fiche ETAT LIMITE

Telechargé par Camille de Saint Pol
PATHOLOGIE DU NARCISSISME
Dans les pathologies du narcissismes on retrouve :
- Les états limites
- Les pervers
I. Définition
II. Structure : l’état limite n’est pas une structure (comme on l’a retrouve dans les névroses et les
psychoses), c’est une personnalité. « Une personnalité état limite »
Cette personnalité va passer soit dans la névrose / soit dans la psychose
C’est une personne en apparence bien adapté socialement.
III. Signes :
1. Relation anaclytique
L’état limite a besoin d’un « objet ». Cet objet peut être une personne ou une ascension sociale pour
tendre vers, pour l’étayer
1
Tant que cette relation anaclytique fonctionne, tout va bien.
Mais si la relation se casse, il peut y avoir décompensation
2
cela peut mener à :
- Une dépression (l’état limite se défend continuellement contre la dépression) ;
- La solitude
- Des conduites autodestructrices (suicide, conduites addictives)
- La recherche d’un autre objet pour une autre relation anaclytique
2. Intolérance à la frustration
Grande insécurité intérieure qui ne se voit pas del’extérieure.
Hypersensible aux remarques
3. Manipulateurs
4. Absence de culpabilité
Aucune remise en question. Ces personnes sont tout le temps à accuser l’autre ;
1
Quand on dit qu'un patient a besoin d'étayage, c'est qu'il a besoin d'être entouré, d'avoir quelqu'un ou quelque chose qui l'aide à
se structurer un peu
2
Un traumatisme intervient et va faire que la structure bascule dans une pathologie
IV. Mécanismes de défenses
Les mécanismes de défense de l’Etat limite sont les mêmes que dans les psychoses ou dasn les névroses
suivant de quel côté la personne bascule
1 / 3 100%

fiche ETAT LIMITE

Telechargé par Camille de Saint Pol
La catégorie de ce document est-elle correcte?
Merci pour votre participation!

Faire une suggestion

Avez-vous trouvé des erreurs dans linterface ou les textes ? Ou savez-vous comment améliorer linterface utilisateur de StudyLib ? Nhésitez pas à envoyer vos suggestions. Cest très important pour nous !