chimiothérapiques comprenant des taxanes et des composés à base de platine ont induit la
libération d’antigènes spécifiques à la tumeur par des cell
ules tumorales qui étaient en train
de mourir, ce qui a activé les lymphocytes
T. Il est important de noter que, tel que suggéré
dans des modèles tumoraux précliniques, certains agents chimiothérapiques pourraient aussi
améliorer l’activité anti
Comme il a été montré que l’ordre d’administration de la chimiothérapie et de
l’immunothérapie influe sur le résultat, deux protocoles alternatifs d’administration ont été
utilisés au cours de l’étude randomisée de phase
remier avec début simultané du
traitement par l’ipilimumab (10
mg/kg toutes les trois semaines, 4
d’entretien toutes les 12
semaines jusqu’à progression de la maladie) et du premier cycle de
traitement par le paclitaxel et le carbopl
atine et le deuxième avec deux cycles de traitement
par le paclitaxel et le carboplatine avant le début de l’administration de l’ipilimumab
»). Chez les patients atteints de NSCLC, l’ipilimumab a permis
d’améliorer la survie sans pr
ogression (PFS) selon des critères de réponse liés au système
immunitaire (irRC) (irPFS), ainsi que la PFS médiane selon les critères de l’Organisation
mondiale de la Santé (OMS) et a tendu à améliorer la survie globale (OS) des patients traités
tocole progressif à base d’ipilimumab (HR
72; p=0,05), mais pas des patients
qui ont bénéficié du protocole avec administration simultanée d’ipilimumab.
té inclus dans l’étude de phase
II randomisée visant à comparer
l’administration simultanée et
progressive de l’association ipilimumab plus paclitaxel et
carboplatine au sein de la cohorte de patients atteints de SCLC étendu. Les résultats
suggèrent que l’administration progressive de l’association ipilimumab plus chim
a permis d’améliorer le résultat lors du traitement de première ligne des patients atteints de
SCLC étendu, avec une amél
ioration de l’irPFS (6,4 vs 5,3
mois, p=0,03), un taux de
meilleure réponse globale numériquement supérieur selon les irRC (
tendance à l’amélioration de l’OS (12,9 vs 9,9
L’ipilimumab n’a pas semblé exacerb
les toxicités observées avec la chimiothérapie seule,
et les effets indésirables ont généralement pu être pris en charge en appliquant le
thérapeutiques définies dans le protocole.
Les résultats de cette étude ont été considérés comme plaidant en faveur d’une nouvelle
évaluation du protocole progressif à base d’ipilimumab dans le cadre d’une étude de
chez des patients atteints d’un SCLC de stade
préalablement traité. Le présent protocole propose d’évaluer un protocole de traitement par
l’ipilimumab similaire chez des patients atteints de SCLC de stade limité dans le cadre
L’ipilimumab sera administrée de manière séquentielle à titre de traitement de consolidation
après un protocole standard comprenant une chimio
radiothérapie et une irradiation
rânienne prophylactique (ICP).
Il est important de noter que, lors de
était la première étude visant à évaluer l’emploi de l’ipilimumab en monothérapie chez des
sujets atteints de mélanome avancé de stade
IV et de métastases cérébrales actives, le profil
d’innocuité constaté chez un sous
atients qui avaient préalablement subi une
radiothérapie pour des métastases au niveau du système nerveux central (SNC) n’était pas
différent de celui relevé
l’ensemble de la population de l’étude, qui comprenait