Maîtrise de l`énergie Activité, Emplois et Métiers

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Maîtrise de l’énergie
Activité, Emplois et Métiers
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Chapitre I
CARIF-OREF - 2008. Activités, Emplois, Métiers et Qualifications dans le domaine de la Maîtrise de l’Énergie et des Énergies Renouvelables
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Probabilité de déploiement à 5 ans :
Faible probabilité de déploiement Forte probabilité de déploiement
-- - + ++
La Maîtrise de l’énergie consiste à éviter
tout surplus de consommation d’énergie
par des changements de pratiques, de com-
portements ou la mise en place de procédés
techniques. Elle concerne tant les particuliers
que les organisations, les collectivités et les
entreprises.
La MDE participe de la révolution culturelle
qu’il est indispensable de mettre en place
en même temps que les EnR. Elle en est le
pendant. En effet, selon les professionnels,
la MDE peut-être considérée comme
la recherche de l’économie maximum de
l’énergie existante. À la différence de la
maîtrise de la consommation d’énergie,
elle englobe la conception des bâtiments
et produits jusqu’à leur démolition et leur
recyclage. Dans la logique du dévelop-
pement durable, elle doit être située en
amont des ENR.
•  Politique  et  environnemental  :  déve-
loppement de politiques en faveur de la
MDE
Au niveau national, le Grenelle de
l’environnement prévoit de construire
des Bâtiments à Basse Consommation
d’énergie (BBC), dès 2010 pour les bâti-
ments publics et les bâtiments tertiaires
et dès 2012 pour les logements, un grand
chantier de rénovation thermique des
bâtiments existants, et un grand plan
de formation pour les professionnels
du bâtiment… Au niveau local, notons
la réglementation thermique à venir et
la généralisation possible du référentiel
PERENE (–20% de consommation d’énergie
qu’un bâtiment traditionnel) sont des
outils cadres indispensables.
Technologique : accélération de l’inno-
vation
L’intensité de la recherche et dévelop-
pement dans le domaine de la MDE
génère des innovations dans les produits
et techniques de production (composants
du bâtiment matières premières utilisées,
« recyclabilité », impact sanitaire, cycle
de vie…). Le Centre Scientifique et
Technique du Bâtiment (CSTB) note que
les technologies existantes sur le marché,
permettent de construire des bâtiments
qui ne rejettent pas de gaz à effet de serre
pendant toute leur phase d’exploitation.
Donc, si les technologies existent, elles
doivent aussi être diffusées au-delà des
frontières. Par exemple, des systèmes de
ventilation double flux avec échangeur
adapté à la rénovation sont largement
diffusés en Allemagne, mais pas en France.
La recherche et développement est par
conséquent intimement liée à la capacité
des entreprises à transférer (benchmarker)
et à adapter les technologies au marché
local.
Un manque certain de visibilité
Au contraire des EnR, voyantes de par
leurs installations (panneaux PV, Chauffe-
eau, éoliennes…), la MDE est pénalisée
par son manque de visibilité.
Actuellement des nombreuses solutions
sont à l’étude et de nouveaux matériaux
sont mis sur le marché. Aucune techno-
logie n’a pris le pas sur une autre. À La
Réunion, les principaux acteurs sont
l’ARER, l’ADEME et la DRIRE, qui cha-
cun à leur niveau mènent des actions
d’information, de sensibilisation ou de
formation à destination des collectivi-
tés locales et des services de l’État, des
entreprises et des particuliers.
Une mutation organisationnelle des entre-
prises : de la spécialisation à la transversa-
lité.
Actuellement, l’activité du bâtiment est
organisée en « corps d’état » indépen-
dants. La mise en place de la MDE néces-
sitera des entreprises multicompétentes
(maîtrise et intervention de plusieurs corps
d’état en simultané) : mise en place de
guichets uniques, rassemblant tous les
corps d’état et qui soient en mesure de
dresser le bilan énergétique complet d’un
bâtiment. Les entreprises devront donc se
structurer pour répondre à ces probléma-
tiques.
De nouvelles activités apparaissent :
- Conseil énergétique en rénovation
d’habitat :
possède une vision transver-
sale de la maîtrise de l’énergie dans les
bâtiments, assure l’AMO, est le référent
réglementaire, intervient dans la gestion
des intervenants pour le compte de maître
d’ouvrage
a. État des lieux
b. Facteurs d’évolution, impacts et contraintes
b.1. Facteurs
b.2. Impacts de la MDE
La Maîtrise De l’Énergie (MDE)
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publics ou privés (institutionnels ou
particuliers)
- Bureau d’étude en diagnostic énergéti-
que : réalise diagnostics, recommanda-
tions, montages de dossiers de finance-
ment…
De nouvelles compétences pour les
salariés
Les métiers vont évoluer et s’approprier
des compétences nouvelles du fait des
nouveaux produits. Les professionnels
devront à la fois :
• Maîtriser de nouvelles techniques d’ins-
tallation, notamment dans le bâtiment
• Posséder une connaissance générale sur
la MDE
Réglementaires : L’introduction de
nouveaux matériels et matériaux, de tech-
niques innovantes pose des problèmes
de reconnaissance en termes de normes
et donc d’assurances, ce qui freine leur
déploiement. De plus, certaines normes
nationales ne sont pas applicables locale-
ment.
Par ailleurs, il y a peu de laboratoires
d’analyse pour étudier et formuler des avis
techniques sur ces matériaux ou pour leur
certification. Ce problème est accentué
par la taille critique du marché local.
D’opinion : D’après un sondage effectué
par l’ADEME, si les particuliers sont favora-
bles à cette évolution, le milieu profession-
nel est plus frileux car la MDE nécessitera
de construire en changeant les habitudes
de travail.
De résultat : Les démarches MDE sont
aujourd’hui incitatrices mais la réglemen-
tation thermique devrait imposer des
réductions de toutes les consommations
d’énergie.
•  Financières     : En général, les coûts de
matériaux et de la conception sont plus
élevés pour des bâtiments MDE. Dans le
même temps, La Réunion a des besoins
en logements sociaux, aux budgets de
construction moindres au m². Construire
des logements sociaux à basse consomma-
tion d’énergie pourrait dès lors sembler
difficile. Pourtant ce n’est pas le cas, puis-
que si un Bâtiment à Basse Consommation
(BBC) a un coût global supérieur d’environ
6 à 7% par rapport à un bâtiment tradi-
tionnel, soit un investissement d’environ
120 à 140/m² de plus avec une durée de
vie de 80 ans, par comparaison, la mise
en œuvre d’un dispositif EnR représente
un investissement d’environ 1000/m² sur
20 ans.
Ce domaine va nécessiter la conception, la
prise en compte dans les projets, l’instal-
lation, la maintenance et le recyclage de
nouveaux matériaux. Ainsi, 5 grands axes
d’intervention ont été identifiés :
Les nouveaux bâtiments et les rénova-
tions
40% de l’énergie d’un bâtiment est consom-
mée pour sa construction. Les bâtiments et
les pratiques de leurs occupants, génèrent
une consommation importante d’énergie
électrique. À titre d’exemple, la consom-
mation énergétique des établissements de
santé de l’île est supérieure à la consomma-
tion de ses industries. Afin de réduire au
maximum la consommation énergétique
des locaux, leur construction et leur rénova-
tion vont être impactés par :
- de nouvelles façons de concevoir des
projets immobiliers : approvisionnement,
installation, maintenance et recyclage des
matériaux, raisonnement en coût énergéti-
que global ;
- de nouveaux matériaux ;
- les technologies de l’information et de la
communication (gestion informatisée des
consommations dans les bâtiments : bâti-
ments intelligents) ;
- l’intégration des EnR…
Par ailleurs, la réglementation thermique
qui pourrait être applicable fin 2008/début
2009, viendra par son caractère d’obligation
accélérer la modification qualitative des
métiers du bâtiment de façon conséquen-
te. Des compétences complémentaires et
nouvelles devront se greffer sur des métiers
traditionnels.
Déploiement très probable à horizon de 5
ans : modification des normes et matériaux,
en impliquant de la remise à niveau pour la
grande majorité des métiers du bâtiment.
Ingénierie de la ville et des déplacements
La vie et la ville de nos sociétés modernes
ont été principalement bâties dans la logi-
que économique « meilleur rapport qualité/
prix ». La logique MDE doit aujourd’hui être
mise en équation avec la logique économi-
que. Cette prise en compte va nécessiter de
repenser :
- la ville : conception de bâtiments, de quar-
tiers et voire de villes dans une logique forte
d’adéquation avec leur environnement
immédiat.
- les modalités de déplacement des
hommes : Que ce soit à titre de loisir ou
pour aller travailler, les « pourquoi se
déplacer ? », « pour quoi faire ? » et « com-
ment le faire ? » sont des questions qui se
poseront afin de résoudre les problèmes liés
notamment à la consommation d’énergie. En
effet, les transports représentent 75% de la
consommation énergétique de l’île (Schéma
ARER). Les transports propres ne se limi-
tent donc pas aux véhicules, à leur vente
ou leur maintenance, mais l’ingénierie des
déplacements doit être prise en compte au
niveau de l’urbanisme et aménagement du
territoire (inter modalité entre les types de
véhicule, plan de déplacement d’entreprise,
plan de déplacement urbain…). L’urbanisme
doit permettre de « rationaliser » les dépla-
cements. Par exemple, dans les pays d’Eu-
rope du nord, le rapprochement des lieux
de villégiature et des commerces a permis,
de minimiser les déplacements mais aussi de
rationaliser la dépense d’énergie qui utilisée
en journée dans les grands centres commer-
ciaux est transférée le soir dans les habita-
tions environnantes.
- Déploiement très probable à horizon de 5
ans : activités liées à la conception et à la
mise en place des cadres de déplacement.
De citoyen vers les « éco citoyens »
Changer les comportements passe entre
autre par la connaissance : information,
sensibilisation et formation, tant à un ni-
veau individuel que collectif. Il est indispen-
sable, pour que les « bons comportements »
apparaissent, qu’il y ait la création d’une
conscience collective connotée positive-
ment. La sensibilisation a plusieurs condi-
tions de réussite : la multiplication des
informations, afin de valoriser les pratiques
et outils existants, auprès des publics divers
(école, entreprise, collectivité, etc.), doit
être accompagnée des moyens techniques
qui permettent leur mise en pratique. Par
ailleurs, plus tôt les bons comportements
sont inculqués, meilleurs sont les résultats.
C’est entre autre une des missions de l’ARER
qui dispense formations et informations
auprès de divers publics.
Déploiement très probable à horizon de
5 ans : accroissement des activités liées à
la sensibilisation et à la mise en place des
cadres de déplacement.
c. Les potentiels à 5 ans : INDISPENSABLES et COMPLÉMENTAIRES
> b.2. Impacts de la MDE (suite)
b.3. Les contraintes
La Maîtrise De l’Énergie (MDE)
> Chapitre I
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Actuellement, selon l’ADEME (2006),
il y a environ 50 emplois directement
impliqués dans ce domaine et notam-
ment à l’ARER, à l’ADEME, sur des
activités de sensibilisation, de formation,
d’accompagnement des porteurs de
projets et de coordination de la
recherche et développement ; mais aussi
au sein de quelques entreprises. Par
exemple, la mise en place des Plans de
Déplacement Entreprise (PDE) concerne
des entreprises comme La Poste, la
CINOR et deux bureaux d’études qui
les accompagnent. Par ailleurs, l’ARER
mobilise différents intervenants dans
ses formations.
Ex emple : l’association « les petits
débrouillards ».
La quantification des emplois actuels est
extrêmement difficile dans la mesure
la MDE concerne tous les emplois et
tous les métiers et qu’elle a pour nature
d’être transversale.
À dires d’experts, l’ensemble de la
chaîne de valeur du secteur est susceptible
d’être impactée : de la commande à la
réalisation en passant par la conception,
le choix des matériaux, aux processus
de pose, etc. Cette modification des
compétences nécessitera un important
volet de formation.
L’apparition dans la chaîne de valeur
de nouvelles activités et de nouvelles
expertises va entraîner un besoin quan-
titatif en emploi. Ce besoin nécessitera
de mettre en œuvre de nouveaux pro-
grammes de formation.
Plusieurs nouveaux métiers directement
liés à la MDE ont été identifiés. Ils ont
été distingués par secteur d’activité
(voir tableau ci-après).
d. Les emplois, les métiers et l’offre de formation à La Réunion
d.1. L’emploi actuel
d.2. Évolution de l’emploi et des métiers à horizon 2015
d.3. Les nouveaux métiers : Impact quantitatif et qualitatif
La Maîtrise De l’Énergie (MDE) La Maîtrise De l’Énergie (MDE)
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Métiers Niveau et type de formation de base Compétences attendues/Activités et offre de formation correspondante
Sensibilisation
Formation
Chef de projets
Niveau III à I
technique ou
bâtiment
Compétence : expertise technique de la MDE + méthodologie de projet
Activité : Coordination partenariale et aide au développement des projets
L’offre de formation à La Réunion :
Les formations de type « licence professionnelle » ouvertes à l’IUT (Licence Professionnelle Maîtrise de l’énergie et énergies renouvelables) et au CNAM (Licence STI, Parcours : énergie –
option : énergies renouvelables) sont adaptées à l’exercice de ce métier
Formateur MDE et EnR
Niveau III à I
technique ou
bâtiment
Compétences : connaissance approfondie des outils et principes de la MDE + pédagogie
Activité : Formation à la MDE auprès de divers publics
L’offre de formation à La Réunion :
Les formations de type « licence professionnelle » ouvertes à l’IUT (Licence Professionnelle Maîtrise de l’énergie et énergies renouvelables) et au CNAM (Licence STI, Parcours : énergie –
option : énergies renouvelables) sont adaptées à l’exercice de ce métier
Animateur/
« médiateur énergie » Niveau IV à III
Compétences : connaissance des « actions » à mettre en œuvre dans la logique MDE + pédagogie + relationnel
Activité : Sensibilisation du grand public et des publics spécifiques
L’offre de formation à La Réunion :
Les formations de type BTS Bâtiment ou DUT énergétique, thermodynamique… peuvent correspondre à ce métier. Elles sont présentes à La Réunion.
Industrie
et bâtiments de santé
Animateur MDE Niveau IV à III
Compétences : connaissance des « actions » à mettre en œuvre dans la logique MDE + relationnel + communication
Activité : Sensibilisation des salariés dans les entreprises
L’offre de formation à La Réunion :
Les formations de type BTS Bâtiment ou DUT énergétique, thermodynamique… et les licences professionnelles de l’IUT et du CNAM peuvent correspondre à ce métier. Elles sont présentes à
La Réunion.
Responsable de Service QE MDE Niveau III à II
Compétences : méthodologie Qualité
Activité : conception et vérification de la mise en œuvre d’un système de management de la consommation énergétique
L’offre de formation à La Réunion :
L’IUT de Saint Pierre propose une Licence pro « Qualité hygiène sécurité environnement ». Afin de les rendre polyvalent, un module « optimisation énergétique » pourrait compléter la
formation
Auditeur/conseiller en énergétique Niveau IV à III
Bâtiment ou électricité
Compétences : thermodynamique, bâtiment, méthode, respect du cahier des charges, utilisation d’appareils de mesure…
Activité : réalisation de bilan énergétique et proposition d’amélioration, conseil, élaboration de tableaux de bord.
L’offre de formation à La Réunion :
Les formations de type « licence professionnelle » ouvertes à l’IUT (Licence Professionnelle Maîtrise de l’énergie et énergies renouvelables) et au CNAM (Licence STI, Parcours : énergie –
option : énergies renouvelables) sont adaptées à l’exercice de ce métier
Conseiller en optimisation
énergétique/
Homme énergie/
Consultant en « mégawatt »
Agent d’exploitation des bâtiments
Niveau III à I
Thermodynamique, énergétique ou
Bâtiment
Compétences : expertise technique et technologie MDE, connaissances financières et juridiques approfondies.
Activité : Pour les bâtiments en cours de réalisation, il assure une fonction de « maître d’œuvre consommation » : accompagne le chantier sur le suivi des consommations en eau, électri-
cité, gestion déchets… Dans les bâtiments existants, il propose, conçoit et met en œuvre des solutions d’optimisation énergétique (suivi de consommation, suivi de facturation, achat d’éner-
gie, cogénération…) aux différents stades de vie d’un bâtiment (commande, conception, exploitation, maintenance de haut niveau). Selon les acteurs du domaine, l’économie d’énergie
consécutive à l’intervention d’un « homme énergie » pourrait raisonnablement atteindre 15 à 20%.
L’offre de formation à La Réunion :
Les formations de type « licence professionnelle » ouvertes à l’IUT (Licence Professionnelle Maîtrise de l’énergie et énergies renouvelables) et au CNAM (Licence STI, Parcours : énergie –
option : énergies renouvelables) sont adaptées à l’exercice de ce métier
Bâtiment tertiaire
Transports
Conseiller en mobilité : Niveau III à II
Compétences : connaissance des principes de la MDE + méthodologie d’étude + animation (relationnel fort) + négociation partenariale avec pouvoirs publics et
direction
Activité : Conseille sur les moyens de diminuer l’énergie consommée lors des déplacements. Étudie les impacts humains et organisationnels de la mise en œuvre de Plans de Déplacement
d’Entreprises (PDE) ou administrations. Anime le dialogue avec les acteurs concernés et la définition finale. Peut intervenir sur les transports scolaires (PDS), l’aménagement des quartiers
(PDU)…
L’offre de formation à La Réunion :
Il n’existe pas de formation de ce type à La Réunion. Cette formation d’environ 1 semaine existe en métropole.
Gestionnaire de flux
Niveau III à II
Gestion de flux
Compétences : gestion des flux + maîtrise des principes MDE
Activité : Intervient sur les flux d’énergie, les transports, la logistique… afin d’optimiser les échanges et de minimiser les coûts énergétiques imputables.
Selon les professionnels, il y aurait 50 emplois possibles sur ce métier à La Réunion d’ici 5 ans.
L’offre de formation à La Réunion :
Les formations de type « licence professionnelle » ouvertes à l’IUT (Licence Professionnelle Maîtrise de l’énergie et énergies renouvelables) et au CNAM (Licence STI, Parcours : énergie –
option : énergies renouvelables) sont adaptées à l’exercice de ce métier
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