Je tiens à remercier ici tous ceux qui de près ou de loin ont
contribué à faire de ce travail ce qu’il est.
En préambule, je remercie tous ceux qui ont cru en moi et qui m’ont
fait découvrir le virus de la recherche et en particulier le monde
merveilleux de l’immunologie : Christian Bonnerot, Luc Teyton, Alain
Trautmann. Même si ça peut paraître un peu bizarre j’ai toujours eu le
sentiment d’avoir beaucoup de chance de vivre dans un pays tel que la
France et je tiens à souligner ici que les opportunités qui m’ont été
offertes par mon pays ont joué un rôle crucial dans mon parcours.
Tout d’abord, je voudrais remercier Alain Israël, Alain Trautmann et
Eric Westhof qui ont accepté de juger cette thèse pour les remarques
intéressantes et constructives qu’ils ont formulées à cette occasion.
Je tiens à remercier Jules Hoffmann pour sa forte implication tout au
long de ce travail. J’ai beaucoup apprécié votre disponibilité dans les
moments difficiles, et les nombreuses discussions de tous ordres que nous
avons pu avoir.
Lena, je te remercie pour la liberté puis la confiance que tu m’as
laissées dans l’organisation du travail. Je sais que travailler avec moi n’a
pas été de tout repos, mais je suis heureuse qu’au bout de quelques
années nous ayons réussi le défi ! Merci pour toutes les fois où tu as
donné de ton temps pour m’aider concrètement quand ça coinçait, pour
les réponses à mes innombrables questions, et pour ta forte implication
scientifique dans mon travail. Merci aussi d’avoir respecté ma vie un peu
speed et mon caractère de révoltée. Merci enfin pour toutes les
opportunités de voyager et d’apprendre que tu donnes à tous, et pour
l’atmosphère internationale et conviviale que tu as su créer au laboratoire.
J’ai beaucoup apprécié de pouvoir interagir avec de nombreux
membres du laboratoire au cours de ce travail. Je remercie en particulier
Jean Luc Imler pour les discussions autour du projet MyD88 et pour
l’attention particulière qu’il m’a toujours portée. Je remercie aussi
Dominique Ferrandon, source intarissable de connaissances qui m’a
souvent épargné beaucoup de travail inutile. Merci aussi à Charles Hetru,
Julien Royet et Jean Marc Reichhart pour les discussions que nous avons
eues sur le boulot et le reste.
Cette histoire a commencé avec la création d’un laboratoire, de
zéro, ce qui n’était pas de tout repos. Je remercie du fond du cœur Nicolas
Baldeck avec qui cette histoire a commencé. Tu as beaucoup compté pour
moi dans les moments difficiles qu’on a eus. Je te souhaite bonne chance
pour la suite. Je pense aussi à David Rabel qui a passé du temps à
résoudre les divers problèmes techniques.