Comme la majorité orité des es étoile étoiles froides, le Soleil oleil ppossède un ch champ am mp magnétique, produit (pense t’on) par effet ffet ddynamo à la base se dde ses couches uches bouillonnantes externes (occupant enviro environ un tiers du rayon nv yon du Soleil). eil) A la surface, le champ magnétique se concentre taches, où centre surtout dans less ta ù il atteint une intensité de 0.3 Tesla (environ on 5 000 fois plus fort qque celui de la Terre). Il a été détecté pour la première fois pa par le physicien américain mé George Hale en 1908 en utilisant l’effet Zeeman (découvert 12 ans plus n (d co us tôt). Les modèles prédisent que le champ magnétique qu à ll’intérieur du Soleil ei est encore plus intense, nse, de l’ordre de 10 Tesla. es Détail d’une tache solaire vue par le télescope DOT © Dutch Open Telescope C’est grâce à son champ magnétique que le Soleil possède une couronne (composée d’un gaz ténu chauffé à 1 million de K) et un vent (constitué d’un flux de particules qui s’échappent de la couronne à une vitesse de 400 à 800 km/s). C’est encore lui qui déclenche les violentes éruptions qui bombardent la Terre de particules, et qui sont suivies avec attention par les satellites d’observation du Soleil SOHO et STEREO de l’ESA et de la NASA. Si le champ magnétique du Soleil est très complexe à la surface, présentant en particulier de nombreuses boucles joignant les taches, il est relativement simple à grande échelle et ressemble alors à celui d’un aimant (dipole) ou à celui de la Terre. Le champ dipolaire du Soleil est peu intense, à peine 10 fois plus fort que celui de la Terre. Le champ magnétique du Soleil varie avec le temps. En particulier, son champ dipolaire bascule tous les 11 ans environ : c’est le cycle solaire. Le champ magnétique du Soleil est également variable sur des durées beaucoup plus longues (siècles, millénaires) et participe probablement aux variations du climat terrestre. Boucles magnétiques à la surface du Soleil, vues par le satellite TRACE © NASA/TRACE Variations de la couronne au cours du cycle solaire de 11 ans © YOHKOH/ISAS/NASA