PROBABILITÉS 3
(b) à l’heure près, alors, = N.
(9) On considère une cible plane composée d’un disque intérieur
sur lequel est écrit 100 DH, superposé d’une couronne sur
laquelle est écrit 50 DH, laquelle est superposée d’une autre
couronne sur laquelle est écrit 20 DH:
(a) Si on considère le gain du joueur, alors = f0;20;50;100g;
0DH si je rate la cible.
(b) Si je m’interesse au point d’impact, …ctif ou réel, de la
‡èche avec la cible, alors = R2
(c) Si je m’interesse à la distance du point d’impact, …ctif ou
réel, au centre de la cible, alors = R+:
Donc, de façon général, il n’y a aucune règle précise à priori pour
choisir l’univers :Ce sont les conditions de l’expérience et ce que veut
l’expérimentateur qui imposent le choix de l’univers :
2.1. Tribus de parties de :·
Evénements.
Définition 2.5.On appelle -algèbre ou tribu de parties de
toute famille non vide @ P () telle que:
(1) Pour tout A2@,Ac:= CA
2@(@est complémenté).
(2) Pour toute famille fAngn2N(dénombrable) d’éléments de @:
S
n2N
An2@(@est stable par réunion dénombrable).
Définition 2.6.(1) Par anticipation, un événement (évé) est
un élément de P() dont on peut dé…nir la probabilité.
(2) Les singletons de sont appelés évé élémentaires.
3. Probabilités
La théorie des probabilités s’interêsse à l’étude de l’aspect aléatoire
des phénomènes aléatoires.
Définition 3.1.On appelle probabilité sur l’espace probabilisable
(;@) toute application P: @ ! [0;1] telle que:
(1) P() = 1.
(2) PS
i2N
Ai=P
i2N
P(Ai)pour tout système d’évé. fAigi2N
incompatibles (disjoints deux à deux) d’évé de @.
Proposition 3.2.Soient (;@; P )un espace probabilisable; A; B;
(Ai)i2Ndes éléments de @. Alors,
(1) P(Ac)=1P(A):
(2) P(;) = 0: