Immunité innée et immunité adaptive
Réponse immunitaire innée : fait appel à des mécanismes de défense ne nécessitant aucun
apprentissage et mettant en jeu des cellules spécialisées. Type de défense qui existe chez tous êtres
vivants pluricellulaires.
Types de cellules : macrophage – cellule dendritique – mastocyte – granulocyte – phagocyte
Réponse immunitaire adaptive : les mécanismes mis en jeu s’élaborent face à un intrus donné et font
intervenir des cellules spécialisées comme les lymphocytes B et T. La rencontre avec un intrus est
mise en mémoire (contrairement à l’immunité innée), une deuxième rencontre avec le mm élément est
bcp + efficacement traitée.
Types de vaccins
Les vaccins sont habituellement inoculés par injection, mais ils peuvent l'être par voie orale (ce qui a
permis de presque éliminer la rage de l'Europe des 12 par des appâts vaccinants contre la rage
distribués aux renards dans la nature) et des vaccins par spray nasal sont en cours d'essai (ex. :
vaccin antigrippal NasVax en Israël), voire déjà utilisés (vaccins contre la grippe saisonnière ou contre
la grippe pandémique aux États-Unis).
La matière vaccinale elle-même est classée selon sa nature en quatre catégories :
Vaccins issus d’agents infectieux inactivés
Au début, on utilisait principalement des vaccins inactivés, fabriqués à partir de germes (ou de leurs
fragments), détruits avec du formol ou de la chaleur pour leur faire perdre leur virulence, mais dont on
gardait l’enveloppe ou une toute petite partie pour qu’ils puissent faire réagir le système immunitaire.
Procédé qui concerne vaccins contre grippe, coqueluche, tétanos, … livre
Une fois les agents infectieux identifiés et isolés, on les multiplie en très grand nombre avant de les
détruire chimiquement ou par la chaleur. Cependant, ils conservent tout de même leur capacité à
provoquer une réaction immunitaire. De cette façon des vaccins sont produits par exemple contre la
grippe, la poliomyélite (injectable), le choléra, la peste ou l’hépatite A. Des informations récentes
laissent supposer que les agents pathogènes peuvent être électrocutés. Cette méthode, appliquée en
dehors des précédentes, permet d'élargir la gamme des moyens d'éradication des micro-organismes
infectieux, aussi bien pour les souches d'origine bactérienne que virale, etc.
Vaccins issus d’agents vivants atténués
Mis au point à partir de germes affaiblis naturellement u par mutation artificielle. Difficultés consiste
dans ce cas à supprimer le caractère pathogène des germes afin qu’ils soient incapables de
provoquer l’infection tout en restant suffisamment actifs pour déclencher l’immunité. Souches
obtenues ont servi pour le premier vaccin contre la polio, qui était buvable ; servent tjs pour la
rougeole, les oreillons, rubéole (ROR), la varicelle, … Vaccins efficaces mais cportent un
risque (rare) : l’agent infectieux muté redevienne agressif et entraîne la maladie ss une nvelle forme ->
vaccin par voie orale contre la polio, q. a été remplacé / un autre ds PI industrialisés ms q. reste utilisé
ds PI en développemt. livre
Les agents infectieux sont multipliés en laboratoire jusqu’à ce qu’ils perdent naturellement ou
artificiellement, par mutation, leur caractère pathogène. Les souches obtenues sont alors incapables
de développer entièrement la maladie qu’elles causaient auparavant, mais conservent cependant
leurs antigènes et leurs capacités à induire des réponses immunitaires. Ce genre de vaccin est
généralement plus efficace et son effet plus durable que celui qui est composé d’agents infectieux
inactivés. En revanche, comme il est constitué de micro-organismes dont la viabilité doit être