PLAN THEORIQUE
I. INTRODUCTION :
les tumeur de l’ovaire c’est tout processus proliférant primitif ou secondaire,
bénin ou malin d’aspect kystique solide ou végétant, dont la croissance n’est pas
directement lié à un dysfonctionnement hormonal.
Parfois la tumeur peut être bénigne touchant généralement des femmes
jeunes ; il s’agit alors d’un kyste (masse solide non cancéreuse) qui ne prolifère
pas mais qu’il est indispensable d’enlever par intervention chirurgicale s’il
persiste ou s’il grossit.
Ou bien une tumeur cancéreuse maligne atteint un ou les deux ovaires,
organes qui assurent la formation des ovules (cellules qui interviennent dans la
reproduction) et produisent des hormones féminines jusqu'à la ménopause. Il
existe plusieurs sortes de cancers selon le type de cellule qui est à son origine : il
s'agit le plus souvent d'un adénocarcinome.
Les tumeurs malignes peuvent se former sur le pourtour externe de l’ovaire
ou à l’intérieur de celui-ci.
Le cancer de l’ovaire est une pathologie parfois sévère, parce que ses
symptômes sont difficiles à déceler et que le diagnostic n’est souvent posé qu’à
un stade avancé de la maladie (75% des cas).
Il est le cinquième type de cancer le plus commun chez la femme et le plus
sérieux cancer gynécologique parce qu’il est diagnostiqué à un stade tardif où le
pronostic est sombre.
II. RAPPELS :
Rappel anatomique
L’appareil génital féminin occupe la loge génitale de la cavité pelvienne, en
arrière de la loge vésicale et en avant de la loge rectale. La loge génitale est
limitée en ventral par le septum vésico-vaginal, en dorsal par le septum recto-
génital et latéralement par les lames sagittales.