L'origine des couleurs (synthèse) additives 1 couleur C

L'origine des couleurs (synthèse) additives
couleur 1
Rayons Gamma
Rayons X
Ultraviolets
Infrarouges
Ondes radioélectriques
Le spectre
Le spectre du rayonnement électromagnétique d'une étoile, qui montre ses dif-
rentes longueurs d'onde, indique les échanges énergétiques qui ont lieu lorsque
les radiations émises par son centre chaud traverse ses couches surieures plus
froides et moins énergétiques. A certaines longueurs d'onde, le rayonnement est
absorbé par différent gaz, ce qui donne des raies sombre, dites d'absorption, en
des points précis du spectre.En étudiant la position, la largeur et l'intensité de ces
raies, on peut en déduire la composition de ltoile mais aussi sa température, son
âge et certains de ces composantes de son mouvement. Le rayonnement électro-
magnétique va des rayons gamma, très énergétiques et de très courte longueur
d'onde (à droite). La lumière blanche est composée d'ondes comprises entre le
violet (4000 angströms) et le rouge (8000 angströms). Comme on le constate, il
est possible de matérialiser le spectre en onde ondulatoire où l'on peut voir la fré-
quence la plus longue (rouge).
L'effet Doppler
La fréquence observée d'une onde lumineuse dépend du mouvement relatif de la
source et de l'observateur (représenter par le triangle). Ci-contre 2 schémas qui
traduisent le changement de la couleur du soleil : lorsque le soleil est à son zénith
lanétration de la lumre au travers de la couche d'air (oxygène : donc bleutée)
est courte, l'observateur voit le soleil blanc-jaune mais lorsque le soleil se couche
l'observateur voit le soleil rouge, car la lumière est filtré par la stratosphère bleu.
C'est un filtre optique naturel, le soleil est resté dans sa couleur d'origine.
Le décalage vers le rouge
Un objet au repos produit des raies d'absorption pour un élément donné en des
endroits précis du spectre. Comme toutes les longueurs d'onde en provenance
d'un objet qui s'éloigne s'étirent (au centre), les raies se décalent vers le rouge;
dans le cas d'un objet qui s'approche, elles se décalent vers le bleu. (les décalages
sont ici exas par souci de clarté.)
Soleil (coucher)
Soleil (zénith)
Rayon
Rayon
Stratosphère
Stratosphère
Terre
Terre
CT designer
Objet immobile
Objet s'éloignant
Objet s'approchant
les couleurs additives (viographiques) - RVB (Rouge - Vert - Bleu) - RGB (Red - Green - Blue)
Tableau de correspondance des valeurs additives (vidéo) avec les soustractives (pigments)
Les couleurs additives et soustractives
couleur 2
rouge
(jaune + magenta =)
vert
(= jaune + cyan)
bleu (= magenta + cyan)
cyan
(= vert + bleu)
(la couleur commune
aux 2 couleurs)
jaune (= rouge + vert)
(la couleur commune aux 2 couleurs)
Les couleurs compmentaires du RVB sont les couleurs du premier mélange. Elles fonctionnent ainsi :
Rouge est compl. du Cyan (= bleu + vert)
Vert est compl. du Magenta (= rouge + bleu)
Bleu est compl. du Jaune (= rouge + vert)
il est important de pciser que je fais rence aux langes des couleurs soustractives (imprimerie, CMJN)
magenta
(rouge + bleu =)
(la couleur commune
aux 2 couleurs)
0 25.5 51 76.5 102 127.5 153 178 204 229.5 255
Les couleurs additives sultent de fquences lumineuses qui s'additionnent, vélant ainsi la couleur.
Mélange des 3 fréquences additives (vidéo) RVB (Rouge - Vert - Bleu)
Nota : Le mélange des 3 fréquences RVB (255 donc 100% aplat en soustractif) donne le Blanc, c'est que nous sommes
en source lumineuse (additive). La valeur 0 étant l'absence de source lumineuse donc le Noir (une non-couleur).
100% 90% 80% 70% 60% 50% 40% 30% 20% 10% 0%
Nota : Le mélange des 3 fréquences RVB permet d'obtenir 16 millions 7 couleurs sur un écran vidéo. Elle peuvent
se composer d'une autre manière qui est le TLD. il se traduit au travers d'un cercle chromatique. Il suffit pour cela de
jongler les paratres des 3 valeurs : Teinte : 0 à 360, Luminosité et Densité : 0 à 255 ou 0 à 100%). Il est évident que
la transcription papier n'égale pas la réalité. Le tout est de pouvoir
traduire la couleur dans sa finali papier par le biais des trames sur
les films, référence de la taille du point de trame, du plus gros au
plus petit :
60 - 80 - 100 - 120 - 133 - 150 - 175 - 200.
les couleurs additives (vidéographiques)
TLD (Teinte - Luminosité - Densité) - HSB (Hue - Saturation - Brigthness)
Les couleurs additives et soustractives
couleur 3
Exemple 1 : le cercle chromatique a pour valeur de teinte par défaut
0 car le rouge est la première couleur dominante en terme de fré-
quence et de lisibilité.
Teinte : 0 - Luminosité : 255 - Densi: 255
Exemple 2 : le cercle chromatique a toujours
pour valeur de teinte par défaut 0, mais voici ce
qui se passe lorsque nous baissons la densité à
moitié (en laissant la luminosité au maximum),
on obtient un éclaircissement des couleurs (lai-
teuses, pastel, montées les blancs).
Teinte : 0 - Luminosité : 255 - Densi: 127
Exemple 3 : le cercle chromatique a toujours
pour valeur de teinte parfaut 0, mais lorsque
nous baissons la luminosi à moitié (en laissant
la densité au maximum), on obtient un obscur-
cissement des couleurs (cassées, plomes au
noir).
Teinte : 0 - Luminosité : 127 - Densi: 255
Voici une bande spectrale des couleurs additives (le rouge et le bleu sont dominants)
L'oeil perçoit toujours en premier les couleurs les plus lumineuses (vert - JAUNE - orange)
Les couleurs additives et soustractives
couleur 4
Lorsque nous additionnons toutes les fré-
quences (sources) lumineuses ensembles
(en RVB), nous obtenons le blanc. Mais
lorsque nous résonnons les fréquences
(en TLD), il suffit de baisser la densité de
la fréquence 0) pour obtenir le blanc.
Quant au noir, je baisse la luminosité de la
fréquence. Tout ce qui se situe entre les 2
cercles aux filets blanc sont les teintes (de
0 à 360 = 100% aplat donc pur en vidéo-
graphie). Le TLD (HSB) permet de mieux
définir et comprendre la couleur, si l'on
observe bien, chaque fréquence de cou-
leur à sa propre échelle chromatique (0%
à 100%) grâce à la luminosité et densité.
Attention le matériel informatique traduit
16,7 millions. Notons que l'oeil ne peut
coder autant de nuances.
Lorsque nous soustrayons la lumière avec
des filtres pigmentaires (huile, gouache,
encre, crayon de couleurs etc...) ou de type
encres d'imprimerie (CMJN = cyan, magenta,
jaune, noir - CMYK = cyan, magenta, yellow,
black) par mélange avec ces 4 couleurs de
base, nous obtenons une palette de 7800
couleurs (à peu près). Mais les tons se font
en trichromie (CMJ) par étape de 10%, la
couleur jaune joue le rôle de réchauffement
en allant jusqu'au noir trichromique. Le noir
est pour apporter un contraste fort qui
casse les couleurs (plomber). Tout ce qui se
situe entre les 2 cercles aux filets blanc sont
les teintes (0 à 100% aplat ). L'ordre de pas-
sage des couleurs (imprimerie) est important
en bichromie, trichromie ou quadrichromie :
c'est toujours le cyan et le magenta, puis le
jaune et le noir. Notons qu'il y a des couleurs
en impression qui sont difficiles à réaliser :
l'orange, le gris et le bleu. La machine offset
ne peut égaler les paratres informatiques.
Il reste le réglage optique et manuel sur la
façon de diluer l'encre (les marges d'erreurs
viennent de là). L'autre solution est d'em-
ployer des encres PANTONE (Nuancier éta-
lon qui représente 360 nuances, mais il est
possible de aliser ces 360 nuances avec 8
couleurs de base, sauf : le blanc, les couleurs
métalliques et fluorescentes.
La rose des couleurs
soustractives (pigmentaires)
La rose des couleurs
additives (en TLD ou RVB)
vert
rouge
bleu
cyan
magenta
jaune
noir
Les couleurs soustractives résultent de l'ajout de filtres pigmentaires qui soustrait la lumière.
0 10% 20% 30% 40% 50% 60% 70% 80% 90% 100%
Echelle Chromatique des couleurs d'imprimerie (Cyan - Magenta - Jaune - Noir : 4 passages)
Cyan
Magenta
Jaune
Les couleurs soustractives
couleur 5
QUADRICHROMIE
Echantillons de couleurs (Cyan + Magenta + par pas de 20% de jaune)
0% de JAUNE
20% de JAUNE
40% de JAUNE
60% de JAUNE100% de JAUNE
80% de JAUNE
1 / 7 100%
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