Réaliser par : Ahmed amine Er-rabi Promotion : 2017-2020 PLAN : Introduction Présentation de lieu de stage Présentation du dossier socioadministratif Présentation anatomo-pathologique Présentation des bilans Interrogatoire Bilan morphologique Bilan de la douleur Bilan articulaire Bilan musculaire Bilan fonctionnel Présentation du protocole rééducatif Conseils d’hygiène Conclusion I. INTRODUCTION : Le stage représente un élément primordial dans notre formation, c’est une liaison qui permet à l’étudiant de vivre la tangibilité des hôpitaux et leurs problèmes de gestion de collaboration et d’organisation ; Bien entendu que ce dernier m’a permis de testamenter mes capacités d’analyse et d’éduction et de faire la comparaison entre application théorique et application pratique. Ce que j’ai jouir de ce stage : Revoir, tester et amender mes connaissances De voir de près le déroulement des activités et des travaux robinetterie, de vivre la réalité. II. PRESENTATION DU LIEU DE STAGE : Notre stage s’est révolu à l’intérieur de l’hôpital Moulay Ismail, au service de rééducation pour la période allant du15/02/2019 au27/02/2019 encadré par madame kamar Cet établissement gage la continuité des soins et assure des prestations de soins médicaux et chirurgicaux d’urgence. L’hôpital Moulay Ismail de Meknès a été créé en 1918. Le service qui a été concerné par mon stage est : le service de rééducation. Le service est constitué de dix salles avec deux lits pour chaque salle et une grande salle de rééducation qui constitue de barre parallèle et des bicyclettes et une tapie roulante et un lit avec cage pour la pouliethérapie Ce service contient quatre kinésithérapeutes Ms. Fayçal (le majeur) Ms. Brahim Ms. Samir Ms. Amourai Service de rééducation III. PRESENTATION DU DOSSIER SOCIO-ADMINISTRATIF : - Il s’agit de la patiente A. PRESENTATION ANATOMOPATHOLOGIQUE : 1/ Qu'est-ce qu'une gonarthrose ? La gonarthrose est un type d’arthrose, c’est-à-dire une pathologie articulaire chronique. Cette maladie est caractérisée par une dégradation du cartilage articulaire. L’arthrose est la maladie articulaire la plus répandue. La gonarthrose désigne spécifiquement l’arthrose du genou. Dans la majorité des cas, elle affecte l’articulation fémoro-tibiale reliant le fémur (os de la cuisse) au tibia (os de la jambe). Toutefois, elle peut aussi affecter l’articulation fémoropatellaire entre le fémur et la rotule, ou patella (petit os à l’avant du genou). Enfin, il existe quelques cas où les deux articulations sont touchées simultanément. Note : En cas de gonarthrose, les deux genoux sont souvent touchés. 2/ Comment se manifeste une arthrose de genou ? LES SYMPTOMES DE L'ARTHROSE Les signes de la maladie arthrosique varient selon l'articulation concernée. Cependant, dans tous les cas, le motif principal de consultation est la douleur associée à une gêne fonctionnelle. La douleur est, en principe, dite de type "mécanique" car elle présente les caractéristiques suivantes : Elle est déclenchée et aggravée par le mouvement ; Elle cesse ou s'atténue plus ou moins complètement lorsque l'articulation est au repos ; Elle est moins importante le matin, puis elle augmente dans la journée et elle est maximale le soir ; Elle gêne traditionnellement l'endormissement, mais peut également entraîner des réveils nocturnes (environ 50 % des patients arthrosiques sont réveillés la nuit par leur douleur) ; Elle réapparaît chaque fois que l'articulation concernée est soumise à un effort : la marche pour l'arthrose de hanche, monter un escalier pour le genou, lever le bras pour l'épaule… La gêne fonctionnelle correspond à une limitation de la mobilité de l'articulation touchée par l'arthrose. Elle est variable selon l'activité du patient. Ainsi, un joueur de golf sera beaucoup plus gêné par une arthrose du genou qu'un sujet ne pratiquant pas de sport. De même qu'un pianiste sera très handicapé par une arthrose des doigts, même légère. Les articulations arthrosiques ne sont, en principe, ni rouges, ni chaudes. Elles peuvent être gonflées lorsque s'installe un épanchement liquidien (épanchement de synovie), ce qui est particulièrement fréquent au niveau des genoux. Cependant des périodes de poussée inflammatoire existent et il y aurait une composante inflammatoire dans cette maladie, différente et moins importante que celle de la polyarthrite rhumatoïde. A la longue, les excroissances osseuses ostéophytes provoquent des déformations des articulations, surtout visibles au niveau des mains et des genoux. L'état général du patient est toujours bon. Il n'y a ni fièvre ni amaigrissement. Les lésions arthrosiques sont irréversibles et aboutissent, outre les déformations, à un raidissement articulaire pouvant évoluer vers une impotence partielle. 3/ Quelles sont les causes de l'arthrose de genou? CAUSES : AGE, SURPOIDS, SPORT... Les causes exactes de la destruction du cartilage ne sont pas toutes connues. On sait qu'elle est favorisée par le vieillissement : en effet, alors que 3% des moins de 45 ans sont touchés par de l'arthrose, les 65 ans et plus sont environ 65% à en souffrir et après 80 ans, plus de 80% de la population s'en plaint. La littérature scientifique suggère que des personnes seraient génétiquement prédisposées à l'arthrose du genou. Cette pathologie serait également davantage observée chez les patients présentant des anomalies anatomiques ou des séquelles d'un traumatisme (entorse mal soignée, ablation du ménisque…). En outre, il est établi qu'un excès de pression sur l'articulation est en cause. "Le surpoids est un facteur important car il sur-sollicite l'articulation. Une perte modérée de quelques kilos permet d'améliorer, voire prévenir, l'apparition de cette maladie articulaire", indique le Pr Aleth Perdriger, cheffe de service de rhumatologie du CHU de Rennes. Outre la surcharge pondérale, le port de charge lourde au travail augmente les contraintes mécaniques et abîme le cartilage du genou. La pratique intensive de certains sports est aussi pointée du doigt (football, rugby, ski…) ARTHROSE DU GENOU (A GAUCHE, ARTICULATION NORMALE, A DROITE, ARTICULATION AVEC ARTHROSE) 4/ Quand doit-on consulter un chirurgien spécialiste du genou, en cas d'arthrose de genou? Avant de se décider pour une arthroplastie, il faut savoir que la prothèse va s’user au fil des années. Que ce soit pour la hanche ou pour le genou*, sa durée de vie est limitée à 15 ou 20 ans. C’est pourquoi les chirurgiens la préconisent plus volontiers après 60, 65 ans, car une personne opérée plus jeune devra se faire réopérer. Or, la seconde intervention est souvent plus délicate que la première. Il n’y a pas, en revanche d’âge limite, si l’état de santé est bon. « Une arthroplastie peut être contre-indiquée en raison d’un mauvais état général ainsi que dans certains cas de diabète, d’obésité importante, de problèmes pulmonaires ou cardiaques », La chirurgie est indiquée seulement face à une arthrose sévère de la hanche ou du genou générant trop de handicap, « lorsque la gêne et la douleur sont telles qu’une personne ne peut plus marcher », C’est une opération de dernier recours. Tous les traitements médicaux contre l’arthrose doivent avoir été essayés : les antidouleurs, les anti-inflammatoires, les anti-arthrosiques, les injections d’acide hyaluronique pour lubrifier l’articulation, voire les lavages articulaires (extraction de petits morceaux de cartilage). En général, les radiographies montrent que les cartilages ont presque disparu. * 150 000 prothèses de hanche et 90 000 prothèses de genou sont posées chaque année. L’intervention dure une à deux heures, sous anesthésie générale ou locorégionale. Elle est réalisée par un chirurgien orthopédiste. Elle entraîne une hospitalisation d’une semaine et un arrêt de travail d’un à deux mois. Dans les deux cas, la prise en charge de la douleur permet au patient de se lever dès le lendemain de l’opération. La prothèse remplace l’articulation La prothèse de genou possède trois compartiments : un implant en alliage de titane ou de chrome cobalt s’emboîte dans le fémur, un autre dans le tibia. Entre les deux : un plateau en polyéthylène hautement réticulé. Un bouton en polyéthylène peut éventuellement être posé au niveau de la rotule. L’intervention est suivie d’un programme de rééducation chez un kinésithérapeute (compter 20 à 30 séances) ou dans un centre de rééducation (deux à trois semaines), surtout si l’on vit seul. Les premières semaines de marche se font à l’aide de béquilles. On retrouve une totale autonomie au bout de deux mois environ. Dans les deux cas, l’opération permet de ne plus souffrir et de gagner en mobilité. Pour le genou, articulation plus complexe, les résultats sont variables. « Il n’y a plus de douleur, mais la prothèse se fait sentir. On peut remarcher, récupérer une bonne flexion, mais pas courir », nuance-t-il. PRESENTATION DES BILANS : Bilan masso-kinésithérapique : Ce bilan est un outil de décision thérapeutique aussi bien qu’un outil de suivi évolutif ; certains examens seront, donc, répétés afin de quantifier l’évolution du patient. Le but est de parvenir à la prise en charge la mieux adaptée au patient et à sa pathologie. Les objectifs de la prise en charge sont en permanence réévalués afin qu’ils soient le plus pertinents pour lui. Les objectifs de la rééducation sont confrontés à ceux du patient pour parvenir ensemble à l’établissement d’un contrat thérapeutique, ce qui permet de travailler ensemble vers ce qui lui sera le plus bénéfique. Cet examen commencera par l’étude du dossier médical et administratif du patient. Dans un second temps nous nous attacherons à décrire les limitations d’activité et les restrictions de participation que rencontre le patient afin de comprendre à quelles difficultés fonctionnelles il est exposé. A partir de là, les déficits de fonction qui sont à l’origine de ces problèmes seront recherchés. Interrogatoire : L’interrogatoire est un temps essentiel de l’examen kinésithérapique, mais son orientation dépend étroitement du contexte. Il sera donc détaillé à chaque fois en dépend de l’évolution. Ce dernier a révélé : • une arthrose de genou • des douleurs mécaniques persistent • Importance fonctionnel très importante Entretien avec le patient (Afin d’avoir une connaissance parfaite du malade) - Mode de vie du patient : • Pas de loisirs, • accessibilité de l’habitat : monte toujours l’escalier. - Plainte du patient : • Gène professionnelle, • fatigue, • douleur. Bilan morphologique Cet examen est constitué d’un ensemble d’étapes visant à établir un diagnostic précis. Parmi ces étapes, on trouve : -L’inspection : Observation du patient. Rien à signalé -La palpation : permet à travers le toucher d’évaluer les anomalies non perçues par l’inspection. Cette étape complète l’inspection. Douleur chronique au niveau du genou. Bilan articulaire : Réalisé par des mesures du goniomètre : Bilan musculaire Ce bilan sera effectué selon la cotation de testing, du côté lésé : Psoas-iliaque = 2+ Moyen fessier = 2 Abducteurs = 2 Grand fessier = 2 Quadriceps = 3+ Ischio-jambiers = 3 Jambier antérieur = 4+ Jambier postérieur = 4+ Fléchisseurs des orteils = 4+ Extenseur des orteils = 4+ Ps : Les autres muscles, du membre inférieur sain et des membres supérieurs sont cotés de 4 à 4+ Bilan fonctionnel • Fonctions fondamentales : Alimentation : toute seule Habillage : toute seule Toilette : toute seule I. PRESENTATION DU PROTOCOLE REEDUCATIF Les Objectifs : Les Moyens : I. CONSEILS D’HYGIENE PRESENTATION DU DOSSIER SOCIO-ADMINISTRATIF : Il s’agit de la patiente. Bouchakour Halima âgée de 63 ans divorcé, mère d’un garçon, il habite à sidi bouzekri Meknès Histoire de maladie : Malade depuis quatre mois La patiente présente NCB (névralgie cervicaux brachiale) Les causes : La douleur au niveau de l’épaule l’er virent des seins Les ATCD médicaux : Dolo stop Breroin suppo Chirurgicaux : Rien a signalé I. PRESENTATION ANATOMO-PATHOLOGIQUE : 1/ Qu'est-ce qu'une NCB? La névralgie cervico-brachiale (NCB) est l'équivalent d'une sciatique au niveau du bras. Le conflit irritant le nerf se situe souvent au niveau d'une vertèbre cervicale au lieu d'une lombaire et le territoire douloureux se situe dans la région de la clavicule, du haut du dos, de la poitrine et surtout du bras. La névralgies est une douleur particulière par son caractère lancinant, les sensations anormales qui l'accompagnent comme des fourmillements, engourdissements, gonflement, courant électrique, y compris dans le thorax, maux de tête, vertiges, névralgies faciales et le fait qu'elle ne soit pas « directement » influencée par les mouvements du bras: la douleur peut être quasi-permanente, que vous soyez actif ou pas. Le repos n'est pas toujours efficace. Vous pouvez ressentir des points douloureux plus précis dans le bras qui vous pourront vous faire penser à une tendinite. Ils correspondent aux terminaisons nerveuses les plus irritées. Dans de rares cas, les patients signalent une névralgie cervicobrachiale bilatérale, mais certains ressentent une lourdeur et une faiblesse dans les deux membres supérieurs. Les douleurs sont souvent changeantes et migratrices (elles changent de zones), et vous n'arrivez pas à trouver de position pour vous en débarrasser. 2. Comment se manifeste une NCB Les manifestations cliniques de la maladie varient selon les cas. Dans 50 % des cas environ, l'arthrose cervicale, pourtant visible à la radiographie, ne provoque aucun signe gênant. Chez d'autres personnes, l’arthrose cervicale provoque des douleurs plus ou moins intenses au niveau du cou et de la nuque (cervicalgies) et prédominant d'un côté, irradiant vers l'omoplate et la zone occipitale. cou rigide : la personne atteinte ressent une raideur lorsqu’elle exécute des mouvements, notamment pour répondre à une question d’un signe de tête. Torticolis : le cou se trouve bloqué en flexion et en rotation, Névralgie cervico-brachiale : c'est une douleur unilatérale, irradiant par exemple vers l'omoplate, le sein, le crâne ou le bras, et calmée par certaines postures et augmentant dans d'autres postures. Les mouvements du cou se trouvent limités par la douleur. Cette douleur est due à la compression d'un nerf. Cette douleur est aggravée par la toux et plus importante la nuit. Céphalées (maux de tête) Compression médullaire ou myélopathie : il existe une pression sur la moelle épinière due à un rétrécissement du canal rachidien dus aux lésions d'arthrose. Cela déclenche des signes divers : des fourmillements dans les bras, des sensations d'engourdissements, des déficit aux mouvements (comme une difficulté à prendre un objet dans les mains, à marcher) ; troubles de type incontinence urinaire ou anale lorsque la compression est importante. Insuffisance vertébro basilaire : elle se produit quand une artère se trouve comprimée par le processus d'arthrose. Elle peut entraîner des vertiges, des troubles de l'équilibre, des troubles de l'audition ou de la vision, des difficultés d'élocution, en fonction de la zone atteinte par la compression. 3. Quelle sont les causes d’une NCB : La névralgie cervico-brachiale est due à une compression ou à une irritation d'une racine nerveuse au niveau des vertèbres cervicales. L'arthrose et la hernie cervicales, étroitement liées, sont les causes majeures de ce type de névralgies. La hernie discale, correspond à une saillie anormale du disque intervertébral localisé entre chaque vertèbre, de la même manière que celle rencontrée au cours d'une sciatique. Parmi les autres causes, citons la survenue de traumatismes liés à une pratique sportive intense, un cancer, un hématome, un mécanisme inflammatoire, une infection virale, un déséquilibre hormonal, un diabète mal équilibré ou une intoxication... PRESENTATION DES BILANS : Bilan masso-kinésithérapique : Interrogatoire : L’interrogatoire est un temps essentiel de l’examen kinésithérapique, mais son orientation dépend étroitement du contexte. Il sera donc détaillé à chaque fois en dépend de l’évolution. Ce dernier a révélé : Une arthrose du cou • des douleurs mécaniques persistent Importance fonctionnel très importante Entretien avec le patient (Afin d’avoir une connaissance parfaite du malade) - Mode de vie du patient : Accessibilité de l’habitat : - Plainte du patient : • Gène professionnelle, • fatigue, • douleur. Bilan morphologique Cet examen est constitué d’un ensemble d’étapes visant à établir un diagnostic précis. Parmi ces étapes, on trouve : -L’inspection : Observation du patient. Rien à signalé -La palpation : permet à travers le toucher d’évaluer les anomalies non perçues par l’inspection. Cette étape complète l’inspection. Douleur chronique au niveau du cou Bilan articulaire : Réalisé par des mesures centimétriques : Droit Non Non Oui Oui Non Non Oui Oui Bilan du cou : Mouvement Main-nuque -toucher oreille-opposé -toucher la nuque -toucher l’oreille du m coté Main-poche Main-dos -soutien-gorge -pointe de l’omoplate -ceinture Circumduction gauche Oui Oui Oui oui Oui Oui Oui Oui -Flexion : 6 cm -extension : 13 cm -inclinaison à droite : 13 cm -inclinaison à gauche : 13 cm -rotation à droite : 7 cm -rotation à gauche : 7 cm Bilan musculaire : Flexion (m.epineux) : cotation 3 Extension (sterno-clouido-mastoïdien) : cotation 4 Inclinaison lateral (droit ):cotation 3 Rotation droite: cotation 4 Rotation gauche:cotation 4 Inclinaison lateral(gauche): cotation 4 I. PRESENTATION DU PROTOCOLE REEDUCATIF Les objectifes: Dimunier la douleure Renforcement musculaire Traitement: L’immobilisation: Quelque soit le moyen (minerve ou collier), l’immobilisation doit être brève en (2 à 3 jours) et uniquement en cas de douleur aigue. Le massage antalgique : Il trouve une grande ampleur dans le traitement de la cervicalgie, il, sera partie intégrante et dispensable de la kinésithérapie en préparant ou en complétant la rééducation. Pour cela, il faudrait y recourir à chaque séance, vu son effet soulageant et relaxant pour la douleur cervical. L’électrothérapie : Elle consiste en l’emploi de courant électrique comme moyens thérapeutiques. Elle est appliquée sur les points douloureux. En cas de cervicalgie , on aura plutôt recours à un courant de basse fréquence qui est utilisé en kinésithérapie pour agir contre la douleur ou pour stimuler u ou plusieurs muscles. Les étirements : Ils sont utilisés pour récupérer et préserver un fonctionnement normal du système musculo-tendineux et de la mobilité articulaire. Les étirements peuvent etre utilisés pour traiter les situations musculaires particulièrement douloureuses, pour corriger le déséquilibre musculaire et les perturbations de la coordination neuromusculaire. On les utilise également pour entretenir deux caractéristiques importantes des tissus : la capacité d’allongement et de résistance. La propriocéptivité : Cette technique vise à corticaliser les mouvements corrects de la colonne cervicale dans différentes positions devant un miroir quadrillé. II. CONSEILS D’HYGIENE Régler le plan de travail en hauteur et la luminosité afin de garder le dos droit. Lorsque l’on regarde la télévision, ou devant un ordinateur, l’écran doit être dans le champ visuel, le regard proche de l’horizontale. Lors du sommeil, l’oreiller doit être confortable, adapté en forme (ni trop gros, ni trop plat) et en qualité (ni trop dur, ni trop mou) et avec une épaisseur qui doit être égale à la distance entre l’épaule er l’oreiller afin d’assurer la neutralisation, de la position du cou. Apprendre à mieux respirer : une respiration mal synchronisée, réalisée par la partie haute du thorax entraine un surmenage des muscles cervicaux. Le patient, en position de D.D doit apprendre à maitriser la respiration abdomino-diaphragmatique et faire des exercices de synchronisation respiratoire (inspiration/expiration) Le traitement kinésithérapique antalgique ne peux donner de bons résultats que s’il ya une bonne coordination entre le kiné , le patient et le plant de rééducation, puisque la relation soignantsoigné est un élément clé de la guérison. Fracture tibia droit PRESENTATION DU DOSSIER SOCIO-ADMINISTRATIF : Il s’agie du patient Ayane Rachid âgé de 63 ans, qui habite à Meknès marié, père de deux enfants et qui travail commerciale. - Le patient présente une fracture de ¼ de tibia droit. Le patient n’a jamais souffert d’antécédents pathologiques. Le patient a fait un accident à 20h00 a coté de CTM route Fès. 3 mois botte plâtré. Le médecin chirurgien Dr Galéze a prescris des séances de kinésithérapie à fin de récupéré la fonction du pied. A. PRESENTATION ANATOMOPATHOLOGIQUE : 1/ Qu'est-ce qu'une fracture de la jambe (tibia) : La jambe est la partie du membre inférieur située entre le genou et la cheville. Elle comporte 2 os : le tibia et le péroné appelé également fibula. Une fracture de la jambe est la cassure soit du tibia, soit de la fibula (ou péroné), soit des deux. Ces deux os se cassent souvent en même temps, car ils sont reliés entre eux par une membrane et par des insertions musculaires (zones de fixation des muscles sur les os). Ce type de fracture peut se produire à deux endroits de l’os : sur le corps de l’os appelé diaphyse (partie fine et allongée) ; sur la métaphyse qui est la zone de jonction entre le corps et la tête de l’os (la tête de l’os appelée épiphyse correspond à l’extrémité arrondie de l'os). Ces fractures ne concernent jamais la tête de l’os et ne touchent pas les articulations. Les fractures de jambe sont des fractures extraarticulaires. 2/ Comment se manifeste une fracture de tibia : La fracture se manifeste par : un craquement douloureux dans la jambe. La personne blessée ne peut plus prendre appui sur le membre atteint ; éventuellement un raccourcissement de la jambe avec le pied tourné en dehors ; parfois un état de choc (pâleur, sensation de malaise, accélération des battements du cœur). Sur le lieu d’un accident, si une personne ayant subi un traumatisme présente ces symptômes, il ne faut pas la bouger. Contactez immédiatement les services médicaux d'urgence. Une fois les secours arrivés, la jambe du patient est immobilisée grâce à une attelle. Puis, le blessé est transporté au service des urgences de l’hôpital le plus proche. 3. Quelle sont les causes de fracture de tibia : Les fractures tibia-péroné surviennent essentiellement à l'occasion d'une violente torsion telle qu'elles peuvent survenir lors d'une chute de ski. Elles peuvent aussi être dues à une compression ou à un choc direct particulièrement violent, dans un accident de voiture ou dans un atterrissage violent en parachute par exemple. PRESENTATION DES BILANS : Bilan masso-kinésithérapique : Interrogatoire : L’interrogatoire est un temps essentiel de l’examen kinésithérapique, mais son orientation dépend étroitement du contexte. Il sera donc détaillé à chaque fois en dépend de l’évolution. Ce dernier a révélé : fracture du ¼ de tibia douleur au niveau de tibia droit Bilan morphologique Cet examen est constitué d’un ensemble d’étapes visant à établir un diagnostic précis. Parmi ces étapes, on trouve : -L’inspection : Observation du patient. Rien à signalé. -La palpation : permet à travers le toucher d’évaluer les anomalies non perçues par l’inspection. Cette étape complète l’inspection. Douleur chronique au niveau du tibia et œdème. Bilan fonctionnel : possibilité de la marche avec une cane. Station debout : stable. Monter et descendre les escaliers son difficulté Bilan articulaire : Réalisé par des mesures centimétriques : Droit 51 cm 46 cm 30 cm 25 cm Mesure en langueur cm Cuisse : EIA>- tube du condyle externe Jambe : Tuber. Condyle externe- point de malléole externe Cuisse : 30 cm Au dessus de la rotule Jambe : gauche 51 cm 46 cm 25 cm Au dessus de la rotule mouvement Act. (Drt) flexion 130° extension 0° Rotation ext 35° Rotation int 25° Flexion dorsal Flexion palmaire Abduction Adduction Bilant musculaire : mouvement flexion extension P. (Drt) 110° 0° 30 20 Amplitude 140° 0° 40° 30° 80° A. (G) 135° 0° 38° 27° P. (G) 130° 0° 35° 25° 130° 40° 10° M. droit Cot : 3 Cot : 3 M. gauche Cot : 4 Cot : 4 I. PRESENTATION DU PROTOCOLE REEDUCATIF Les objectifies: