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Dossier
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Le Courrier de la Transplantation - Volume VI - n
o 4 - octobre-novembre-décembre 2006
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Utilisation de
lérythropoïétine
recombinante en
transplantation
dorgane
Le traitement de l’anémie après transplantation hépatique
Y. Calmus
L’anémie chez le patient transplanté rénal
G. Choukroun, M. Jauréguy
L’érythropoïétine, ses dérivés érythropoïétiques
et non érythropoïétiques : vers une cytoprotection ubiquitaire ?
F. Martinez, J. Zuber, E. Thervet
L’anémie chez le patient transplanté rénal
G. Choukroun*, M. Jauréguy*
Lanémie est l’une des compli-
cations les plus fréquentes
de l’insuf sance rénale chro-
nique (IRC), et sa sévérité suit celle
de la maladie rénale chronique. Cette
anémie est habituellement arégénéra-
tive, normochrome, normocytaire, et
sa physiopathologie est complexe. Le
mécanisme principal est néanmoins
la réduction de la synthèse par les
cellules interstitielles péritubulaires
d’érythropoïétine (EPO). L’anémie est
d’autant plus marquée que la réduction
du débit de ltration glomérulaire est
importante. Le traitement par les agents
stimulant l’érythropoïèse (ASE) à des
posologies hebdomadaires inférieures à
20 000 UI (époétine α ou β) ou 100 µg
(darbépoétine α) corrige l’anémie chez
plus de 90 % des patients (1). Cepen-
dant, les malades ne répondent pas
tous de la même façon et de nombreux
facteurs peuvent in uencer la réponse
au traitement.
Les conséquences de l’anémie ont été
largement étudiées au cours de l’IRC à
tous les stades ; elles sont nombreuses :
asthénie, perte d’appétit, baisse des fonc-
tions cognitives et des performances à
l’effort, baisse des défenses immuni-
taires globales et conséquences cardio-
vasculaires [augmentation du débit
cardiaque, hypertrophie ventriculaire
gauche (HVG), ischémie coronaire fonc-
tionnelle] (2). L’impact sur la qualité
de vie de ces patients est donc évident.
Comme dans la population générale,
l’anémie est associée à un risque accru
de morbidité et de mortalité cardiovas-
culaires au cours de l’IRC. Le traite-
ment par érythropoïétine recombinante
améliore cette symptomatologie. Cepen-
dant, les béné ces du traitement sur la
morbidité et la mortalité cardiovascu-
laires n’ont pas été démontrés au-delà
d’un seuil d’Hb de 11 g/dl. Curieuse-
ment, aucune étude n’a évalué de façon
prospective le béné ce du traitement sur
la qualité de vie, le remodelage ventricu-
laire gauche ou la fonction rénale chez
le patient transplanté rénal.
Historiquement, la préoccupation des
néphrologues impliqués dans la prise en
charge des patients transplantés était la
prévention du rejet d’allogreffe et l’ob-
tention d’une fonction rénale optimale.
Cependant, l’amélioration constante de
la survie des greffons et des patients
nécessite une meilleure prise en charge
des facteurs de risque cardiovasculaire,
hypertension artérielle et dyslipidémie
notamment, ceux-ci étant également
impliqués dans la physiopathologie
* Service de néphrologie et de transplantation rénale,
hôpital Sud, CHU Amiens.
Coordinateurs :
G. Choukroun, CHU Amiens
et F. Martinez, hôpital Necker,
Paris
Dossier
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Le Courrier de la Transplantation - Volume VI - n
o 4 - octobre-novembre-décembre 2006
224
complexe de la néphropathie chronique
d’allogreffe. Rappelons que toutes les
études montrent qu’une des principales
causes de perte de greffon est le cès du
patient, principalement du fait de compli-
cations cardiovasculaires, la fonction du
greffon restant satisfaisante. À ce stade, il
est important de mentionner que l’amie
est un facteur de risque cardiovasculaire
bien établi chez le patient en IRC (3).
La transplantation rénale corrige large-
ment le déficit de fonction endocrine
et exocrine du rein présent chez les
patients en insuffisance rénale termi-
nale. En théorie, le retour à une fonc-
tion rénale satisfaisante après la greffe
doit s’accompagner de la correction de
l’anémie chez la plupart des patients.
De fait, une majorité de patients trans-
plantés rénaux a un poids d’hémoglo-
bine normal trois mois après la greffe, la
synthèse rénale d’érythropoïétine étant
normalement gulée chez ces patients.
Certains d’entre eux veloppent même
une polyglobulie, qui cessite parfois un
traitement spécique. Depuis une dizaine
d’années, plusieurs études ont analyla
prévalence de l’anémie chez ces patients
ainsi que les facteurs impliqués dans sa
survenue. Celle-ci est en fait fréquente, et
sa prise en charge reste à optimiser.
PrévaLence de LanéMIe
en transPLantatIon rénaLe
Rappelons que la dénition hématolo-
gique de l’anémie correspond à un poids
d’hémoglobine inférieur à 130 g/l chez
l’homme et à 120 g/l chez la femme.
Cela est important car malheureuse-
ment, et comme souvent, la dénition
retenue dans les études publiées n’est
pas toujours la même, et l’interprétation
qu’on en donne en est bien sûr gênée.
Avant l’utilisation large des ASE, tous
les patients transplantés étaient sévère-
ment anémiques dans la phase précoce
suivant la greffe. L’anémie préopéra-
toire, quasi constante chez les patients
dialysés, était aggrae par le saignement
postopératoire. Le recours à une transfu-
sion sanguine était la règle. La restaura-
tion d’une fonction rénale satisfaisante
après greffe permet la reprise d’une
sécrétion endogène d’EPO et la correc-
tion, au moins partielle, de l’anémie
dans les six premiers mois. Cependant,
l’anémie post-transplantation n’a pas
disparu depuis l’utilisation des ASE chez
une majorité de patients dialysés. De
nombreuses études observationnelles
ont bien montque l’anémie, aussi bien
dans les périodes précoce que tardive
post-greffe, restait fréquente.
Moore et al., dans une étude prospec-
tive portant sur 51 patients, retrouvent
une prévalence de l’anémie supérieure à
80 % dans les deux premières semaines
post-transplantation et de 30 % après un
an de greffe. Dans ce travail, les auteurs
ont utilisé le seuil de 38 % d’hématocrite
chez l’homme et de 35 % chez la femme
pour dénir l’anémie (4). Mix et al., dans
une étude rétrospective de 240 patients,
retrouvent une prévalence d’anémie
(hématocrite < 36 % quel que soit le
sexe) de 76 % au moment de la greffe,
de 21 % après un an, et de 36 % quatre
ans post-greffe ; les femmes avaient
un hématocrite moyen plus bas. Seuls
36 % des patients vèrement anémiques
(hématocrite < 30 %) ont bénécié d’une
évaluation biologique des réserves en fer,
et moins de 40 % de ces patients étaient
traités par un ASE (5). Dans l’étude
publiée par Shibagaki et al., 20 % des
patients avaient une anémie sévère
(Hb < 120 g/l chez l’homme, Hb < 110 g/l
chez la femme). Dans cette étude nord-
américaine, l’élévation de la créatinine
plasmatique et l’origine africaine étaient
des facteurs prédictifs de l’anémie (6).
Finalement, c’est l’étude TRESAM
(Transplant European Study on Anemia
Management) qui fournit le plus d’in-
formations sur le sujet (7). Cette étude
observationnelle réalisée dans seize pays
européens entre le 15 novembre 2000
et le 31 mai 2001 a permis d’évaluer la
prévalence et les modalités de prise en
charge de l’anémie chez 4 263 patients
transplantés rénaux. Les auteurs ont
utilisé dans cette étude la définition
hématologique de l’anémie : moins de
130 g/l chez l’homme, moins de 120 g/l
chez la femme. Quatre périodes post-
transplantation ont été analysées, les
six premiers mois (n = 1 003), un an
(n = 960), 3 ans (n = 1 254) et 5 ans
(n = 1 046) post-greffe. La proportion
d’hommes et de femmes était identique
dans les quatre groupes, respectivement
de 62 % et 38 %. Dix pour cent des
patients ont été greffés à partir d’un
donneur vivant. L’hémoglobine moyenne
au moment de la greffe s’échelonnait de
108 à 119 g/l selon les groupes ; de façon
non surprenante, les patients les plus
récemment greffés avaient en moyenne
une hémoglobine plus haute.
L’hémoglobine moyenne dans la cohorte
de l’étude TRESAM était de 132 g/l, mais
d’importantes variations ont été obser-
vées, de 45 à 201 g/l ! Dans la cohorte
globale, 1 645 patients (38,6 %) étaient
anémiques et 364 (8,5 % du total) avaient
une hémoglobine inférieure à 110 g/l
(homme) ou 100 g/l (femme), ce seuil
dénissant le groupe ayant une anémie
vère. La proportion de patients anémi-
ques était sensiblement identique dans les
quatre groupes de patients “classés” en
fonction de l’ancienneté de la transplan-
tation. Les patients receveurs d’une
première greffe avaient une hémoglobine
moyenne plus élevée que les receveurs de
2e ou 3e greffe, respectivement 132 ± 19,
128 ± 19 et 127 ± 21 g/l. Enn, l’hémo-
globine était également plus basse chez
les patients ayant reçu un traitement pour
rejet aigu.
Dans cette étude, les auteurs ont retrou
une corrélation entre le niveau de fonc-
tion rénale, créatinine plasmatique ou
clairance de la créatinine, et le poids
d’hémoglobine, les patients dont la
fonction rénale est la moins altérée étant
moins souvent anémiques. Enn, l’utili-
sation de protocoles d’immunosuppres-
sion qui comportent du mycophénolate
mofétil (MMF) ou des médicaments
antihypertenseurs inhibant les effets de
l’angiotensine II (IEC et ARAII) était
associée à une prévalence plus impor-
tante d’anémie. De façon surprenante,
Dossier
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Le Courrier de la Transplantation - Volume VI - n
o 4 - octobre-novembre-décembre 2006
225
seuls 5,2 % de la totalité des patients de
l’étude et 12 % des patients anémiques
recevaient un traitement par ASE. Enn,
sur les 343 patients sévèrement anémi-
ques, 61 (17,8 %), étaient traités par
ASE. La dose moyenne d’EPO utilisée
chez ces patients était de 5 830 UI par
semaine.
Cette discordance entre forte prévalence
de l’anémie (45 %) et faible utilisation
des ASE (9,6 %) a été retrouvée dans
une étude “cross-sectionnelle” publiée
récemment par Shah et al. (8). Nous
avons réalisé une étude observation-
nelle en France auprès de dix centres
de transplantation an d’analyser l’in-
cidence et la prise en charge de l’anémie
chez ces patients. Cette étude (Manage-
ment of Anemia in French Kidney Trans-
plant Patients [MATRIX]), conduite en
2004, a permis d’enrôler 464 patients
(âge moyen à l’inclusion 50,6 ans)
transplantés depuis plus de 6 mois au
cours d’une période d’observation de
2 semaines (60 % d’hommes) [9]. Le
niveau de fonction rénale moyen était
déni par une créatinine plasmatique
de 150 ± 65 µmol/l. L’hémoglobinémie
moyenne était de 124 ± 18 g/l, 128 g/l
chez l’homme et 119 g/l chez la femme.
Quarante-trois pour cent des patients
avaient une Hb inférieure à 120 g/dl et
24 % une Hb inférieure à 110 g/l. Parmi
les patients ayant une Hb inférieure à
110 g/l, seuls 32 % recevaient un trai-
tement, 20 % un traitement martial et
20 % un traitement par un ASE. Dans
cette étude également, le poids d’hémo-
globine était corrélé à la fonctionnale.
Ces données montrent donc que l’anémie
post-transplantation reste un problème
d’actualité.
conséquences de LanéMIe
chez Le PatIent transPLanté rénaL
De nombreuses études suggèrent que
l’anémie post-transplantation, comme
au cours de l’IRC, a un impact gatif sur
le pronostic à long terme de ces patients
(10). Comme chez les patients hémodia-
lysés, l’anémie est un facteur de risque
cardiovasculaire important en transplan-
tation rénale. Rigatto et al. ont montré de
façon claire que l’anémie était un facteur
de risque indépendant d’hypertrophie
ventriculaire gauche et de développer
une insufsance cardiaque de novo. En
revanche, l’incidence de cardiopathie
ischémique est similaire à celle de la
cohorte de Framingham (10). Au cours
de l’IRC, les études observationnelles
indiquent que l’anémie est associée à une
mortalité rale et cardiovasculaire plus
importante. Les données disponibles en
transplantation sont encore peu convain-
cantes. Enn, l’anémie semble associée
à une progression plus rapide de l’IRC
(11, 12), mais, à ce jour, aucune étude
randomisée n’a démontré que la corriger
pouvait être bénéque sur la progression
de la maladie nale chronique. Une étude
rétrospective, d’une qualité méthodolo-
gique discutable, a montré que le trai-
tement par les ASE pouvait retarder la
détérioration de la fonction rénale chez
les patients transplantés (13).
L’anémie est l’un des facteurs impli-
qués dans la mauvaise qualité de vie de
certains patients transplantés rénaux.
Si la transplantation rénale est de loin
considérée comme le traitement de
choix de l’insufsance rénale terminale,
certains patients, notamment du fait de
la persistance d’une anémie, ne tirent
pas le même bénéce de la transplan-
tation. De façon surprenante, aucune
étude n’a évalué le bénéce du traite-
ment par les ASE sur la qualité de vie
de ces patients.
L’étude multicentrique française CAPRIT
(Correction de l’anémie et progression
de l’insufsance rénale des transplantés)
permettra peut-être de répondre à ces
questions. Elle a déjà permis d’inclure
plus de 120 patients transplantés rénaux
ayant une anémie et une dysfonction
chronique du greffon. Les objectifs
de cette étude sont nombreux : impact
de la correction optimale de l’anémie
sur la qualité de vie des patients, sur la
progression de la dysfonction chronique
du greffon et sur la masse ventriculaire
gauche.
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