CONJ • RCSIO Summer/Été 157
Puisqu’il s’agit de mon
tout dernier éditorial pour
la RCSIO, je me suis livrée
à bien des réflexions en vue
de le rédiger. Puis je me
suis souvenue que lorsque
j’ai assumé les fonctions de
rédactrice en chef en 2004, trois de mes
objectifs étaient d’accroître le contenu
en français et notre engagement à cet
effet, de donner à la Revue une présence
en ligne et de susciter l’intérêt des infir-
mières en oncologie travaillant en dehors
des courants principaux de la pratique
oncologique tout autant que celui de leurs
collègues œuvrant dans les centres de can-
cérologie et les hôpitaux. J’estimais alors,
et j’estime encore aujourd’hui, qu’en pri-
vilégiant ces trois priorités, l’information
présentée dans la RCSIO a une incidence
positive sur les soins aux personnes
atteintes de cancer et à leurs proches et
ce, quel que soit l’endroit où ils vivent
dans notre vaste pays.
Je suis fière que l’ensemble du contenu
de la RCSIO paraisse dorénavant dans les
deux langues officielles du Canada et je
suis encore plus fière des infirmières en
oncologie francophones qui soumettent
des articles à la RCSIO et qui font partie
de son comité de lecture ou de son comité
de rédaction. Grâce à leur engagement, la
Revue a la capacité d’accepter des manus-
crits en français et en anglais et de mener
les évaluations par les pairs exigées.
Aujourd’hui, la RCSIO est présente en
ligne par l’intermédiaire du site Web de
l’ACIO/CANO. Les travaux se poursuivent
afin d’offrir en ligne les grands articles
des anciens numéros. Selon le dernier
message reçu de Pappin Communications,
notre éditeur, les articles remontant à 1995
peuvent désormais être consultés dans le
site de l’ACIO-CANO à www.cano-acio.ca.
Je ne sais pas si j’ai réussi à atteindre
mon troisième objectif, mais j’espère que les
infirmières en oncologie sont toujours plus
nombreuses à apprécier l’utilité de la Revue.
Je trouve rassurant que, dans les sondages
auprès des membres, ces derniers veulent
continuer de recevoir la version papier de la
Revue, jusqu’à présent, en tout cas.
En me tournant vers l’avenir, je suis
enchantée que la Dre Margaret Fitch soit
notre prochaine rédactrice en chef. Sa vaste
expérience des soins infirmiers en onco-
logie, à l’échelle nationale et internatio-
nale, bénéficiera assurément à la RCSIO et
à l’ACIO/CANO. J’ai bien hâte de voir notre
revue prospérer sous sa direction.
Somme toute, j’ai passé neuf merveil-
leuses années à la tête de la Revue cana-
dienne de soins infirmiers en oncologie. Je
n’aurais pas voulu manquer un seul moment
de cette expérience. Merci de m’avoir donné
l’opportunité de servir l’ACIO/CANO dans
cette capacité.
Heather B. Porter, B.Sc.inf., Ph.D.
Rédactrice en chef, Revue canadienne de
soins infirmiers
Since this is my last
editorial for the CONJ,
planning to write it has
necessitated some reflec-
tion. Then I remembered
that when I became editor
in chief in 2004, three of my
goals were: to increase French content and
commitment, to put the CONJ online and
to engage the interest of oncology nurses
working away from the mainstream of
oncology practice, as well as those in cancer
centres and hospitals. I felt then, and still
do, that in these three ways, information
contained in the CONJ can positively affect
the care of cancer patients and their fami-
lies wherever they live in our vast country
of Canada.
I’m proud that the CONJ is now pub-
lished completely in both official Canadian
languages and I’m prouder still of the
French-speaking oncology nurses who sub-
mit articles to the CONJ and who are part
of the CONJ review board or the edito-
rial board. Because of their involvement,
the CONJ has the capacity to accept man-
uscripts in either English or French and to
conduct appropriate peer reviews.
The CONJ is now online through the
CANO/ACIO website. Work continues in an
effort to put the main articles from back
issues online, as well. The last note from
Pappin Communications, our publisher, is
that they have uploaded to our CANO web-
site (www.cano-acio.ca) the articles from
1995 onward.
I don’t know if my third goal has been
achieved, but hopefully more oncology
nurses are finding the CONJ useful. It has
been reassuring to note in the membership
surveys that members still want the journal
in print, for now anyway.
To the future—I am delighted that Dr.
Margaret Fitch is the incoming editor in
chief. Her wide experience in oncology nurs-
ing, nationally and worldwide, will bene-
fit the CONJ, and CANO, a very great deal.
I look forward to seeing our journal prosper
under her guidance.
All in all, it’s been a wonderful nine years
for me, as editor in chief of the Canadian
Oncology Nursing Journal. I wouldn’t have
missed a moment of the experience. Thank
you for the opportunity to serve CANO in
this way.
Heather B. Porter, BScN, PhD
Editor in Chief, Canadian Oncology
Nursing Journal
Editorial
Éditorial