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II. UNE INSERTION DANS LE COMMERCE INTERNATIONAL PLUTÔT
RÉUSSIE ..............................................................................................................................47
A. UNE SPÉCIALISATION MIEUX RÉUSSIE DANS LE CAS DU JAPON QUE DANS
CELUI DE LA CORÉE..........................................................................................................47
1. Des excédents commerciaux de nature différente ................................................................47
2. La spécialisation internationale est bonne dans le cas du Japon, plus moyenne dans
celui de la Corée.................................................................................................................50
B. UN PROTECTIONNISME DE FAIT EN CORÉE ET AU JAPON.........................................51
1. Seule la Corée a des droits de douane importants...............................................................51
2. Les barrières non tarifaires du Japon sont peu importantes, selon l’OMC et l’OCDE ........53
3. Mais le Japon recourt à un protectionnisme déguisé, sous la forme de
réglementations techniques.................................................................................................55
4. Au Japon, le rôle protectionniste du système de distribution...............................................55
5. Une évolution récente : la multiplication des accords de libre-échange..............................56
6. Les investissements étrangers se heurtent à de nombreux obstacles dans les deux
pays ....................................................................................................................................59
C. DES MONNAIES SOUS-ÉVALUÉES ? ................................................................................64
1. Selon une approche en termes de parité de pouvoir d’achat, le yen et le won
pourraient être sous-évalués de respectivement 30 % et 15 % par rapport au dollar.........64
2. Selon une approche par le « taux de change d’équilibre fondamental », les deux
monnaies auraient été sous-évaluées en 2003 d’environ 35 % par rapport au dollar .........65
III. UN FAIBLE TAUX DE CHÔMAGE.................................................................................67
A. LA MONDIALISATION N’IMPLIQUE PAS UN TAUX DE CHÔMAGE ÉLEVÉ,
MAIS SEMBLE CONSTITUER UN FACTEUR DE PRÉCARITÉ .......................................67
1. Un faible chômage conjoncturel grâce à une logique de « partage du travail »..................68
2. Un faible chômage structurel en raison de facteurs difficilement transposables en
France ................................................................................................................................79
3. La multiplication des emplois précaires ..............................................................................82
B. AU JAPON LE DÉVELOPPEMENT DE LA CHINE EST CONSIDÉRÉ COMME UNE
OPPORTUNITÉ, ET NON COMME UN RISQUE ÉCONOMIQUE .....................................85
1. Les délocalisations en Chine ont essentiellement pour objet d’utiliser le faible coût
de la main-d’œuvre chinoise pour réexporter .....................................................................85
2. L’étonnant optimisme des dirigeants et chefs d’entreprise japonais sur les
conséquences du développement économique de la Chine...................................................87
IV. QUELS ENSEIGNEMENTS TIRER DE LA SITUATION DES FINANCES
PUBLIQUES DU JAPON, LA PLUS DÉGRADÉE DE L’OCDE ? ..................................88
A. DES FINANCES PUBLIQUES TRÈS DÉGRADÉES............................................................88
1. Une dette publique et un déficit public de l’ordre de respectivement 160 % du PIB et
6 % du PIB .........................................................................................................................88
2. Une dégradation due à l’augmentation des dépenses ..........................................................89
B. QUELS ENSEIGNEMENTS EN TIRER ? .............................................................................90
1. Les politiques de relance budgétaire sont inefficaces..........................................................90
2. C’est la charge de la dette qui rend le taux d’endettement public plus ou moins
supportable.........................................................................................................................91
3. La hausse de la TVA, l’un des moyens privilégiés de rééquilibrer les comptes
publics ? .............................................................................................................................94