2. À l’aide de cette loi, déterminer la probabilité qu’aucune de ces chaudières
ne soit en panne (arrondir à 10−3).
Aucune chaudière n’est en panne, donc X = 0. On cherche donc p(X = 0).
À l’aide de la calculatrice : p= 0,082 0,722 0,29 0,00016
p(X = 0) = 0,014 '0'0 0,992
3. À l’aide de cette loi, déterminer la probabilité qu’au plus 2 de ces chaudières
ne soit en panne (arrondir à 10−3).
Au plus 2, donc X 62. On cherche donc p(X 62).
À l’aide de la calculatrice : p= 0,082 0,722 0,29 0,00016
p(X 62) = 0,211 '0'0 0,999
Partie C – Loi normale
Soit Y la variable aléatoire qui, à chaque fiche tirée au hasard dans le fichier
des chaudières du parc, associe la durée de fonctionnement, en années, de la
chaudière correspondante.
On admet que la variable aléatoire Y suit la loi normale de moyenne 12 et
d’écart-type 2.
1. Calculer p(Y 610) (arrondir à 10−3).
À l’aide de la calculatrice : p(Y 610) = 0,159
2. Une chaudière est dite « rentable » si sa durée de fonctionnement est supé-
rieure ou égale à 10 ans.
Quelle est la probabilité qu’une chaudière dont la fiche a été tirée au hasard
dans le fichier du parc soit rentable ? Justifier.
On cherche p(Y >10), comme p(Y 610) = 0,159, on en déduit que
p(Y >10) = 0,841
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