Vous avez remporté le prix « Entreprise responsable » en 2013. Qu’êtes-vous devenue
depuis ?
« La fondation se développe beaucoup et nous recevons toujours plus de demandes de
financement ! Nous avons beaucoup travaillé sur la communication et sommes apparus dans
de nombreux journaux. Nous organisons aussi des congrès, des rendez-vous, avec les
établissements de santé, pour discuter de tous ces projets.
Depuis quelques années il y a une certaine prise de conscience sociale. Tout le monde reconnait
l’absolue nécessité des médicaments. Il n’empêche que, dans une certaine logique de
développement durable, on pense au long terme et on souhaiterait remplacer certaines prises
de médicaments quotidiennes par des pratiques plus douces.
Qu’avez-vous retenu de cette expérience ?
« Je me rappelle d’un moment festif et aussi l’occasion de rencontrer des femmes courageuses.
Ces Trophées sont l'occasion de faire reconnaître tout ce qu’on a pu accomplir et d’entretenir
son réseau, ce qui est d’une importance cruciale. Aujourd’hui je suis toujours en contact, amical
et professionnel, avec des femmes rencontrées ce jour-là.
Les Femmes de l’économie en sont aujourd’hui à leur cinquième année d’existence, que
souhaiteriez-vous dire à nos candidates ?
« Osez ! Il faut se dire que tout est possible. Il y a toujours eu beaucoup de femmes dans le secteur
médical mais de plus en plus de femmes sont médecins à présent ! Il faut compter sur des appuis
possibles. »