18ème Journée Toulousaine de Psychomotricité Autisme et Psychomotricité 21 mai 2016 Organisée par l'Institut de Formation en Psychomotricité de Toulouse l'Association Toulousaine des Etudiants en Psychomotricité 18ème Journée Toulousaine de Psychomotricité - 21 mai 2016 Autisme et psychomotricité : hypothèses et recherches autour d'un possible trouble de la cognition motrice Magali Rochat, PhD en Neurosciences, psychologue et chercheur dans le cadre de l'IRCCS, Institut des Sciences Neurologiques, hôpital Bellaria (Bologne, Italie), chargée de cours à l'Université de Bologne et de Bergame Les Neuroscience cognitives ont révélé l’existence d’un mécanisme neuronal, le Mécanisme des Neurones Miroirs (MNM), permettant la mise en correspondance de l’action perçue avec l’action exécutée. Il a été proposé que ce mécanisme puisse expliquer l’existence d’une compréhension directe de l’action et de l’intention, aussi bien chez l’être humain que chez les primates non-humains. Il pourrait alors être avancé que l’un des éléments fondamentaux de la cognition sociale, c’est-à-dire la capacité de prévoir et de comprendre les buts moteurs et les intentions des autres, ferait intrinsèquement partie de l’organisation de système moteur cortical. Cette capacité a été qualifiée de Cognition motrice. Une des conséquences de cette hypothèse est que la compréhension de l’action est intimement liée à l’expérience motrice que les individus acquièrent lors de leur développement. Une cognition motrice déficitaire causée par un développement neuronal pathologique pourrait alors être à la base de certains aspects problématiques de la cognition sociale chez les personnes atteintes d’autisme. 1 17ème Journée Toulousaine de Psychomotricité Contexte de création de l'UE, présentation du fonctionnement, points forts et améliorations à apporter Elise Grenier Miquel, Psychomotricienne Dans le cadre du troisième plan autisme, l’ouverture d’une unité d’enseignement maternelle (UEM) par département est prévue d’ici 2017. L’UEM de Tournefeuille, gérée par le Ceresa, a ouvert en septembre 2014. Après presque deux ans de fonctionnement, un premier bilan est possible : retour sur les forces d’un dispositif complètement intégré à l’école mais aussi sur les difficultés de la mise en place d’une structure innovante. L’unité d’enseignement, classe à part entière au sein de l’école ordinaire, est prévue pour accueillir 7 enfants, tous atteints de TSA, encadrés par une équipe médico-sociale pluridisciplinaire ainsi qu’une enseignante spécialisée. Dans ce contexte, l’accompagnement des enfants selon les méthodes recommandées par la HAS est optimal et le lien direct avec l’école permet un réajustement permanent des projets individualisés. Toutefois, des questions se posent encore après quelque temps de fonctionnement : comment investir et partager un espace souvent restreint pour une équipe entière fonctionnant ensemble 6 à 8h par jour ? quels rôles et quelles fonctions pour chaque professionnel au sein de l’équipe et auprès de l’enfant ? comment préparer au mieux les enfants à ce qui les attend après l’UEM ? 2 18ème Journée Toulousaine de Psychomotricité - 21 mai 2016 Intervention en psychomotricité auprès d’adolescents porteur d’un T.S.A avec une déficience intellectuelle moyenne à profonde : Objectifs psychomoteurs Pauline Faquet, Pauline Bertrand, Psychomotriciennes Nous intervenons au sein de l’association InPACTS ADOM, qui est spécialisée dans l’intervention auprès d’enfant, adolescent et adultes, ayant un diagnostic de Trouble du Spectre Autistique (TSA) ou Trouble Envahissant du Développement (TED), notamment autisme ou syndrome d’Asperger ou un trouble neurodéveloppemental (ex : syndrome du X-Fragile). La présentation porte sur le travail effectué avec des groupes d’adolescents de 12 à 16 ans ayant une déficience intellectuelle sévère à profonde et des troubles du comportement associés au TSA. Ils présentent des difficultés majeures d’adaptation au quotidien, et un manque d’autonomie Sur ces groupes, l’intervention est pluridisciplinaire (psychomotricité, éducatif, psycho-éducatif), et se découpe en trois ateliers fonctionnels, avec utilisation de matériel écologique (temps de présence de 3 h, avec une récréation) : Manipulation sur des tâches séquencées (reproduction systématique des mêmes étapes de la tâches) ; Activités liées aux tâches quotidiennes (servir des aliments, installer le petit déjeuner en suivant un séquentiel, aller se laver les main) ; Activités de la vie quotidienne en situation écologique comme faire et ranger les courses, remplir/vider un lave vaisselle. Les psychomotriciennes interviennent sur ce dernier atelier. Une structuration temporelle et spatiale est utilisée de l’accueil à la sortie, afin de favoriser l’autonomie des jeunes. Des objectifs psychomoteurs sont spécifiquement travaillés : posture globale (orientation du corps par rapport au cabas/réfrigérateur/placard/lave vaisselle ; adaptation de la posture : se baisser/fléchir les genoux), motricité manuelle (adapter la prise à la forme, à la taille, au poids ou au nombre d’objet), adaptation du tonus (proximal et distal), motricité bimanuelle (interaction des deux mains pour porter plusieurs objets), autonomie dans les déplacements d’un point à un autre, attention visuelle (rechercher les cibles sur la fiche), catégorisation, repérage spatial, initier/vérifier/flexibilité. Au travers de vidéos nous pourrons voir l’intérêt de ces objectifs, et comment le matériel et l’environnement ainsi que l’intervention du professionnel permettent l’émergence, la consolidation et le développement de compétences. Ce travail s’inscrit dans une prise en charge globale en lien avec les partenaires de soin et le domicile. 3 17ème Journée Toulousaine de Psychomotricité La mise en place d’un système de communication, alternatif et augmentatif, en équipe pluridisciplinaire pour deux enfants de l’IME classe TED : Le PECS Flavie Tavera, Psychomotricienne Céline Garrigou, Orthophoniste Les troubles de la communication constituent un des critères diagnostiques des personnes présentant un Trouble du Spectre Autistique (TSA). Une majorité d’enfants présentant un TSA ne développe pas de langage fonctionnel à visée communicative. Les recherches prouvent que l’utilisation d’un système de communication alternative et augmentative améliore les habiletés communicatives et interactionnelles et, par conséquent, atténue certains troubles du comportement. La mise en place d’un tel système participe au bien être de l’enfant et améliore sa qualité de vie et celle de son entourage. Parmi les outils les plus courants de communication alternative et augmentative, le PECS (Picture Exchange Communication System) a pour but de faciliter la communication et de favoriser les échanges. Le PECS permet essentiellement à l’enfant d’exprimer à son entourage ses besoins, ses envies malgré son déficit de langage. L’utilisation du PECS peut également stimuler, dans certains cas, l’accès au langage oral. Afin d’être fonctionnel, ce système doit être généralisé sur tous les lieux de vie de l’enfant et avec les différents partenaires. Nous présenterons la mise en place du système PECS en équipe pluridisciplinaire auprès de deux enfants présentant un TSA. Nous montrerons l’évolution de chacun, l’utilisation du PECS en prise en charge au travers d’activités fonctionnelles et les bénéfices de cet outil pour chacun d’entre eux au quotidien. 4 18ème Journée Toulousaine de Psychomotricité - 21 mai 2016 Rôle du psychomotricien dans la prise en charge du Trouble du Spectre Autistique Thierry Maffre, Pédopsychiatre CHU Toulouse, CRA région Midi Pyrénées Julien Perrin, Responsable AGAPEI, Psychomotricien Coralie Réveillé, Elise Grenier Miquel, Psychomotriciennes Les troubles du spectre autistiques affectent de manière hétérogène l’ensemble des domaines de développement conduisant à une altération précoce de la vie en relation. A l’instar des compétences sociales, le développement psychomoteur est entravé justifiant ainsi l’intervention du psychomotricien dans la chaine de soin. Néanmoins, comme l’indiquent les recommandations de bonnes pratiques de l’HAS et de l’ANESM la variabilité des manifestations cliniques et leur caractère envahissant impose une approche globale de la problématique tant dans son évaluation que dans son accompagnement. Il revient donc à chaque professionnel d’inscrire son action dans une démarche plus large tenant compte à la fois de la situation individuelle de la personne avec autisme mais aussi du cadre d’intervention proposé. Au cours de cette présentation nous verrons que cette approche transdisciplinaire conduit le psychomotricien à investir ses domaines de compétences de manière variée afin de garantir l’efficience des interventions et de s’ajuster au plus près des besoins des personnes et de leurs attentes. L’adoption de ces différentes postures professionnelles sera illustrée à partir d’exemples de pratiques des intervenants. Les échanges avec la salle permettront d’étayer cette perspective à partir de l’expérience collective. 5 17ème Journée Toulousaine de Psychomotricité Effet des traitements sur l’apprentissage procédural dans la maladie de Parkinson Aurélie Gutierrez, Margaux Lê, Elodie Martin, Psychomotricienne Jessica Tallet, Maître de conférences Plusieurs travaux ont monté les bénéfices de la réhabilitation sur les symptômes moteurs des patients parkinsoniens qui présentent une dégénérescence progressive des noyaux gris centraux (Goodwin, 2008) et plus particulièrement au travers de techniques telles que le Taï Chi (Li et al., 2012) ou la danse (Hackney et al., 2007). Compte tenu de l’implication cruciale des noyaux gris centraux dans les apprentissages procéduraux (Doyon 2009 ; Meier 2013), il paraît pertinent de se demander dans quelle mesure les patients parkinsoniens peuvent réaliser les apprentissages procéduraux nécessaires à la pratique de ces techniques. Des traitements étant proposés pour ces patients, il est possible que les apprentissages soient facilités par la prise de médicaments (L-Dopa) combinée et de la stimulation cérébrale profonde (SCP). Notre objectif est donc de tester l’effet isolée et combiné des traitements (L-Dopa et SCP) sur l’apprentissage d’une séquence motrice manuelle chez des patients parkinsoniens. Méthode Participants 8 sujets parkinsoniens (recrutés au service de Neurologie de l’hôpital Pierre Paul Riquet) âgés de 65.25 ans en moyenne (+/- 5.97) et 8 sujets contrôles (sujets sains appariés en âge) âgés de 63.25 en moyenne (+/- 4.36) Tâche : SRTT unimanuelle (Figure 1) 4 conditions : - Stim OFF/Med OFF : absence de SCP et absence de traitement médicamenteux - Stim OFF/Med ON : absence de SCP et traitement médicamenteux - Stim ON/Med OFF : SCP et absence de traitement médicamenteux - Stim ON/Med ON : SCP et traitement médicamenteux Figure 1 : Tâche de Temps de Réaction Sériel. Procédure Séquence répétée pendant 5 Blocs (B1 à B5) + séquence aléatoire (B6). 6 18ème Journée Toulousaine de Psychomotricité - 21 mai 2016 Analyses Calcul du Temps de Réaction (TR) moyen pour chaque Bloc, chaque Session et chaque Groupe. - ANOVA à mesures répétées pour apprentissage général : un facteur Groupe (2) et deux facteurs répétés : Bloc (B1-B5) et Session (4) sur le TR moyen - ANOVA à mesures répétées pour apprentissage spécifique : un facteur Groupe (2) et deux facteurs répétés : Bloc (B5-B6) et Session (4) sur le TR moyen - T-test en post-hoc avec correction de Bonferroni si nécessaire. - Le p est fixé à 0,05. Résultats Apprentissage spécifique : L’ANOVA révèle entre autre une interaction Bloc*Groupe (F(1,14)=8,5 ; p=0.011) sur le TR moyen de B5 versus B6. En effet, on retrouve une augmentation du TR entre le Bloc 5 et le Bloc 6 plus importante dans le Groupe Contrôle comparé au Groupe Parkinson, et ceci quelle que soit la Session. Apprentissage général : L’ANOVA révèle entre autres un effet significatif du facteur Groupe (F(1,14)=4,76 ; p=0.047) et une interaction Bloc*Session*Groupe (F(1,14)=2,39 ; p=0.007) sur le TR moyen de B1 à B5. En effet, on retrouve une diminution du TR du Bloc 1 au Bloc 5 uniquement pour le Groupe Contrôle et pour les Sessions 1 et 3. Figure 2. Temps de Réaction (TR) moyen en millisecondes (ms) des participants contrôles (rouge) et Parkinsoniens (bleu) dans chaque Session. Les barres d’erreur représentent la variabilité inter-individuelle (écart-type). *** représente une diminution significative (p<0,05) et ns représente un effet non significatif (p>0,05). Discussion et perspectives Notre étude a permis de mettre en évidence un apprentissage procédural dans les deux groupes même si une différence entre les groupes a été retrouvée pour l’apprentissage spécifique de la séquence (B5 versus B6). Ceci confirme les résultats de Muslovic et al. (2007). Par contre, aucun effet du traitement n’a pu être mis en évidence. On retrouve un effet de la session chez les sujets sains avec une apprentissage général possible uniquement lors de la première session de la journée. On peut supposer qu’il existe un effet de transfert entre les deux 7 17ème Journée Toulousaine de Psychomotricité sessions de la matinée car le TR est très bas dès le début de la deuxième session (effet seuil). Ce résultat est cohérent avec l’étude de Panzer et al. (2008). A la troisième session, nous ne retrouvons plus l’effet de transfert : il y a de nouveau un apprentissage général entre le bloc 1 et le bloc 5. Les résultats de Nemeth et al. (2010) pourraient expliquer cet effet : ils ont montré que chez le sujet âgé, l’apprentissage procédural n’était plus maintenu après une pause de 24 heures (nuit). Nos résultats confirment qu’il y aurait donc une perte de l’apprentissage général de la tâche entre les deux jours. Contrairement à plusieurs autres études, nous n’avons pas pu montrer d’amélioration ni d’effet de transfert d’une session à l’autre au cours de l’apprentissage général chez les sujets parkinsoniens. L’étude des capacités de transfert d’apprentissage chez les sujets parkinsoniens nécessite une comparaison avec un groupe contrôle atteint de la maladie et sans traitement durant les quatre sessions. Ce plan expérimental permettrait de discerner l’implication des traitements et les effets de la maladie dans les processus de transfert d’apprentissage dans la maladie de Parkinson. Références bibliographiques Doyon, J., Bellec, P., Amsel, R., Penhune, V., Monchi, O., Carrier, J., ... & Benali, H. (2009). Contributions of the basal ganglia and functionally related brain structures to motor learning. Behavioural Brain Research, 199(1), 61-75. Goodwin, V. A., Richards, S. H., Taylor, R. S., Taylor, A. H., & Campbell, J. L. (2008). The effectiveness of exercise interventions for people with Parkinson's disease: A systematic review and meta-analysis. Movement Disorders, 23(5), 631-640. Hackney, M. E., Kantorovich, S., Levin, R., & Earhart, G. M. (2007). Effects of tango on functional mobility in Parkinson's disease: a preliminary study. Journal of Neurologic Physical Therapy, 31(4), 173-179. Li, F., Harmer, P., Fitzgerald, K., Eckstrom, E., Stock, R., Galver, J., Maddalozzo G., & Batya, S. S. (2012). Tai chi and postural stability in patients with Parkinson's disease. New England Journal of Medicine, 366(6), 511-519. Meier, B., Weiermann, B., Gutbrod, K., Stephan, M. A., Cock, J., Müri, R. M., & KaelinLang, A. (2013). Implicit task sequence learning in patients with Parkinson's disease, frontal lesions and amnesia: The critical role of fronto–striatal loops. Neuropsychologia, 51(14), 3014-3024. Muslicovic, D., Post, B., Speelman, J. D., & Schmand, B. (2007) Motor procedural learning in Parkinson’s disease. Brain, 130, 2887-2897 Nemeth, D., & Janacsek, K. (2010). The dynamics of implicit skill consolidation in young and elderly adults. Journal of Gerontology: Psychological Sciences, 66B(1), 15–22. Panzer S, & Shea C. H (2008). The learning of two similar complex movement sequences: does practice insulate a sequence from interference? Human Movement Science, 27, 873-887. 8 18ème Journée Toulousaine de Psychomotricité - 21 mai 2016 Une thérapie pour réduire les mouvements miroirs Charlotte Auda, Régis Soppelsa, Psychomotricienne Les mouvements miroirs correspondent à un symptôme qui entraine, à chaque mouvement volontaire d’une main, un mouvement parasite symétrique sur l’autre main (Albaret, 2001). C’est une manifestation rare que l’on peut observer chez l’enfant ordinaire, mais qui disparait naturellement avec la maturation (Barral et al., 2009). On les rencontre également dans la pathologie, notamment dans le syndrome de Kalmann où 75% des patients (forme liée à l’X) peuvent le présenter (Young, 2007). Deux théories neuro-développementales tentent d’expliquer le phénomène : la théorie de l’activation bilatérale et la théorie de l’activation ipsilatérale (Barral et al., 2009 et Marquet Doleac, 2013). La théorie de l’activation bilatérale suppose une activation symétrique sur les deux hémisphères cérébraux au moyen de la transmission inter hémisphérique du corps calleux. La théorie de l’activation ipsilatérale pose l’hypothèse d’une seule commande motrice (activation sur un seul hémisphère) transmise par deux voies, une ipsilatérale du même côté et l’autre décussant. L’ordre moteur est dans les deux cas distribué aux deux mains. Quentin est un enfant de 3 ans qui souffre d’un syndrome génétique rare, le syndrome de Pelizaeus-Merzbacher-Like dont la particularité principale est une hypo-myélinisation du système nerveux central (Hobson, 2012). Quentin présente des mouvements miroirs rendant les mouvements bimanuels particulièrement difficiles. Un protocole à cas unique avec ligne de base a été appliqué avec Quentin, afin de vérifier l’efficacité d’une méthode inspirée de la thérapie par contrainte induite. Cette thérapeutique utilisée avec succès sur des enfants hémiplégiques (Wolf et al., 2006), a été adaptée aux spécificités et particularités de Quentin. Les résultats montrent l’efficacité de cette méthode sur ses mouvements miroirs. Références bibliographiques Albaret, J.-M. (2001). Les troubles psychomoteurs chez l'enfant. Encyclopédie MédicoChirurgicale, Pédiatrie, 4-101-H-30, Psychiatrie, 37-201-F-10, Paris : Elsevier, 16 p. Barral, J., Albaret, J. M., & Hauert, C. A. (2009). Des syncinésies aux mécanismes d’inhibition motrice chez l’enfant. Thérapie Psychomotrice et Recherches, 157, 4-20. Hobson, G. M., & Garbern, J. Y. (2012). Pelizaeus-Merzbacher disease, PelizaeusMerzbacher-like disease 1, and related hypomyelinating disorders. Seminars in Neurology, 32(1):62-7. doi: 10.1055/s-0032-1306388 Marquet-Doléac, J. (2013). Les syncinésies : Asymétrie comportementale et corrélats cérébraux lors d’une tâche de switching moteur. Mémoire de master 2. Université de Toulouse, Université Toulouse III Paul Sabatier. Young, J. (2007). Hypogonadismes hypogonadotrophiques congénitaux chez l’homme: aspects diagnostiques, physiopathologiques et génétiques. Médecine Thérapeutique/médecine de la reproduction, 9(5), 318-328. Wolf, S. L., Winstein, C. J., Miller, J. P., Taub, E., Uswatte, G., Morris, D., ... & Excite Investigators. (2006). Effect of constraint-induced movement therapy on upper extremity function 3 to 9 months after stroke: the EXCITE randomized clinical trial. JAMA: The Journal of the American Medical Association, 296(17), 2095-2104. 9 avec le concours de Editions Hogrefe France Les Editions du Centre de Psychologie Appliquée Les éditions De Boeck C’est le jeu, Boutique de jeux de société, casse-têtes et tours de magie HopToys Librairie Privat Le Crédit Lyonnais