FA5 exercices 1. correction

FA5 exercices correction
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Type 2.1 + questions : exercice 6 page 370
1. L’AVC du sujet é a atteint son cortex occipital droit. Sur le sujet témoin on voit bien que les aires
corticales occipitales son mobilisées dans la lecture : ce sont les aires du cortex visuel qui permet
d’identifier la forme des lettres. Les mots épelés font appel à l’aire auditive et les mots tracés
mobilisent l’aire tactile.
Les aires assurant l’association à un sens et la mobilisation de la mémoire ne semblent pas atteintes.
2. Chez le sujet 3 les zones activées par la lecture sont localisées au niveau de l’hémisphère gauche,
alors que chez le sujet « les zones sont localisées dans l’hémisphère droit de façon
approximativement symétrique à celle du témoin ;
Cette localisation n’est pas naturelle et sa mobilisation nécessite une faible latence.
3. L’ablation chez le patient avant qu’il n’apprenne à lire a été compensé par la mobilisation d’un
autre circuit neuronal dans le cortex : il s’agit d’une expression de la plasticité cérébrale.
4. Le cortex est capable de se réorganiser et de recruter d’autres connections afin de compenser une
lésion.
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Type 2.1+ questions : exercice 10 page 372
1. Les aires cérébrales impliquées dans la vision et l’audition sont observables sur le sujet témoin :
audition : lobe temporal
Vision : lobe occipital
Chez le sujet sourd de naissance, la vision des gestes active les aires visuelles mais aussi auditives et
inversement, chez les sujets aveugles l’audition de sons entraîne l’activation des aires auditives ET
visuelles.
Nous nous serions attendu à ce que les aires visuelles chez un aveugle (pas de stimulations) et auditives
chez un sourd (pas de stimulations) de naissance ne puissent pas être activées.
2. Les connections des neurones corticaux se sont réorganisées. Une partie des aires non stimulées ont
été redistribuées et réattribuées. Une partie du cortex visuel (ou auditif) a été réaffecté au traitement
des stimulations existantes.
Il s’agit donc d’une capacité du cortex à modifier ses connections synaptiques afin de compenser et de
potentialiser le traitement des informations.