16 juillet 1993 : décret du gouvernement de loi anti négationniste, journée nationale à la mémoire
des victimes de persécution raciste et antisémite commis sous l’autorité de fait dite « gouvernement
de l’état français ».
Jusqu’en 1995, la république française ne reconnait pas sa responsabilité pour tous les actes
commis par le régime de Vichy. Or Jacques Chirac dès le début de son mandat reconnait la
responsabilité de la France dans la déportation de 500 000 juifs (discours Chirac : « il est dans la
nation des moments qui blesse la mémoire. […] La France ce jour-là accomplissait l’irréparable »).
En 2005, Jacque Chirac inaugure avec Simone Veil le mémorial de la Shoah.
En fonction de leur idéologie les historiens se sont divisé sur la volonté de l’état d’établir une vérité
officielle (pour ceux de gauche : C.V.U.H.). Les historiens se sont mis à étudier la place des mémoires
dans l’opinion publique française et leurs commémorations. :
-Henry Rousso, « Vichy un passé qui ne passe pas ».
-Olivier Wieviorka, « La mémoire désunie ».
-Pierre Laborie, « Le chagrin et le venin ».
C. Le renouveau des commémorations nationale : une instrumentalisation
politique :
En disant que dès 1945 l’objectif des commémorations internationale a été de se rappeler des
anciens ennemis, pour contenir une paix européenne, d’où l’importance du rapprochement Franco-
Allemand (1913 : De gaulle et Adenauer signe le traité de l’Elysée).
En 2004, lors du soixantenaire du débarquement, le chancelier allemand déclare la victoire des alliés
n’était pas une victoire sur l’Allemagne mais pour l’Allemagne. On commémore la guerre pour
montrer la puissance de la paix.
En 1988, à Caen, on crée un mémorial pour la paix.
Chaque président a eu sa politique mémorielle :
-Jacque Chirac : lutte contre le racisme (lutte contre Jean Marie Le Pen):
-Nicolas Sarkozie : La France n’a pas à s’excuse. Il recherche la « repentance » (il va redorer la
résistance. Il va imposer la lecture de la lettre de Guy M