4
3/ L’ALLOCATION DE RETOUR A L’ACTIVITE (ARA) PEUT-ELLE ETRE SUPPRIMEE ?...... 36
1.
L’
ALLOCATION DE RETOUR A L
’
ACTIVITE N
’
A PAS FAIT LES PREUVES DE SON EFFICACITE
................. 36
1.1.
Le bilan de l’ARA montre que cette mesure a été un relatif échec .......................................... 36
1.2.
Le recours à l’ARA a fortement régressé depuis 2006 ............................................................ 38
1.3.
Le régime d’intéressement de la loi du 23 mars 2006 a supplanté l’ARA............................... 39
2.
L’ARA
POURRAIT ETRE SUPPRIMEE
................................................................................................... 41
4/ FAUT-IL CONSERVER LES AGENCES DEPARTEMENTALES D’INSERTION (ADI) ? .......... 45
1.
L
ES AGENCES DEPARTEMENTALES D
’
INSERTION AVAIENT POUR OBJECTIF D
’
ASSURER LE PILOTAGE
UNIFIE D
’
UN DISPOSITIF PARTAGE ENTRE L
’E
TAT ET LES DEPARTEMENTS
................................................... 45
2.
D
ANS UN CONTEXTE OU LE CONSEIL GENERAL EST DESORMAIS SEUL RESPONSABLE DE LA POLITIQUE
D
’
INSERTION
,
LES
ADI
COMPLEXIFIENT LE PAYSAGE INSTITUTIONNEL SANS APPORTER DE REELLE PLUS
-
VALUE A LA POLITIQUE D
’
INSERTION
........................................................................................................... 47
3.
UN CHOIX D
’
ORGANISATION DE LA POLITIQUE D
’
INSERTION LAISSE A LA MAIN DES CONSEILS
GENERAUX
................................................................................................................................................... 49
3.1.
Les conseils généraux devraient être autorisés à intégrer les ADI à la collectivité
départementale ou, s’ils le souhaitent, à les conserver.......................................................................... 49
3.2.
Quelle que soit la solution retenue, il est nécessaire de distinguer nettement les fonctions
stratégiques des fonctions opérationnelles............................................................................................ 51
3.3 Les différents scénarios possibles de l’organisation de la politique d’insertion sociale et
professionnelle....................................................................................................................................... 52
5/ QUEL CONTRAT UNIQUE D’INSERTION POUR L’OUTRE-MER ? ........................................... 54
1.
M
ALGRE LA CREATION DE DISPOSITIFS SPECIFIQUES
,
L’
UTILISATION DES CONTRATS AIDES DANS LES
DOM
DEMEURE INEGALE SELON LES TERRITOIRES
...................................................................................... 54
1.1.
Une architecture complexe...................................................................................................... 54
1.2.
Une utilisation des contrats en-deçà des objectifs et variable selon les territoires................. 55
2.
L
E PASSAGE AU CONTRAT UNIQUE D
’
INSERTION PRESENTE DES AVANTAGES EN TERMES DE SOUPLESSE
POUR LES BENEFICIAIRES
,
ET UN DIFFERENTIEL FINANCIER LIMITE POUR LES ENTREPRISES
......................... 57
2.1.
Le passage au CUI offre aux bénéficiaires de contrat aidé des conditions de mise en œuvre
plus souples............................................................................................................................................ 57
2.2.
Les ajustements financiers liés au passage au CUI seront faibles pour les employeurs......... 60
2.3.
Une mise en œuvre rapide du CUI dans les DOM est souhaitable.......................................... 64
2.4.
Le passage au CUI ne doit pas se traduire par un désengagement financier de l’Etat........... 64
3.
L
ES
DTEFP
DOIVENT ETRE IMPLIQUEES PLUS ETROITEMENT DANS LE PILOTAGE DU
CUI................. 67
3.1.
La prescription des contrats aidés pourrait être confiée à Pôle emploi.................................. 69
6/ COMMENT AIDER LES JEUNES ENTRANT SUR LE MARCHE DU TRAVAIL ?..................... 70
PROPOSITIONS APPLICABLES DANS L’HYPOTHESE D’UNE MISE EN ŒUVRE RAPIDE DU
RSA................................................................................................................................................................. 72
7/ FAUT-IL ADAPTER A L’OUTRE-MER LA « PENTE », LE « POINT DE SORTIE » OU LE
CHAMP DU RSA ?....................................................................................................................................... 73
1.
F
AUT
-
IL APPLIQUER AU
RSA
UN BAREME ET UN TAUX DE CUMUL DIFFERENTS DANS LES
DOM ?..... 73
1.1.
Le point de sortie du RSA conditionne le niveau de couverture de la population par le
dispositif................................................................................................................................................. 73
1.2.
La détermination du niveau de ce point de sortie doit permettre de répondre au double
objectif d’incitation à l’activité et de lutte contre la pauvreté............................................................... 75
1.3.
Les enjeux de lisibilité du dispositif ainsi que le taux de couverture de la population avec une
pente à 62% plaident pour l’instauration d’un barème commun à la métropole et aux DOM.............. 77
2.
F
AUT
-
IL MODULER LA PENTE DU
RSA
DANS LES
DOM
COMPTE TENU DES DONNEES ECONOMIQUES
LOCALES
?................................................................................................................................................... 79
3.
L
ES SPECIFICITES DES
DOM
EN MATIERE DE PRESTATIONS FAMILIALES NE NECESSITENT PAS
L
’
ADAPTATION DU
RSA .............................................................................................................................. 81
3.1.
Les modalités de versement des prestations familiales dans les DOM présentent certaines
spécificités.............................................................................................................................................. 81
3.2.
Le complément familial dans les DOM diffère fortement de son équivalent métropolitain.... 83