Expérience d’une prise en charge de quinze cas de stress aigu post-traumatique au centre psychothérapique de Gireugne (Indre) T. Humbert* Depuis le redécoupage des secteurs de l’Indre, opéré en mars 1999, le CPG gère en direct deux secteurs de psychiatrie générale d’environ 70 000 habitants chacun : le secteur de Châteauroux et Vatan d’une part, le secteur du Blanc et de ses environs, d’autre part ; en outre, en coopération avec le centre hospitalier de la Châtre (via la création du syndicat interhospitalier de psychiatrie de l’Indre, depuis décembre 2000), il s’occupe du troisième secteur de psychiatrie générale du département, de 70 000 habitants également. Au cours de ces dernières années, nous avons assisté à de nombreux événements qui ont nécessité la prévention d’un syndrome de stress posttraumatique (SPT), dont les symptômes exprimés par les patients sont de trois ordres : – les troubles anxieux ; – l’inhibition (et affects dépressifs associés) ; – les troubles du sommeil. Il peut s’agir de catastrophes naturelles, mais aussi de catastrophes liées au terrorisme ou aux prises d’otages. Dans les agglomérations de moyennes dimensions, comme Châteauroux, il s’agit souvent d’accidents de la route, ou de drames et d’accidents intrafamiliaux. Avant la création pour le département de la CUMP (Cellule d’urgence médicopsychologique), il y a 3 ans, l’on avait recours au psychiatre de garde, ponctuellement. * UGECAM du Centre, Centre psychothérapique de Gireugne, Châteauroux. Cela se produit encore lors de l’absence du psychiatre référent de cette structure, bien qu’elle comprenne également plusieurs psychologues et infirmiers formés à ce genre de situations. Dans le DSM IV, c’est le critère de durée qui différencie l’état de SPT (F-309.81), dont le critère E spécifie que la perturbation dure plus d’un mois, de l’état de stress aigu (F-308.3), qui peut avoir le tableau clinique d’un état de SPT, mais pour lequel la perturbation dure un minimum de 2 jours et un maximum de 4 semaines après l’événement traumatique. De par notre intervention précoce, nous ne décrivons stricto sensu que des états de stress aigu, tout en sachant que cette intervention précoce est précisément préventive d’un SPT. Nous analyserons par ordre chronologique nos trois interventions à la CUMP, qui représentent la prise en charge de quinze patients, puis, dans la discussion, nous confronterons nos données à celles de la littérature, concernant les années antérieures à la création effective de la CUMP. Les patients ◗ Un jeune adolescent de 13 ans, accusé d’agression sexuelle sur sa nièce, s’était défenestré et en était mort. D’évidence, ce jeune garçon, dont les parents étaient séparés et qui vivait chez sa mère avec son frère, présentait des difficultés scolaires et un état dépressif non traité. J’eus à soutenir et à faire verbaliser le frère, la mère, le père et la tante, qui se sentaient culpabilisés. L e Centre psychothérapique de Gireugne (CPG) est un hôpital psychiatrique privé, participant au service public hospitalier (PSPH) en santé mentale depuis 1972. Implanté sur le territoire de la commune de Saint-Maur, à cinq kilomètres du centre de Châteauroux, il a été créé en 1967. Depuis le 1er janvier 2000, sa gestion est de la compétence de l’Union pour la gestion des établissements des caisses d’assurance maladie de la région Centre (UGECAM), située à Orléans, dont les statuts ont été approuvés par arrêté du ministère de l’Emploi et de la Solidarité en date du 24 mars 1999. Cependant, aucun traitement – par refus de leur part – ne fut prescrit ; je leur laissais les coordonnées du CMP, ainsi que les miennes. Je revis la tante quelques jours plus tard, qui m’apprit que la mère envisageait de déménager. À noter qu’aucun des protagonistes n’avait assisté à la défenestration. ◗ En mars 2002, lors d’une garde de week-end, je reçus en consultation deux jours d’affilée une famille composée de la mère, du père et d’un jeune garçon d’une douzaine d’années, P., dont le cousin, âgé de 6 ans, était décédé la veille à la suite d’un accident de tracteur que conduisait P. Celui-ci avait fait une marche arrière alors que son cousin s’était précipité avec son vélo sur le tracteur, ce qui, en soi, avait pu provoquer la mort par traumatisme crânien. Le corps de la victime avait été vu par P. ainsi que son père. Si la mère réagissait sans trouble évoquant un état de stress aigu, son fils et son mari présentaient des troubles anxieux majeurs avec insomnie totale et reviviscence de l’événement, assortis pour P. d’un fort sentiment de culpabilité et d’une anorexie. P., bien inséré sur le plan scolaire, présentait néanmoins quelques difficultés 104 Les mots et les hommes Les mots et les hommes en orthographe et bénéficiait d’un soutien orthophonique. De plus, il m’était décrit comme un garçon plutôt inhibé et anxieux. Il reçut donc 10 mg de thioridazine et commença un traitement antidépresseur avec 10 mg par jour de clomipramine. Le père, également choqué et se décrivant lui-même comme introverti, reçut 100 mg par jour d’oxazépam, un comprimé de zopiclone au coucher et 20 mg par jour de paroxétine ; exploitant agricole, il n’eut pas besoin que je lui fasse un arrêt de travail, mais je lui conseillais de faire une pause dans ses activités. Le lendemain, les symptômes “physiques” de l’état de stress aigu avaient bien rétrocédé, notamment au niveau du sommeil, de l’anorexie et ce, pour le père et son fils. Celui-ci put se projeter dans l’avenir – qui était de reprendre l’exploitation agricole de son père – et, après l’entretien, il se sentait moins culpabilisé. Originaire du secteur de la Châtre, je leur conseillais de prendre contact dès le lundi avec le psychiatre du CMP le plus proche de leur domicile à qui je laissai le dossier. ◗ En avril 2002, un accident du travail se produit dans une usine de confection des environ de Châteauroux. Une jeune employée de 27 ans perd le contrôle de son chariot élévateur, qui l’écrase, et celle-ci meurt sur le coup. L’accident se produit un vendredi et, peu à peu, des collègues de travail l’apprennent. Ils essaient de reprendre le travail le lundi matin, mais beaucoup présentent une phobie vis-à-vis de la reprise et les symptômes d’un état de stress aigu. Certains d’entre eux, qui étaient plus proches de la victime, sont sous le choc, et contactent le SAMU dès le lundi. Nous rencontrons plusieurs patients souffrant d’un état de stress aigu. ❙ Mme A.S., 30 ans, mariée et mère de deux enfants n’a pas assisté à l’accident mais se sentait très proche de la victime. Elle arrive dans le service en état de trémulations pithiatiques de tout le corps, notamment des quatre membres. Elle est mutique, très angoissée, en sueur. Elle a reçu aux urgences 0,50 mg d’alprazobam associé à une injection intramusculaire de 50 mg de clorazépate dipotassique. Cependant elle mettra une dizaine de minutes avant de pouvoir s’exprimer : “C’était une bonne vivante, nous nous aimions bien” répète-t-elle à propos de la victime. Elle parvient à raconter les circonstances dans lesquelles elle a appris, le samedi, le décès de sa collègue. Elle exprime des sentiments de rancœur vis-à-vis de l’entreprise qui ne pense selon elle qu’à la productivité et dit que c’est trop injuste de mourir ainsi pour son travail. Il faut la solliciter pour qu’elle réponde. Elle craint de ne plus pouvoir travailler, que ce qui s’est passé le matin même ne se reproduise, c’est-à-dire d’avoir une phobie de la réembauche. Peu à peu, le syndrome spasmophilique s’est amendé, mais elle reste sous le choc. Nous lui proposons donc une brève hospitalisation, qu’elle accepte, et durant laquelle elle reçoit une perfusion de 50 mg de clorazépate dipotassique et 10 mg de cyamémazine au coucher. Elle sort 48 heures plus tard, mais revient se faire hospitaliser après avoir assisté aux obsèques de son amie, le mercredi suivant ; elle est admise dans le même tableau symptomatologique que lors de la première hospitalisation. Nous décidons donc l’adjonction d’un antidépresseur sérotoninergique, soit 20 mg par jour de citalopram. Un arrêt de travail pour quinze jours est prescrit, après entente avec le médecin conseil, sur un formulaire d’accident du travail. Les autres personnes en souffrance sont d’abord reçues par des infirmiers et un psychologue en thérapie de groupe de parole, puis la psychologue m’adresse certains de ces patients. ❙ M. F.A., 35 ans, syndicaliste et membre du Comité d’hygiène et de sécurité de l’entreprise, ne veut pas s’arrêter de travailler pour pouvoir continuer à défendre ses collègues. Il était présent au moment des faits, a vu le corps de la victime et a même aidé les pompiers à nettoyer les lieux du Act. Méd. Int. - Psychiatrie (20), n° 4, mai 2003 drame. Apparemment non anxieux, il dit ne presque plus dormir et craindre d’assister aux funérailles de la victime, car chaque enterrement lui rappelle celui de son père, décédé accidentellement à l’âge de 42 ans. Il reçoit donc une prescription de 50 à 100 mg d’oxazépam, et au coucher deux comprimés de zopiclone à diminuer rapidement à un seul comprimé. Revu une semaine plus tard, son état s’était nettement amélioré. ❙ Mme C.G., 32 ans, n’était qu’indirectement présente au moment des faits. Elle dit se réveiller à 2 h 00 du matin chaque nuit et s’autodéprécie : “je suis une esclave”, dit-elle. Elle reçoit un arrêt de travail de 15 jours et une prescription d’hypnotique (un comprimé de zopiclone au coucher). ❙ Mme R.J., 30 ans, était présente le jour de l’accident mais n’a pas assisté à la scène. Il s’agit néanmoins d’une proche de la victime. Elle présente une certaine fragilité prémorbide à type de trouble de l’adaptation avec humeur anxieuse (DSM IV : F-300.02) et a reçu par le passé 25 mg d’hydroxyzine. Son anxiété est très somatisée, faite de maux de tête (sensation de poids au niveau de la nuque), d’insomnie, d’endormissement, etc. Elle reçoit donc une prescription de zolmitriptan à la demande, bromazépam, et zopiclone au coucher. Revue une semaine plus tard, ses symptômes s’étaient amendés. ❙ M. S.S., 32 ans, a vu le corps de la victime et avait, en outre, des liens privilégiés avec elle au travail. Il présente une insomnie totale, le visage déformé de la victime lui revient. Il dit trembler “de partout” et présente une hypertension artérielle à 18/6. Il lui est donc conseillé de s’arrêter de travailler pendant un mois. Il reçoit une prescription de deux comprimés de zopiclone au coucher pendant 8 jours puis un par jour, 2 mg par jour d’alprazolam et un comprimé de paroxétine le matin. ❙ Mlle L.S., 25 ans, a vu la scène et les cheveux de la victime. Depuis, elle vomit, n’arrive plus à s’alimenter, voit partout le visage de la victime. Elle est 105 Les mots et les hommes Les mots et les hommes visiblement très éprouvée ; elle tremble et dort très mal. Il lui est donc conseillé de prendre six semaines d’arrêt de travail et elle reçoit : deux comprimés par jour d’oxazépam 50 mg, un hypnotique – nitrazépam – au coucher, un antidépresseur sédatif – 15 mg de mirtazapine pendant 3 jours puis 30 mg ensuite. En sus, un traitement symptomatique du syndrome anorexie-vomissement lui est prescrit : métopimazine jusqu’à 6 gélules par jour et rénutryl 500, une boite par jour pendant 15 jours. À noter qu’elle aussi fait des reproches aux dirigeants de son usine qui “n’ont même pas fait une minute de silence pour la victime alors que cet hommage avait été rendu aux victimes américaines du 11 septembre 2001”. ❙ Mme D.S., 28 ans, n’était pas présente sur les lieux du drame mais se décrit comme proche de la victime, elle travaille avec son époux dans l’usine. Elle se présente comme très anxieuse, revit l’événement ou plutôt se l’imagine, elle décrit un sommeil non réparateur avec des cauchemars . “C’est comme un film”, “J’ai peur de retourner au boulot”, “J’ai très peur de la mort depuis l’enfance” répète-t-elle. Elle se décrit comme agressive vis-àvis de ses deux enfants de 4 ans et demi et de 18 mois. Elle reçoit trois comprimés de tianeptine par jour et un comprimé de zopiclone au coucher ; quinze jours d’arrêt de travail lui sont en outre donnés. ❙ Enfin, Mme L.J., 35 ans, également proche de la victime (elle avait le projet de fêter son anniversaire avec elle) dit avoir appris la nouvelle chez elle, le vendredi à minuit. Elle évoque son fils de 3 ans, traumatisé, sa conduite phobique (d’évitement) vis-à-vis du travail, le lundi matin – les troubles du sommeil sont au devant de la scène. Ses propos sont éloquents : “J’ai voulu mettre une rose”, “Je la vois partout, je ferme les yeux – j’ai eu de la chance de ne pas l’avoir vue morte”. Elle reçoit deux comprimés de zopiclone au coucher ; un arrêt de travail de quinze jours lui est remis. Analyse et discussion Dans le DSM IV, l’état de SPT (F-30981) repose sur quatre ordres de critères. Le premier (A) définit la population à risque : “le sujet a vécu, a été témoin ou a été confronté à un événement ou à des événements durant lesquels des individus ont pu mourir ou être gravement blessés...”. Le second (B) concerne la reviviscence réitérée de cet événement. Le troisième (C) concerne le comportement persistant d’évitement des stimuli associés au traumatisme et l’émoussement de la réactivité générale. Le quatrième critère (D) décrit les symptômes traduisant un état d’alerte permanent. Il est de plus spécifié, en E, que la perturbation dure plus d’un mois et entraîne une “souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou d’autres domaines importants” (F). Nous remarquons d’emblée que, du fait du paramètre temporel (symptômes installés depuis plus d’un mois), nous ne traitons pas un SPT stricto sensu, mais que nous sommes dans la prévention d’une telle entité morbide. Nous nous adressons plutôt à des cas décrits dans le DSM IV (F-308.3) comme des états de stress aigus pour lesquels le critère de temps (G) définit un minimum de 2 jours et un maximum de 4 semaines, l’état de stress aigu survenant dans les 4 semaines suivant l’état traumatique, alors qu’il peut être différé dans le SPT. D’emblée, il est important de considérer qu’un SPT peut survenir de façon différée, c’est-à-dire jusqu’à six mois au moins après le facteur de stress : cela permet de comprendre la nécessité d’établir immédiatement un groupe de parole autour d’infirmières et de psychologues formés à ce genre de pathologie car les futurs patients éventuels pourront faire ultérieurement appel à la CUMP, dont les coordonnées sont laissées aux personnes en souffrance dès le premier entretien. La réponse pharmacologique nous paraît en effet n’être qu’une partie de la thérapie, qui vient s’adjoindre au debriefing instauré en priorité. Ainsi, il est significatif de constater que dans le premier exemple relaté ici, celui du suicide de l’adolescent, le protocole médicopsychologique de la CUMP n’ayant pas été mis en place, et le médecin s’étant déplacé au domicile même des quatre personnes en souffrance, celles-ci ne se sont plus manifestées. A contrario, lorsque les personnes se déplacent (second exemple), elles sont enclines à refaire appel au thérapeute ; ce comportement de demande d’aide est flagrant lorsque la cellule médicopsychologique d’urgence est déployée dans son intégralité, ce qui s’est passé dans le troisième exemple, où les personnes de l’usine atteintes d’un état de stress aigu ont été entendues en groupe de parole par des infirmières et un psychologue et où certaines d’entre elles (huit) ont consulté, sur proposition du psychologue, un psychiatre. Dans cette configuration de prise en charge, les personnes en souffrance ont fait appel à plusieurs reprises à la CUMP, et au psychiatre notamment. Les structures et mécanismes neurophysiologiques impliqués dans la constitution des états de SPT sont importants à connaître pour mieux guider la thérapeutique, notamment psychopharmacologique et pour mieux comprendre la symptomatologie. Les systèmes noradrénergiques et hypophysothalamo- et hypophysosurrénaliens sont décrits comme dysfonctionnels par la plupart des auteurs. Cependant, il faut distinguer les réactions neurobiologiques réactives au stress aigu de celles constatées lors d’un SPT avéré. Selon Hantouche et al., l’influence des mécanismes de défense et des comportements de coping sur le métabolisme du cortisol est assez vraisemblable. Lors d’un stress aigu, l’augmentation du cortisol via l’augmentation de la sécrétion du CRF est en partie médiée par les voies noradrénergique et sérotoninergique. On sait 106 Les mots et les hommes Les mots et les hommes que l’action des benzodiazépines sur l’axe corticotrope consiste en une inhibition de la sécrétion de CRF, d’où l’effet anti-stress et anti-conflit des benzodiazépines. A contrario, dans le SPT avéré, on constate un état d’inhibition de l’axe hypophyso-surrénalien (diminution de l’élimination urinaire du cortisol, émoussement de la réponse de l’ACTH au CRF, moyenne plus faible de cortisolémie mesurée à plusieurs périodes du nycthémère, augmentation du taux plasmatique des récepteurs aux glucocorticoïdes, hyperfreination du cortisol en réponse à la dexaméthasone supposant un renforcement du feed-back négatif de la régulation du cortisol, cela étant secondaire à l’augmentation initiale du taux plasmatique de cortisol). D’après Yehuda et al., il y aurait une prédisposition biologique au SPT en ce sens que, lors d’un stress aigu, certains sujets ayant subi un stress précoce au stade néonatal présenteraient, lors d’un stress ultérieur (état de stress aigu), un taux de cortisol bas et développeraient un SPT tandis que d’autres sujets, présentant une augmentation du cortisol lors d’un stress aigu, développeraient plus tard un syndrome dépressif. Pour Hantouche et al., les taux de cortisol chez des combattants présentant un SPT seraient à relier à leur personnalité paranoïaque dans plus d’un tiers des cas. Quoi qu’il en soit, il existerait, pour la majorité des auteurs, une prédisposition neurobiologique individuelle à développer un SPT qu’elle soit fondée sur un stress précoce néonatal et/ou sur une personnalité paranoïaque, débouchant pour les stress ultérieurs sur une hyperactivité du système noradrénergique (baisse des récepteurs α2 NA) associée à une hypoactivité de l’axe hypophyso-surrénalien, qui semblent caractériser le SPT. Il est intéressant de constater que nombre de patients ayant consulté à la suite de l’accident de l’usine expriment une rancœur vis-à-vis de leur entreprise. Si ce facteur ne reflète pas à lui seul un trouble de personnalité paranoïaque, il pourrait être prédictif de la pérennisation des troubles. Pfizer lance son site Internet en France : www.pfizer.fr Recherche et développement Les informations contenues dans cette rubrique portent sur la naissance d’un médicament, sur ses implantations en France et sur ses domaines de recherche. Domaines thérapeutiques Dans cette rubrique se trouve le détail des activités des domaines thérapeutiques dans lesquels Pfizer s’implique, à savoir la cardiologie, le système nerveux central, la rhumatologie, l’infectiologie et l’urologie. Votre santé Cette rubrique est celle qui intéressera le plus grand nombre car ses actualités santé et ses dossiers thématiques concernent les diverses pathologies contre lesquelles Pfizer lutte au quotidien, mais également parce qu’elle apporte une réponse aux questions le plus fréquemment posées. Les informations contenues dans ce site sont principalement destinées au grand public qui souhaite découvrir l’univers de Pfizer, premier groupe pharmaceutique mondial, mais également aux journalistes et aux professionnels de santé désireux d’obtenir toutes sortes d’informations sur les dossiers et les produits. Les différentes rubriques du site sont destinées à apporter une réponse aux questions que le public peut se poser : Qui sommes-nous ? Cette rubrique présente Pfizer, en France et dans le monde, à travers son actualité,son histoire,ses engagements, ses médicaments et ses activités. Act. Méd. Int. - Psychiatrie (20), n° 4, mai 2003 Références ◗ Bacon E. Violence : du côté des victimes (le syndrome de stress post-traumatique). Act Med Int Psychiatrie 1999 ; 16 (9) : 281-4. ◗ Crocq L. PTSD ou névrose traumatique. Comparaison des tableaux cliniques et des critères. Psynergie 1999 ; hors série : 8-11. ◗ DSM IV. American Psychiatic Association (4th ed.). Washinton, 1994. ◗ Élias S, Louville P, Navarre C. Traitement médicamenteux de l’état de stress post-traumatique : revue de la littérature. Act Med Int Psychiatrie 2001 ; 18 (10) : 311-8. ◗ Fernandez- Zoîla A. La maladie - langage post-traumatique contribution à l’étude du syndrôme post-commotionnel crânien. Rev Med Toulouse 1981 ; XVII : 491-5. ◗ Hantouche E, Brochier T. Aspects neurobiologiques du trouble stress post-traumatique. Synapse 1994 ; 107 : 39-43. ◗ Humbert T. Effets neuroendocriniens des benzodiazépines. Ann Med Psychol 1999 ; 152 (3) : 161-71. ◗ Navarre C. Aspects actuels et perspectives dans le domaine de la psychotraumatologie. Act Med Int Psychiatrie hors série 2001 : 26-9. ◗ Yehuda et al. Low urinary cortisol excretion in patients with posttraumatic stress disorder. J Nerv Ment Dis 1990 ; 178 (6) : 366-9. La salle de presse Cet espace a été spécialement créé pour les journalistes, afin qu’ils puissent consulter en temps réel les communiqués et les dossiers de presse que Pfizer émet. Certaines images peuvent également être téléchargées afin d’illustrer tout type de documents. Professionnels santé Cette rubrique spécifique concerne des informations médicales sur les produits Pfizer, elle est exclusivement réservée aux professionnels de santé. Emplois et carrière La culture Pfizer et ses valeurs sont à découvrir dans cette rubrique, à travers le témoignage de collaborateurs. Il est également possible d’envoyer une candidature par E-mail. ● 107 Les mots et les hommes Les mots et les hommes