\V.« î>M Ix-m'L DE L'EUROPE > aux Ateliers Berthier

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\V.« î>M Ix-m'L
DE
>
L'EUROPE
aux Ateliers
Berthier
MAXIME GORKI / PATRICK PINEAU
JEAN-CHRISTOPHE BAILLY / GEORGES LAVAUDANT
5/27 OCTOBRE
Portraits Dansés -
Le tour du
monde
PARCOURS CHORÉGRAPHIQUE / INSTALLATION VIDÉO
GROUPE CLARA SCOTCH / PHILIPPE JAMET
tultO
Georges.Lavaudant, mai 2002
I
Voici venu le temps des travaux. Notre théâtre va fermer. Sa dernière rénovation
d'envergure remonte à un demi-siècle. Deux ans ne seront pas de trop pour lui
donner une vigueur nouvelle. Nos deux prochaines saisons seront donc programmées aux Ateliers Berthier. Nous vous y convions à poursuivre notre "voyage des
comédiens", aux côtés de notre troupe et d'autres compagnons de route aussi
talentueux que fidèles.
Patrice Chéreau avait déjà fait à l'Odéon l'honneur et l'amitié d'y réaliser ses
quatre dernières mises en scène. Il a accepté de revenir au théâtre pour inaugurer
le Grand Berthier - notre nouvelle salle de près de 500 places - avec une Phèdre
interprétée par Dominique Blanc. Pour ma part, je vais retrouver Jean-Christophe
. Bailly. Déjà au temps de Lumières, on 1994, il me parlait d'un projet inspiré de
certaines gravures ou cartons à tapisserie de Goya (sur l'un de ces cartons, au
Prado, on peut voir "el pelele", un pantin désarticulé qu'une ronde de jeunes
filles fait sauter dans une couverture pendant les fêtes du carnaval). Un tableau de
Poussin est venu se mêler à sa rêverie, avec d'autres ingrédients plus secrets, pour
former un très beau poème de scène, comme une confidence mystérieuse et grave.
Pendant que je poserai ainsi un nouveau jalon dans le dialogue amical que je
poursuis depuis vingt ans avec l'écriture de Bailly, Patrick Pineau va passer de la
direction d'un seul acteur à la mise en scène de tous les comédiens de notre troupe,
auxquels s'adjoindront quelques amis, dans une pièce de Gorki trop rarement jouée.
Trois spectacles. Le déménagement nous contraint en effet à écourter notre saison,
qui ne s'ouvrira (exception faite du cas particulier qu'est Portraits Dansés) que
début 2003. Il nous reste d'ailleurs à la compléter sur son versant européen
ou international, du moins si nous parvenons à franchir les obstacles budgétaires nés
de circonstances si exceptionnelles dans la vie de notre institution. Nous y travaillons.
Phèdre
de JEAN RACINE / mise en scène PATRICE CHÉREAU
décor Richard Peduzzi
costumes : Moidele Bickel
lumière : Dominique Bruguière
maquillage et coiffure : Kuno Schlegelmilch
avec Nathalie Bécue, Dominique Blanc, Michel Duchaussoy, Pascal Greggory,
Marina Hands, Michelle Marquais, Eric Ruf, Agnès Sourdillon
production : Odéon-Théâtre de l'Europe, RuhrTriennale
En 1995, à la fin des répétitions de Dans la
solitude des champs de coton, la costumière Moidele Bickel dit à Patrice
Chéreau : "Maintenant, tu dois faire
Racine, et de la même façon", ajoutant
qu'il lui revenait d'en explorer la langue
"comme cela". L'invitation, dans ce
qu'elle avait d'énigmatique, n'était pas
faite pour être oubliée ; en relisant Racine,
Chéreau vit le sens qu 'elle prenait pour lui.
La traversée de l'œuvre de Koltès l'avait
peut-être préparé à déchiffrer, sous la
clarté des chaînes de la syntaxe, la hantise
d'une autre face du langage, fuyante,
enfouie, indicible, condamnée pourtant à
s'ouvrir avec insistance une voie vers le
jour. Phèdre est la grande tragédie des
aveux, que l'inavouable sous-tend à
chaque pas. Toute l'intrigue est rythmée
par l'agonie, formant une brève parenthèse solaire et implacable séparant les
deux protagonistes de leur fin. Phèdre et
Hippolyte sont comme les deux versants
RUHRtriennaleM
d'un même destin (Racine associe
d'ailleurs leurs deux noms en 1677 dans le
titre de l'édition originale, dont la ponctuation fluide et sinueuse a la préférence de
Chéreau). L'un de ces versants est pur ;
l'autre est maudit. Mais ils ne se laissent
pas séparer et semblent dans leur duel se
contaminer
l'un
l'autre,
nouant
d'étranges complicités. L'un et l'autre,
succombant à la tentation, laissent échapper une parole qui nomme leur désir ou
leur faute, et que rien ne rattrapera plus.
L'un et l'autre, en gardant le silence sur
leur face-à-face, se feront complices d'un
même secret fatal. Et tous deux, quand
s'ouvre le drame, sont en fuite. Dès le premier vers, Hippolyte proclame sa décision :
partir à la recherche de Thésée. Rêvant
d'errance et d'aventure, il se voudrait
l'émule de son père, "Héros intrépide" qui
purgea l'univers de ses "Monstres étouffés". Phèdre, dès son entrée, annonce en
revanche qu'il lui faut "demeurer". Elle ne
peut disparaître qu'en se laissant mourir,
marchant ainsi sur les traces d'un époux
"qui va du Dieu des morts déshonorer la
couche". Hippolyte voudrait filer à la surface du monde ; Phèdre, s'enfoncer vers
les Enfers. De Thésée, le grand absent
héroïque et volage, le maître paradoxal de
l'ordre et de la jouissance, dont la volonté
fait loi au point que ses paroles prennent
corps, son fils voudrait imiter les exploits,
et son épouse, la puissance de transgression... Pour explorer les secrets de cette
"injuste Famille", Patrice Chéreau a réuni
Pascal Greggory (Thésée), Eric Ruf
(Hippolyte) et Michelle Marquais (Oenone),
Michel Duchaussoy (Théramène) et Marina
Hands, Agnès Sourdillon et Nathalie
Bécue. Et c'est à Dominique Blanc (que le
public de l'Odéon a tant aimée dans Une
maison de poupée, en 1997), qu 'il a choisi
de confier, après des années de travail
commun, l'un des rôles les plus importants et les plus lourds du répertoire.
Pendant les travaux de rénovation de son bâtiment principal,
l'Odéon-Théâtre de l'Europe continue ses activités artistiques aux Ateliers Berthier.
Les travaux de l'Odéon-Théâtre de l'Europe débuteront à l'automne 2002, pour une réouverture prévue à l'automne 2004. Il s'agit des plus
importants travaux Téalisés depuis 1930. Les installations techniques (plateau, cage de scène, dessous) seront modernisées. La salle seTa climatisée et restaurée pouT un plus grand confort et une meilleure visibilité,les foyeTs du public retrouveront leur éclat. De nouveaux espaces d'accueil
seront installés sous le hall d'entTée, les accès handicapés seront enfin aux normes. Une mise en conformité aux nouvelles normes de sécurité
sera effectuée. Les bureaux seront rafraîchis. L'Etat investit 30 millions d'Euros dans cette opération, qu'il a confié à l'Etablissement de Maîtrise
d'Ouvrage des Travaux Culturels et à Alain Charles Perrot, architecte en chef des monuments historiques.
Pendant ce temps, l'Odéon s'installe dans un ancien entrepôt de décoTS de l'Opéra Comique, Boulevard BerthieT. Il conduit les travaux nécessaires
pour le transformer en une vraie salle de spectacles modulable d'environ 500 places, dotée d'un espace d'accueil adapté pouT le public.
Les
Barbares
de MAXIME GORKI / mise en scène PATRICK PINEAU
traduction : André Markowicz
dramaturgie : Eugène Durif
scénographie : Sylvie Orcier
lumière : Marie Nicolas
musique et son : Jean-Philippe François
avec la troupe de l'Odéon (distribution en cours)
production : Odéon-Théâtre de l'Europe
Qui connaît Les Barbares aujourd'hui ? Du théâtre de Gorki, on joue surtout Les Basfonds. A l'Odéon, Lluis Pasqual a mis en scène Les Estivants en 1994. Les Barbares, en
revanche, est une pièce trop peu montée (elle le fut en France au Théâtre Récamier, en
1965). Peut-être est-ce dû au réalisme complexe et dense d'une écriture qui fait songer
tantôt à Tchékhov, tantôt au cinéma. La distribution comprend plus de vingt personnages,
de tous âges et de tous types sociaux. Tous vont et viennent dans différents plans, à
différentes profondeurs, se croisent et parfois disparaissent aussi inexplicablement
qu'ils étaient apparus. Dans chacun des quatre actes, l'intrigue ou plutôt les actions
multiples se déroulent sans solution de continuité, progressant côte à côte, interférant, divergeant à nouveau, à coups de minuscules
rebondissements, déroulant.aux yeux du lecteur une fresque grouillante, tournoyante, de la vie quotidienne à Verkhopolié, le genre de
petite ville de province où l'on parle sans cesse de partir sans jamais passer à l'acte, où l'on s'épie entre voisins en menant ses
petites affaires, où il se passe constamment quelque chose et rien - jusqu 'au jour où deux ingénieurs font irruption pour préparer
l'arrivée du chemin de fer. On croirait presque du Tchékhov, en effet, à cette différence près que se sont effacés les derniers échos
d'un monde ancien dont La Cerisaie ou Les Trois Soeurs annonçaient le crépuscule. Le désœuvrement d'existences cherchant à
tromper leur vacuité sous la surveillance obsédante du regard d'autrui ne se détache même plus sur un fond discrètement nostalgique. L'inertie de Verkhopolié va s'ouvrir au monde : "on va enfin pouvoir venir chez nous", s'écrie l'un des habitants. Mais cette
ouverture a d'autres effets. Soit que les vérités se disent, soit que les passions se rallument, soit enfin que naissent d'étranges tentations, l'arrivée des ingénieurs étrangers jette une lumière crue - qui ne les épargne pas eux-mêmes - sur les habitudes
médiocres nées de l'isolement, sur les petits privilèges locaux, sur toutes les formes d'humiliation et d'asservissement, qu 'elles
soient politiques, familiales, conjugales, dont se nourrit l'égoïsme de chacun. Sur les idéaux, aussi : sur le bovarysme naïf, sur le
romantisme attardé, sur le nietzschéisme vulgaire et mal compris. Car rien ne va plus de soi, et les Barbares sont peut-être partout.
Ce théâtre-là, dans son humanité foisonnante, paraît taillé sur mesure pour une compagnie d'acteurs. Ceux de la troupe de
l'Odéon avaient déjà songé à l'interpréter. Avec quelques amis, ils se lancent dans l'aventure sous la direction de Patrick Pineau.
El
Pelele
de JEAN-CHRISTOPHE BAILLY
mise en scène GEORGES LAVAUDANT
distribution en cours
production : Odéon-Théâtre de l'Europe
Un dieu passe dans la montagne. Il est aveugle et ne veut pas se laisser voir. Son
guide, le temps d'une ou deux nuits, voudrait s'écarter de la ligne de crête pour se
risquer dans la vallée. Désire-t-il revoir ses semblables ? "Les hommes, non, mais
des tombolas, des lumières, des danses, oui". A mesure qu'il descend, quittant les
hauteurs de la légende, El Pelele, dit El, dit Pedro, rejoint notre terre et notre temps :
une Espagne de notre siècle, secrètement transfigurée par la lueur précaire des
fables, comme si le géant resté à flanc de montagne était en train de la contempler
en songe avant de reprendre sa marche vers le soleil levant. Dans cette contrée,
l'hospitalité, quand elle n'est pas menacée, est aussi simple et silencieuse qu'un
geste de la main. Le riche d'autrefois y parle de sa jeunesse au pauvre de toujours ;
le forain et le gitan échangent des nouvelles sur les brutes de la buanderie, qui
seraient parties traquer, dit-on, un géant surpris sous les rochers de l'Ane Pendu.
El Pelele a la transparence d'un conte, l'étrangeté fuyante d'une rêverie. Ce conte
s'adresse en nous au sens de l'enfance - mais une enfance sévère et sans illusions
- qui réclame d'être nourri et réveillé, encore et toujours, le temps de suspendre
nos certitudes comme on ouvre une porte. Cette rêverie se déroule avec la légèreté
capricieuse et discrète d'une mélodie savamment improvisée que hanteraient de
lointains échos de Peer Gynt ou de Pinocchio. Le monde y prend de la hauteur, y respire un air plus libre et toujours plus rare. Depuis Les Céphéides, créées en 1983 au
Festival d'Avignon, Jean-Christophe Bailly lance de loin en loin à Georges
Lavaudant, comme autant de défis amicaux ou de "parades sauvages" dont il lui
laisse trouver la clef, ses poèmes de théâtre, tissés de voix, de souvenirs, de silhouettes
énigmatiques, d'allusions à la route qu'ils ont frayée ensemble sur les scènes
contemporaines. El Pelele marque les vingt ans de leur amitié artistique.
Sont partenaires de l'Odéon-Théâtre de l'Europe
Portraits
Dansés
Le tour du monde
Parcours chorégraphique / installation vidéo
une idée originale de Philippe Jamet
écrit par Philippe Jamet, Didier Jacquemin, Philippe Demard
avec 7 danseurs (distribution en cours]
M
Production : Odéon-Théâtre de l'Europe avec l'AFAA
Coproduction : Groupe Clara Scotch, Théâtre national de Chaillot, Théâtre du MerlanScène nationale de Marseille, Théâtre Granit-Scène nationale de Belfort,
Contre Jour-Centre Chorégraphique national
de Franche-Comté
WL
avec la collaboration des services culturels
des Ambassades de France
Association Française d'Action Artistique
L 'Odéon aux Ateliers Berthier
Abonnement Individuel :
01 44 41 36 38 / [email protected]
Carte Complice et Carte J [en cours de validité) :
01 44 41 36 84 / [email protected]
Abonnement, comités d'entreprise, groupes d'amis :
01 44 41 36 37 / [email protected]
Groupes scolaires et universitaires, associations d'étudiants :
01 44 41 36 39 / [email protected]
Renseignements par téléphone au 01 44 41 36 36, du lundi au samedi de 11 h à 19h.
Odéon-Théâtre de l'Europe aux Ateliers Berthier Grande Salle et Petite Salle
Entrée du public : 32 bd Berthier - 75017 Paris
Métro : Porte de Clichy (ligne 13 / sortie av de Clichy / Bd Berthier - côté Campanile)
RER : Porte de Clichy (RER C) - Bus : PC, 54, 74. Autobus de nuit n°NC (vers Châtelet)
GROUPE
CLARA;
SCOTCH
Trois ans après le succès remporté par
"Portraits Dansés" à la Cabane de
l'Odéon, c'est à un tour du monde en
un peu plus de quatre-vingt-dix portraits que nous convient le chorégraphe
siNn Si?:rïS38Philippe Jamet et le Groupe Clara
Scotch. D'avril 2000 à avril 2002, Jamet a repris son projet dans huit
pays de la planète. Ce second volet de l'expérience tient à la fois de
l'enquête sociologique, de la chronique intime et de l'exposition d'art
contemporain - un objet inclassable, ni danse ni documentaire, qui
s'impose avec une évidence étonnante. Comme pour la première série
de portraits, Philippe Jamet est parti à la rencontre de gens de tous
âges, disposés à répondre à ses questions simples, toujours les mêmes,
proposant les gestes qui selon eux traduisent le bonheur, le malheur,
l'amour, dansant sur des musiques qu 'ils ont eux-mêmes choisies. Les
spectateurs feront par exemple la connaissance d'un vieillard de
Ouagadougou qui combattit autrefois dans les rangs de l'armée française, pour qui le malheur se signifie d'une seule main sous le menton,
parce qu'un homme, dit-il, doit toujours garder libre son autre main
(Jamet a retrouvé ce même geste au Vietnam). A New York, ils constateront que les sujets des entrevues, tous nés aux USA, conservent dans
leur gestuelle un dernier souvenir, presque imperceptible, de leurs
origines, alors même qu'ils ne parlent plus la langue de leurs aïeux.
Les villes seront présentées en quatre fois deux paires, de façon à souligner certains contrastes rythmiques (par exemple, entre la retenue
lente et mesurée à la japonaise et la vive improvisation des Brésiliens)
ou à dégager des analogies inattendues (ainsi de l'expressivité des
mains en Italie et au Vietnam). En différents points de l'exposition vidéo,
des danseurs viendront interpréter des chorégraphies inspirées des
mouvements recueillis dans leurs pays respectifs, apportant à ce dialogue
du proche et du lointain, de l'art et du quotidien, de l'image et de
l'immédiat, le vivant complément de leur propre témoignage dansé.
Portraits Dansés - Le tour du monde
186-188 Quai de Valmy - 75010 Paris / Métro : Jaurès ou Stalingrad
Tarifs
Plein tarif : 12 €
Tarifs réduits (groupes, demandeurs d'emploi, scolaires...) : 8 €
Horaires et modalités de réservation
Du mardi au samedi de 17h à 23h (dernière entrée à 21 h).
Le dimanche de 15h à 21 h (dernière entrée à 19h).
Réservation par téléphone (01 44 41 36 36)
à partir du mardi 24 septembre 2002
Au guichet du 186-188 Quai de Valmy - 75010 Paris :
de 16h30 à 21 h du mardi au samedi et de 14-h30 à 19h le dimanche.
Sur place, seuls les paiements par chèque ou par espèces sont
acceptés (pas de Carte Bancaire).
Entrée du coucher au lever du soleil pour la soirée d'ouverture
du 5 octobre 2002 dans le cadre de "Nuit Blanche", parcours artistique
nocturne à l'initiative de la Ville de Paris.
Toute correspondance est à adresser à :
Odéon-Théâtre de l'Europe
1 place Paul Claudel - 75006 Paris
Tél. : 01 44 41 36 00 / Fax : 01 44 41 36 01
Grille tarifaire (série unique) - Ateliers Berthier - Grande Salle et Petite Salle
Plein Tarif : 26 €
Carte Complice : 2001-2002 : 19 €
Carte J : 2001-2002 : 5 €
Groupe : 20 €
Demandeurs d'emploi : 20 €
Groupes Scolaires : 13 €
Jour J * : 13 €
Jeunes de moins de 30 ans ou étudiants. Un contingent de places est maintenu pour toutes
les représentations. Réservez le jour même vos places et payez les le soir même, au plus tard
1h avant le début du spectacle.
Location - Ateliers Berthier - Grande Salle et Petite Salle
> Par téléphone, au 01 44 41 36 36 du lundi au samedi de 11h à 19h
> Par internet, www.theatre-odeon.fr
> Au guichet des Ateliers Berthier 1 h30 avant le début des représentations
Modes de règlement
Chèques libellés en euros sur des chéquiers en euros compensables en France
> Cartes bancaires ou espèces en euros.
Règlement possible par Carte Bancaire à distance.
Si vous désirez payer par chèque, vous avez 5 jours pour régler votre réservation.
Au-delà, elle sera annulée. Si vous réservez par téléphone dans les 3 jours qui
précèdent la représentation de votre choix, seul le règlement par Carte Bancaire
à distance est possible. Les billets ne sont ni repris, ni échangés.
Ouverture de location pour Phèdre
Abonnés et adhérents
mardi 5 novembre 2002
Tout public
mardi 19 novembre 2002
Horaires Ateliers Berthier Grande Salle et Petite Salle
20h du mardi au samedi / 15h le dimanche
Librairie et Bar
Un bar et une librairie sont à votre disposition aux Ateliers Berthier.
Internet
Visitez régulièrement notre site internet. Une mise à jour quotidienne
vous donne une information en temps réel sur l'activité du Théâtre. La billetterie
en ligne (en partenariat avec ticketclic.fr) vous permet de réserver vos places
depuis votre domicile.
La brochure saison sera disponible à l'automne 2002
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