LES BESOINS DES FAMILLES FACE A LA PRISE DE RACHEL AMBIAUX

LES BESOINS DES FAMILLES FACE A LA PRISE DE
DECISION DU DON D’ORGANES
RACHEL AMBIAUX
Étudiante Bachelor – Filière Soins infirmiers
ALBERTINE TRON
Étudiante Bachelor – Filière Soins infirmiers
Directrice de travail :
ANNE GERBER
TRAVAIL DE BACHELOR DÉPOSÉ ET SOUTENU A LAUSANNE EN 2015 EN VUE DE
L’OBTENTION D’UN BACHELOR OF SCIENCE HES-SO EN SOINS INFIRMIERS
Haute Ecole de Santé Vaud
Filière Soins infirmiers
RESUME
Contexte : La famille d’un patient en mort cérébrale aux soins intensifs confrontée à la prise de
décision d’un don d’organes de leur proche.
Objectifs : Identifier les besoins des familles lors de la prise de décision du don d’organes.
Méthode : Un travail de recherche basé sur une sélection de sept articles de recherches
scientifiques, parus entre 2005 et 2014, issus des bases de données CINHAIL et PubMED.
Deux articles ont des devis quantitatifs et cinq qualitatifs. Quatre articles sont européens, deux
proviennent des Etats-Unis et le dernier est iranien. La population à l’étude concerne les
familles de patients hospitalisés dans des unités des soins intensifs adultes.
Résultats : La compréhension de la mort cérébrale aide les familles confrontées à la demande
du don d’organes. La présence d’une volonté claire du patient facilite les familles face à la prise
de décision. La qualité de la prise en charge et le type d’approche du soignant sont des éléments
qui influencent les proches. L’utilisation de directives cliniques ainsi que la collaboration avec
des professionnels spécialisés sont des facteurs facilitateurs.
Discussion : Le consentement des proches au don d’organes dépend de plusieurs variables. La
discussion en fonction de la théorie du comportement planifié de Ajzen et d’autres études
scientifiques permet d’identifier les facteurs facilitants la prise de décision relative au don
d’organes. Les limites ainsi que les recommandations pratiques sont présentées.
Mots-clés : Famille, Communication, Infirmière, Prise de décision, Don d’organes, Mort
cérébrale et Soins intensifs.
AVERTISSEMENT
Les prises de position, la rédaction et les conclusions de ce travail n’engagent que la
responsabilité de ses auteurs et en aucun cas celle de la Haute Ecole de Santé Vaud, du Jury ou
du Directeur du Travail de Bachelor.
Nous attestons avoir réalisé seules le présent travail, sans avoir utilisé d’autres sources que
celles indiquées dans la liste de références bibliographiques.
Le 8 juillet 2015, Rachel Ambiaux et Albertine Tron
REMERCIEMENTS
Tout d’abord, nous tenons à remercier notre directrice de Bachelor, Madame Anne Gerber, qui
nous a guidé et soutenu tout au long de l’élaboration de ce travail.
Par ailleurs, nous voulons également remercier Madame Ligne Gagné, qui nous a aidé à trouver
un cadre théorique adapté et pertinent pour la mise en perspective de nos résultats. Un grand
merci aux bibliothécaires de HESAV pour leur aide.
Nous soulignons et remercions la disponibilité de Madame Delphine Carré, coordinatrice de
transplantation du CHUV, qui nous a fait part de son savoir. Nous tenons particulièrement à la
remercier pour son temps mis à disposition et pour être l’experte de ce travail.
Merci à Aude Pache, infirmière des soins intensifs du CHUV, pour avoir consenti à partager
son expérience et ses connaissances avec l’une d’entre nous, durant la prise en charge d’un
potentiel donneur et de sa famille.
Finalement, nous tenons à remercier Catherine Rabell et Luc Pagard pour leur soutien précieux,
sans qui notre travail n’aurait pas vu le jour.
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