’était clairement le dernier, puisqu’il y a maintenant une
série complète de plans de leçons pour les enfants de chaque tranche d’âge entre 4 et
13 ans.
S’étant remémoré un précieux souvenir, Carole dit que Swami l’a une fois comparée à
un ‘’pigeon anglais’’. Elle comprit que le pigeon était un oiseau qui délivre des
messages. En tant qu’instrument entre Ses mains, elle a porté l’EVH à des éducateurs
de partout. Avec chaque enseignant qui fut inspiré à introduire dans sa classe les
Valeurs Humaines universelles et les enfants et les parents qui ont su tirer profit de la
pratique de davantage de vérité, de paix, d’amour, de bonne conduite et de nonviolence, il est évident que le pigeon a bien voyagé et qu’il a bien délivré ses messages !
GRATITUDE POUR LES ÉCHANGES DIVINS À L’OCCASION DES SPECTACLES
DE NOÊL
Une des plus grandes bénédictions que Carole a reçue vint sous la forme d’une kyrielle
d’échanges divins durant les répétitions du spectacle de Noël à Prasanthi Nilayam, de
1996 à 2001. Elle avait reçu le job de responsable de la sécurité du côté des filles,
backstage, dans le Poornachandra Hall. La raison pour laquelle l’opportunité était
tellement précieuse, c’est que derrière se trouvait la résidence de Swami à l’époque et
qu’Il apparaîtrait sur la scène où le groupe répétait pour les encourager tous.
Swami parlait tous les jours à Carole et souvent plusieurs fois pendant les quelques
jours qui les rapprochaient vite des spectacles du 24 décembre. Au début, on lui a dit
qu’Il traversait toujours la scène du côté des garçons et Carole songea : ‘’C’est étrange !
Un Avatar ne peut pas avoir des préférences de genre ! Que pouvons-nous bien faire
pour L’amener à venir du côté des filles ? Nous serons disciplinées et bien ordonnées et
nous ferons de la place pour Lui, même si c’est déjà bondé !’’
Swami posant avec les enfants après une pièce de Noël dans le Poornachandra Hall
Il y avait environ 80 petites filles et 50 petits garçons assis derrière la scène. Et au
centre, il y avait les doubles portes de chez Swami. Carole pria les petites filles de faire
de la place pour Swami en s’asseyant en rangs depuis les portes et en laissant une
quarantaine de centimètres devant elles où l’on tirait le rideau de part en part de la
scène. Et elle leur dit que quand Swami sortait, elles devaient joindre les mains en
prière ou en forme de salut et ne pas Le toucher ni Lui parler à moins qu’Il ne leur parle
d’abord, auquel cas elles devaient répondre. Elles étaient serrées comme des sardines,
mais chaque fois que Carole était en poste, à l’exception de l’une ou l’autre fois où des
adultes se faufilèrent et s’assirent en bloquant le passage de Swami, Il venait toujours
du côté des filles !
Le travail de Carole incluait de tenir une liste avec chaque personne qui avait quelque
chose à voir avec le spectacle – ce qui pouvait aller jusqu’à 1200 personnes dans
beaucoup d’équipes différentes, comme celles de l’éclairage, des costumes, des
chorales, etc. et Il paraissait toujours lui poser des questions au sujet d’une chose
qu’elle ignorait sur le moment même. ‘’Swami plaisantait et Il me taquinait et Il
m’apprenait tellement, surtout sur l’exactitude. Pouvoir servir Swami directement et
être si proche de Lui était un pur délice. Les paroles de la chanson ‘’Je parcourrais des
millions de kilomètres pour un seul de tes sourires’’ devinrent une réalité.’’
Un jour, Swami demanda combien de volontaires féminines sevadals il y avait. Elle Lui
communiqua un chiffre et se rendit compte ultérieurement qu’il n’était pas juste,
puisqu’il y avait encore 40 dames supplémentaires qui s’activaient à la cantine
occidentale et qu’elle avait oubliées. Elle voulut reconnaître son erreur, mais elle était
fort nerveuse, car un mois plus tôt, Swami l’avait réprimandée pour avoir communiqué
erronément le nombre des personnes de son groupe quand Il les avait appelées pour
une entrevue. Néanmoins, quand Swami apparut, Carole s’avança et signala qu’il y avait
quarante dames sevadals supplémentaires qu’elle avait omises. Alors, Il leva la main,
comme pour la frapper et Carole battit en retraite et tenta de se réfugier derrière une
statue et en regardant dans Ses yeux, elle Le vit hilare, tout comme tous les enfants,
d’ailleurs !
Le treizième voyage de Carole à Prasanthi Nilayam eut lieu en décembre 1998 et elle
travaillait encore pour le spectacle. Le matin du 24, elle avait décidé en concertation
avec le comité des dames du spectacle de l’endroit où elles s’assiéraient ce soir-là dans
l’espoir d’avoir peut-être padanamaskar après la pièce de théâtre. Elle-même ne faisait
jamais cela, puisque padanamaskar ne faisait pas partie de sa culture. ‘’Mais j’ai dû
quelque part reconnaître que les autres étaient chanceuses, parce que plus tard, quand
je fus seule dans les coulisses, Swami apparut. On m’avait demandé de ‘’réclamer’’
padanamaskar pour les sevadals qui s’activaient à la cuisine et je m’avançai donc, les
mains jointes, signalant ainsi que je voulais Lui parler. Swami s’arrêta gracieusement et
je demandai alors : ‘’S’il Vous plaît, Swami, accorderez-Vous padanamaskar aux
sevadals qui travaillent en cuisine ?’’
‘’Certainement’’, dit Swami, ‘’faites-le’’. Carole pensa qu’Il avait mal compris ce qu’elle
avait dit. ‘’Pas moi, Swami, les sevadals de la cuisine !’’, répondit-elle avec emphase.
‘’Faites-le !’’, répondit Swami, tout aussi emphatiquement. Alors, Carole s’agenouilla et
toucha Ses pieds, puis toucha ses yeux et ce faisant, Il envoya une énergie de pure
félicité qui la parcourut. ‘’Inoubliable ! Je fondis intérieurement dans un ravissement
soumis’’, se souvient-elle.
Il y eut encore beaucoup d’autres interactions proches avec Lui, comme en septembre
2000, quand elle reçut son diplôme d’EVH de Ses propres mains à Prasanthi Nilayam.
Elle était nerveuse parce que, même si le cours lui-même à l’Institut d’Education Sathya
Sai de Thaïlande fut excellent, son séjour de dix semaines là-bas l’avait confrontée à de
multiples difficultés personnelles douloureuses et tests. Mais tout finit bien, quand
Swami lui fit un grand sourire et lui dit : ‘’Très heureux !’’
Il remit des saris aux enseignantes des écoles Sathya Sai d’Afrique et de Thaïlande, puis
regarda Carole et lui dit ‘’Enseignante ?’’ et lui lança un sari crème, rouge et or.
‘’Londres, une très bonne dame !’’, dit-Il à Lorraine Burrows, une des fondatrices et une
des enseignantes les plus compétentes de l’école de Thaïlande ainsi qu’à Genoveva
Kanu, la directrice de l’école de Zambie. Cela réconforta Carole ; c’était un grand
soutien de Sa part de dire ceci concernant le programme d’EVH au Royaume-Uni.
‘’Swami a tant béni notre programme et il en a fait un tel outil de développement
personnel’’, dit-elle.
LES ENSEIGNANTS SONT DES ÉTUDIANTS (OU DES APPRENANTS) À VIE
Résumant l’impact des activités liées à l’EVH sur sa vie, Carole dit : ‘’Cela a été de
bonnes fréquentations, cela a orienté ma vie et cela lui a donné un sens et un but. Via
ces activités, j’ai rencontré des milliers de gens merveilleux, j’ai visité beaucoup de pays
et j’ai pu dialoguer avec des gens très divers pour réaliser que dans le fond, chacun est
une incarnation des cinq valeurs humaines. Les enseignements de Baba sont d’un
intérêt universel. C’est la raison pour laquelle le programme d’ESSVH est si facilement
intégré par des groupes et par des cultures diverses. Il m’a offert de grandes
opportunités pour mon développement personnel et spirituel. Je suis très
reconnaissante à l’égard de notre bien-aimé Swami.’’
Le précieux sourire approbateur de Baba après le discours de Carole Alderman,
lors de la célébration de la Journée des Femmes, en novembre 2001
ÉCHANTILLON DE RÉACTIONS CONCERNANT LE PROGRAMME D’ESSVH
J’ai été enchantée de découvrir le programme d’ESSVH. En tant que psychothérapeute
et conseillère, je suis toujours consciente dans mon travail du chaînon manquant de
l’orientation spirituelle qui est au cœur d’un profond sentiment de perte, d’apathie et
d’insatisfaction dans notre société. Quand j’écoute les gens, il est aussi évident combien
ceci provient de la petite enfance et combien l’expérience de ne pas être entendu,
encouragé et aimé peut engendrer des effets dommageables considérables.
En participant au cours d’ESSVH, j’espérais pouvoir trouver un moyen par lequel je
pourrais directement contribuer à faire la différence pour les générations futures en
encourageant des valeurs plus positives. Le cours a comblé et dépassé mes attentes les
plus optimistes. J’ai découvert via mon engagement personnel dans le programme
comment il encourage une sagesse auto-référente ainsi qu’un comportement et un
point de vue éthique pratique.
J’ai découvert pendant les semaines du programme que j’étais devenue encore plus
ouverte à la complexité et à la diversité de tous les êtres et au merveilleux potentiel
d’amour qui attend là pour s’épanouir. Le partage des chants et des activités de groupe
nous aura permis à tous de nous rencontrer à un certain niveau et de reconnaître nos
espoirs mutuels pour le monde dans lequel nous vivons. Trouver ma place dans le
groupe d’ESSVH a aussi accru mon sentiment de bien-être et de relâchement paisible
par le biais d’exercices comme l’assise silencieuse.
La concentration sur les différentes valeurs a eu sur moi un impact profond et je me
suis trouvée plus véridique, aimante, paisible et consciente des conséquences et du
dynamisme de mes actions – avec à la clé un sentiment de responsabilité plus grand à
l’égard du vaste monde. Je peux aussi voir comment les éléments pédagogiques
peuvent être facilement utilisés avec de très jeunes enfants pour un effet maximal.
Le programme a aussi joué un rôle en me sensibilisant davantage à l’environnement –
pas juste avec de l’information, mais en me rappelant d’une manière très simple et très
fondamentale que j’en fais partie intégrante. En conséquence, je suis devenue plus
sensible à la beauté de la nature et plus attentive pratiquement et activement
protectrice de la faune et la flore autour de moi.
J’ai déjà mentionné le programme d’ESSVH à bon nombre de mes collègues et à mon
association professionnelle et je le recommande à tous ceux qui sont concernés par les
enfants, que ce soit en tant que parent ou dans un cadre professionnel et qui croient en
la possibilité – et en la nécessité – de transformer notre société.
Je me sens très reconnaissante à l’égard de l’opportunité de prendre part au
programme ESSVH, de trouver un autre moyen qui dépasse ma pratique thérapeutique
pour pouvoir servir le monde. Cela paraît si simple, tellement possible, et cela
encourage l’espoir – de découvrir qu’il existe un groupe de gens qui sont prêts à donner
librement d’eux-mêmes pour introduire les changements spirituels nécessaires dans le
monde et que moi aussi, je peux en faire partie. Simplement réaliser cela confère un
sentiment de paix profonde, de réconfort et de sécurité.
Lesley Hayes
Psychothérapeute et conseillère intégrative
26 Cherwell Street, St. Clements, Oxford OX4 1BG, UK
***
Nous avons demandé cette formation, étant donné que j’avais remarqué les manuels et
que j’avais pensé que cette approche d’enseigner les valeurs aux enfants en utilisant
des histoires fonctionnerait bien dans notre école où tous les élèves ont l’anglais
comme langue additionnelle.
L’autre raison pour laquelle nous avons voulu la formation en ESSVH est l’importance
qu’elle accorde à l’augmentation de l’estime de soi de l’enfant en utilisant des
méthodes d’enseignement et d’apprentissage qui accélèrent leur apprentissage et en
leur fournissant des opportunités de réfléchir – et donc du temps pour intégrer le nouvel
apprentissage.
J’ai employé avec succès le programme d’ESSVH, particulièrement en 6ème année.
L’apprentissage de l’ESSVH a fait réfléchir les enfants à ce qu’ils avaient appris
précédemment à la mosquée ou à la madrassa pour le partager ensuite avec la classe.
Ils se sont sentis appréciés de pouvoir partager des choses qu’autrement, ils auraient
peut-être hésité à offrir (notre école est à 98 % asiatique et musulmane). Ils ont suivi le
travail et ont fait leurs propres liens – ainsi nous avons pu continuer à étudier Martin
Luther King, Richard Wright et Gandhi. Ce fut un progrès capital, car la communauté
locale a des difficultés à communiquer avec qui que ce soit qui se situe en dehors de
son cadre immédiat. L’ESSVH nous fournit la possibilité d’aborder leur expérience
monoculturelle de la vie. L’ESSVH s’adresse au besoin de spiritualité sans s’attaquer à
la religion.
Le programme d’ESSVH et la formation se sont très bien inscrits dans la réflexion de
notre école. Il stimule le développement du langage, il est accessible, spirituel et opère
avec des méthodes d’enseignement et d’apprentissage qui améliorent l’apprentissage
des élèves. J’attends avec impatience la nouvelle année scolaire où nous continuerons
d’introduire le programme dans les différentes tranches d’âge. C’est un facteur qui
contribue très bien à augmenter l’accomplissement de nos enfants.
Jayne Clarke
Coordinatrice pour la réalisation des minorités ethniques
Field Lane School, Batley, West Yorkshire, UK
***
L’atelier d’ESSVH du BISSE a été pour moi un exercice d’éveil spirituel qui m’a permis de
redécouvrir les Valeurs Humaines à l’intérieur. L’environnement saturé d’amour, le
mélange interculturel des participants issus de différents pays, les exposés à cœur
ouvert, les exercices d’attention au moment présent ont tous contribué à faire de ceci
une expérience inoubliable. Je suis profondément reconnaissant à l’égard du BISSE pour
cette opportunité.
Père Charles Ogada (Nigéria)
***
Tout le monde se soucie surtout du potentiel académique des enfants et de leur
capacité à contribuer plus tard à l’économie et personne ne prête aucune attention à
leurs âmes ! Le programme d’EVH a le plus grand impact sur tous les aspects de la vie
scolaire. Il est très encourageant à une époque où je m’inquiète qu’il n’y ait plus de
cœur dans l’éducation.
Jenny Drake, conseillère pédagogique et mère
***
Je suis très reconnaissante pour avoir reçu l’opportunité non seulement d’apprendre
plus pour mieux enseigner, mais d’apprendre plus pour me changer davantage et
intégrer réellement l’enseignement de la vie afin de pouvoir enseigner à partir du cœur.
Un grand merci qui n’exprimera pas totalement toute ma gratitude.
Latifa Tbahriti, professeur de français, Royaume-Uni
***
J’apprécie particulièrement cette approche d’enseigner laïquement les Valeurs
Humaines et cette méthode sera d’une portée considérable.
Usha Kapoor, enseignante
Martintown, Ontario, Canada
***
Depuis le premier jour de l’atelier, j’ai expérimenté Sathya qui jaillissait de mon cœur.
Ce fut un moment extraordinairement fort. Depuis lors, je me sens si bienheureuse.
L’ESSVH m’accompagnera toujours et je ferai tout mon possible pour la partager avec
tous ceux avec qui je serai. Je crois que c’est le meilleur moyen pour rembourser ma
gratitude à l’égard des facilitateurs du programme.
Lilly Ngoc Pham, Toronto, Canada
***
J’ai apprécié les exercices d’assise silencieuse et de vigilance, car qu’ils m’ont aidée à
entrer en contact avec mon Soi intérieur. Les stratégies à utiliser avec les enfants que
nous avons apprises furent très utiles et pratiques et je sais avec certitude que dès
demain, je les utiliserai dans ma classe d’une manière plus pratique. J’ai aussi vu
l’importance d’être nettement plus sélective dans mes choix d’histoires pour les enfants
et comment créer un plan de leçon autour d’elles.
Freng Romer, institutrice de 3ème primaire, Brampton, Canada
***
Tout était magnifique et significatif. C’est surtout l’exercice d’attention qui était le
meilleur. L’exercice ‘’Apprendre à te voir’’ était particulièrement touchant.
Kefayat Dizajni, North York, Canada
***
J’ai trouvé le cours excellent, à tous points de vue, y compris le contenu, les matières, la
présentation, la location et l’organisation. Outre m’être concentrée sur la matière et
avoir appris à son sujet, j’estime avoir connu durant cette semaine une expérience où
les valeurs étaient vécues par les membres du groupe. Le niveau était excellent et
l’expérience fut très agréable et très inspirante. Merci beaucoup !
Christina Wilson (ancien professeur du secondaire)
Shrewsbury, Royaume-Uni
***
J’ai trouvé le cours instructif, inspirant et très stimulant, intellectuellement. Il m’a
personnellement aidée, parce que la clarté et l’essence de la matière ainsi que la façon
dont elle était présentée ont réaffirmé pour moi la conviction de l’importance de
l’enseignement et de mon engagement dans mon nouveau travail. Je ne crois pas avoir
reçu cela en neuf mois de formation à l’enseignement.
Rachel Howcroft (institutrice d’école primaire)
Shrewsbury, Royaume-Uni
***
L’ESSVH ! J’ai cherché pendant des années quelque chose dans le genre et je l’ai enfin
trouvé !
Christine Shirley (professeur du secondaire)
Shrewsbury, Royaume-Uni
***
Merci pour avoir conduit ce cours éclairant et à l’âme généreuse. J’ai été touchée par le
service chaleureux et par l’ouverture d’esprit dont vous et votre équipe avez fait preuve.
Votre engagement à illuminer l’atmosphère générale en vous adressant aux capacités
inhérentes des personnes – et particulièrement des enfants – traverse tout le cours et a
été inspirant pour moi.
J’apprécie beaucoup l’attention et le soin aux détails qui sont manifestes dans la
confection du cours. Vous avez réussi à constituer un bouquet qui comprend un volume
impressionnant de matériaux et une pléthore d’opportunités de développement
personnel d’une manière très équilibrée. Les cours et les exercices ont été dirigés d’une
manière claire et professionnelle, tout en conservant une approche amicale et légère de
bout en bout.
J’ai hâte de travailler avec le matériel de l’EVH dans les prochaines semaines et de
trouver ma manière propre de suivre votre exemple et d’offrir ce savoir-faire aux autres.
Merci mille fois.
Hannah H-B, Tonbridge, Kent, Royaume-Uni
***
J’ai tellement appris de ce cours…Vous nous avez offert un cadre paisible où l’on se
sentait en confiance et où l’apprentissage et la compréhension étaient faciles. Votre
calme personnel et celui des autres enseignants m’ont indiqué un merveilleux exemple
à émuler. Vous avez fait montre d’un respect exemplaire et m’avez réellement fait sentir
que ce que je disais avait de l’importance pour vous.
Ce que j’ai le plus aimé dans ce cours, c’est l’exercice de réflexion et de réceptivité qui
m’a offert des intuitions précieuses pour comprendre le plus vaste ensemble. L’exercice
d’attention et d’écoute m’a fourni un outil pour trouver enfin le moyen de calmer mon
esprit.
Les livres du cours sont pour moi un outil nécessaire qui m’aidera à suivre une direction
en classe et les livres me permettront de montrer facilement ce qu’il faut faire et la
façon d’enseigner les valeurs suivant les classes. Encore une fois merci pour nous avoir
offert cet outil merveilleux prêt à l’emploi. Tout ce qu’il me reste à faire maintenant,
c’est prier et laisser Dieu faire Son travail.
Josselyn, Andorra, Kent, Royaume-Uni
***
Ceci fut une expérience réellement inspirante pour moi. Je suis venue ici car je pensais
que le but du programme était valable et j’avais lu et j’avais été très impressionnée par
le livre ‘’To Teach, Not To Punish’’.
Et j’ai découvert beaucoup plus : des gens merveilleux, un réel sentiment de lien, de
l’amitié, de l’amour, du fun, des instants profonds de reconnaissance, l’assise
silencieuse, la visualisation guidée, l’exercice d’attention, la surprise et la joie, le rappel
de la stimulation due à la narration d’histoires – j’ai toujours été d’avis que les histoires
n’étaient précédées que par l’amour en tant que soif et besoin le plus profond de l’âme
humaine, car c’est seulement via le symbole, le mythe, la légende et l’allégorie que l’on
peut dire et comprendre les profondes vérités.
Felicity, Gravesend, Kent, Royaume-Uni
***
Quand j’ai su que ce cours existait, j’ai dit aux gens : ‘’Ce sera la meilleure chose que j’ai
jamais faite !’’ Et je n’ai pas été déçu. L’équilibre de chaque journée m’a conduit plus
loin dans le développement personnel et pratique. Il excelle dans les deux. En tant
qu’approche en matière de développement personnel, c’est la meilleure que j’aie
jamais vue. Assurément, les quakers chrétiens, même s’ils possèdent les mêmes
valeurs, n’ont rien comme ce cours.
En tant que formation, elle n’existe pas dans l’enseignement normal, il y en a juste
quelques-unes comme la formation Steiner, etc. Dans les écoles secondaires (dans la
mienne certainement), les valeurs existent à peine. Remettre les valeurs dans les écoles
secondaires ne sera pas une chose aisée.
Je m’imagine de plus en plus diriger différents types d’ateliers de leadership spirituel et
aider à devenir formateur Sathya Sai. Je peux m’imaginer tenter de mettre au point un
manuel de mathématiques éthique et développer le cours diversement, par exemple au
sein d’ateliers de développement quakers.
Je continuerai à aider le groupe du Kent et à soutenir le SSEVH Values Alive Club. Merci,
Carole, de m’avoir fourni l’opportunité de participer à un cours aussi merveilleux.
John S., Gravesend, Kent, Royaume-Uni
***
Merci de m’avoir donné cette grande opportunité de me reconnecter de nouveau à
l’amour !
J’emporterai avec moi le sentiment de beauté, de grâce et d’amour que j’ai éprouvé,
d’abord dans l’exercice d’assise silencieuse, puis dans les exercices de groupe, comme
lorsque nous nous sommes mutuellement regardés dans les yeux.
Je m’efforcerai certainement de transmettre ces valeurs à mes enfants. Je me suis
sentie en sécurité, très encouragée et très motivée.
Sarah A., Gillingham, Kent, Royaume-Uni
***
Au départ, je redoutais qu’il n’y ait pas assez de matériel pour remplir les six jours et de
finir par m’ennuyer. Comme j’avais tort ! Le temps a filé et je n’ai pas regardé ma
montre une seule fois. Je crois que même si les étudiants n’utilisent jamais ceci comme
un outil pédagogique à l’école, ils emporteront ces précieux enseignements partout où
ils iront durant leur vie, ce qui à son tour affectera leur entourage par un effet papillon.
Je voudrais saisir cette opportunité pour vous remercier pour la générosité et le dur
labeur que vous avez consacré à l’humanité, au monde et à l’univers. C’est vraiment
l’amour qui se manifeste par votre entremise.
Andrea G., Gravesend, Kent, Royaume-Uni
***
Tout le cours concernait la création et l’être. J’y ai appris des valeurs, telles que la vérité,
l’amour, la paix, la conduite juste et la non-violence (dont on parle beaucoup
aujourd’hui, mais sans les mettre en pratique comme il se doit), car elles sont le droit
de naissance de tout être humain. La méthode d’enseignement est merveilleuse et à
chaque fois, ils puisaient les valeurs en nous. Quels bons bergers qui s’occupaient
simplement de leurs brebis avec amour et attention sans leur laisser aucune chance de
s’égarer !
Je souhaite qu’ils propagent cette connaissance du Soi loin au-delà des mers et dans
l’univers, car tout être a soif de ne se montrer à la hauteur que de Cela uniquement
dans ce monde de désespoir et de frustration totale. C’est notre droit de naissance
légitime de connaître ces valeurs et ils l’ont exploité. Puisse Dieu les bénir et tous ceux
qui veulent soutenir le programme d’ESSVH. Merci beaucoup !
Indira M., Ile Maurice
***
J’ai trouvé le cours d’ESSVH très utile. Auparavant, j’avais déjà lu un des livres anglais
de Carole Alderman avec les plans de leçons.
Pendant le cours, j’ai réalisé combien il était important d’écouter et de mettre en
pratique les différents éléments de l’enseignement. Il m’a fait comprendre comment les
enfants se sentiraient pendant la leçon. Le cours m’a donné une idée sur la manière
dont je pourrais préparer des plans de leçons pour les enfants hongrois. Et ces quelques
journées m’ont également montré le côté plus profond des valeurs. J’ai pu intégrer tout
cela avec l’étude que j’en avais déjà faite en Hongrie.
Bea Tapaszio, Molnar, Hongrie
***
Il est difficile de résumer par des mots combien ce cours a été réellement inspirant ! Ce
qui se distingue par rapport à beaucoup d’autres cours que j’avais suivis au fil des ans,
ce sont l’amour et l’intégrité de tous les facilitateurs qui sont des exemples éclatants
des cinq valeurs et je pense que ceci est très rare.
C’était comme un aperçu d’une réalité vraiment possible quand des êtres humains
peuvent être, tout simplement – un don réellement précieux à nous tous présents,
inspirant, motivant et réconfortant ! J’en ai personnellement retiré beaucoup de
bénéfices - en croyant en une réalité neuve pour nous tous, en comprenant ce que je
peux faire pour m’aider et pour encourager les autres à se joindre à nous par mes
actions. Je pense que j’ai reçu une kyrielle d’idées et d’approches réellement pratiques
pour vivre une vie inspirée par les cinq valeurs. J’ai maintenant l’espoir que nous
pouvons réellement en revenir à enseigner aux enfants beaucoup plus que de simples
matières académiques et qu’ils auront l’occasion de profiter d’un monde qui pourra les
combler.
Colette Savage, Irlande du Nord
***
Eh bien personnellement pour moi, je pense que chaque journée a été plaisante. Je ne
peux pas vraiment isoler une journée, un événement ou une activité spécifique. J’ai
réellement apprécié les exposés qui me sont allés droit au cœur pour que je change en
mieux.
La formation était excellente. Les connaissances profondes de Carole et sa présentation
sont exceptionnelles et tous les autres facilitateurs sont excellents.
J’apprécie l’ouverture du cours et les activités (histoires, chants, partages et jeux) qui y
sont associées. Les exercices de réflexion et de conscience de soi sont super. Les cinq
composantes de l’enseignement de la formation fournissent de bons exemples sur la
manière dont ces composantes peuvent être utilisées efficacement dans le cadre d’une
classe. Les cinq valeurs de l’ESSVH sont pratiquement intégrées dans toutes les
activités.
Le cours d’ESSVH a servi pour moi de révélation...Ce cours n’est pas qu’un simple
accomplissement académique, mais il est en soi une grande qualification pour
développer un être pour qu’il devienne un meilleur être humain. Je commence juste à
réfléchir à mon propre Soi profond et je suis certaine qu’un jour, je pourrai mieux le
comprendre et peut-être pourrai-je contribuer magnifiquement à la société et il ne s’agit
pas juste d’un espoir ou d’un rêve, mais d’un effort permanent dans la pratique.
Indira Joshi, Hounslow, Royaume-Uni
***
J’ai incontestablement expérimenté l’intensité de ce cours intensif…J’ai éprouvé de
l’amour intense, une paix intense, j’ai vu le bien autour de moi et j’ai énormément
appris. Ce fut un temps de réflexion et également un temps pour recevoir beaucoup de
connaissances.
Je pense que les valeurs ont toujours fait partie de moi et qu’elles ont toujours été
présentes tout autour de moi dans ma vie, mais maintenant, je suis beaucoup plus
consciente d’elles et de leur importance. Je les mettrai désormais en application plus
consciemment dans ma vie quotidienne.
Je me sens réellement bénie d’avoir reçu ces grandes connaissances, ces grandes
vérités et l’honneur de faire partie de cette formation et de ces mesures destinées à
introduire la paix, l’amour, la non-violence, la vérité et la conduite juste dans mon
entourage et bien sûr auprès des merveilleux enfants.
Hanita Patel, Pinner, Royaume-Uni
***
Ce cours fut inspirant. Il a changé le cours de ma vie. La façon dont il était présenté,
avec beaucoup de variété (chants, activités, assise silencieuse, méditation, jeux) l’a
rendu plus intéressant et facile à assimiler.
Je trouve les cinq valeurs édifiantes et le diagramme de Jumsai résume très bien
l’ensemble.
L’exercice de conscience sur manas et buddhi a rendu les choses encore plus claires
pour moi, mais ma soif d’une connaissance plus profonde de l’esprit en demandera
plus.
J’espère qu’à l’aide de cette formation et de ces informations, je pourrai persuader les
miens (en Algérie) de l’incorporer dans le programme scolaire national sous une forme
ou l’autre.
J’encouragerais tous ceux qui souhaitent voir la lumière à suivre cette formation !
Merci beaucoup.
Bashir Saoudi, Cambridge, Royaume-Uni
***
Le cours d’ESSVH est la meilleure formation que j’ai jamais suivie. Il est inspirant et
saturé de l’amour de tous les facilitateurs et participants…Ce cours m’a dotée de
connaissances, de compétences, de réflexion, de conscience et d’amour pour
comprendre comment incarner les Valeurs Humaines et les enseigner à autrui.
Nila Murday, Portsmouth, Royaume-Uni
***
Au terme du cours, j’ai commencé à ressentir que j’étais les valeurs. J’en ai tiré profit en
devenant de plus en plus consciente de mon être global, de mes pensées, de mes
paroles, de mes actions et de mes sentiments. Il a contribué à un sentiment de paix
intérieure et de calme plus profonds. Il m’a aussi donné les outils qui me permettront de
poursuivre mon développement et ma transformation personnelle, comme l’exercice de
vigilance, la visualisation guidée de la lumière et les exercices de réflexion sur chaque
valeur.
Miacaela Bianco, Londres, Royaume-Uni
Référence : Magazine Heart2Heart de Radio Sai Global Harmony - Avril 2015