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Volume XXXVII, numéro 29
le mardi 26 avril 2011
Exposition d’affiches
scientifiques
Le mercredi 27 avril
Venez visiter l’exposition d’affiches
scientifiques des étudiantes et étudiants
des programmes de SCIENCES HUMAINES
et de SCIENCES DE LA NATURE, intitulée
Sciences et société... des phénomènes,
des évènements. Cette activité
aura lieu le mercredi 27 avril,
de 12 h 30 à 14 h 30, au Carrefour.
Venez encourager les étudiants des
cours Initiation à la recherche en
Sciences humaines, Chimie générale et
Activité d’intégration en Sciences de la
nature en leur posant des questions sur
leurs recherches. Vous en apprendrez
davantage sur des sujets variés et
intéressants !
École de
leadership
Prends part
aux activités,
le samedi 30 avril,
au Carrefour !
C’est ta dernière chance de participer
aux activités de l’École de leadership,
ce samedi. Au programme :
10 h
Techniques de communication
– Affirmation de soi : apprendre
à dire non
11 h 30 Techniques de communication
– La communication
persuasive 2
13 h
Atelier – Développement
d’idées et remue-méninges
14 h 30 Atelier – Travailler en équipe
Toutes les activités sont gratuites pour
les participants.
Information et inscription
auprès d’Habib El-Hage
([email protected])
Venez encourager le
finaliste rosemontois
à Ma première Place
des Arts, le 4 mai
prochain !
Félicitations à Julien Gagné, étudiant en
ARTS ET LETTRES au Collège, qui a été
désigné finaliste du concours Ma première
Place des Arts, où il a présenté avec brio
cinq de ses chansons le 7 mars dernier.
Venez l’écouter et l’encourager à l’occasion
de la finale du concours, qui se tiendra le
mercredi 4 mai, à la Cinquième Salle de la
Place des Arts.
Les billets sont en vente au cout de
20 $. Il est possible de s’en procurer en
téléphonant à la billetterie (514 842-2112)
ou directement auprès de Julien Gagné.
Consultez le profil de Julien
(www.myspace.com/juliengagne) et venez
contribuer à son succès, le 4 mai prochain !
Encore une fois, Julien, nous te souhaitons
beaucoup de succès !
Jacinthe Heppell,
conseillère aux Affaires étudiantes
L’Agence
de communication
du Collège fête
les 20 ans de
La Boîte à Marius !
Le vendredi 6 mai, à 15 h,
au Café Show du Collège
(www.laboiteamarius.com)
Des étudiantes d’ARTS ET LETTRES
impliquées dans l’agence Communication
et médias organisent une fête pour
souligner le 20e anniversaire de La Boîte
à Marius, une boite à chanson du quartier
Rosemont. Pour l’occasion, l’atmosphère
chaleureuse de la boite sera recréée au
Collège, avec chansonniers, spectacle,
présentation et anecdotes du fondateur
de la boite, Marius Castonguay, et
de son porte-parole, Éric Richer. Une
consommation gratuite vous sera servie
à l’entrée !
Bienvenue à toutes et à tous !
Lysanne Côté,
Annabelle Jenneau-Younès,
Annabel Lamontagne,
Marie-Laure Roux,
étudiantes en ARTS ET LETTRES
Demande de DEC
Tous les étudiants qui prévoient terminer
leurs études collégiales cette session
sont priés de se présenter le plus tôt
possible au comptoir du Registrariat
(local A-209) pour faire leur demande de
diplôme.
Pour recevoir votre diplôme, vous devez
remplir le formulaire prévu à cet effet.
À noter : la cérémonie de remise de
diplômes se tiendra en novembre
prochain pour les diplômés des
promotions d’automne 2010, d’hiver et
d’été 2011. Le Collège vous fera parvenir,
à l’automne, une invitation officielle pour
la cérémonie.
Le Registrariat
Concours de création
littéraire du Collège
de Rosemont
Thème : LA PEUR
QUI S’ÉCRIT
Bourses de 75 $ à 200 $ à gagner !
Quand la peur nous prend, elle se
manifeste sous plusieurs formes :
paralysie ou panique, silence ou cri. Et
si la peur s’écrivait, quels en seraient les
mots ? Dans un texte de fiction d’environ
cinq pages (nouvelle, poésie ou théâtre),
parlez-nous de la peur que vous portez,
de la peur qui vous porte, de cette peur
qui s’écrit.
Règlements et informations
auprès de Nicholas Dawson
([email protected]),
ou au local A-434-1.
Date de remise des textes :
le mercredi 27 avril 2011
Inscrivez-vous
au Défi Climat avant
le 30 avril !
Cette année encore, le Collège de
Rosemont s’implique dans la lutte aux
changements climatiques et participe à la
4e édition du Défi Climat ! Vous pouvez être
de la partie en vous engageant à poser des
gestes pour réduire les émissions de gaz
à effet de serre. Comment vous inscrire ?
Rendez-vous sur le site Internet du Défi
Climat (www.deficlimat.qc.ca) et inscrivezvous en remplissant le court formulaire.
N’oubliez pas d’indiquer que vous êtes du
Collège de Rosemont ! Tout cela prend
moins de cinq minutes et vous courez la
chance de gagner plusieurs prix si vous
vous inscrivez avant le 30 avril ! Restez
également à l’affut des différentes activités
qui auront lieu au Collège !
Épreuve uniforme
de français :
le 18 mai 2011
Si vous faites votre demande de
diplôme au terme de la session
d’hiver 2011, sachez que la réussite
de l’Épreuve uniforme en langue
d’enseignement et littérature (EULEL)
est nécessaire pour l’obtention de ce
dernier.
Si vous suivez actuellement le cours
601-103-MQ (Littérature québécoise),
votre inscription à l’Épreuve est
automatique.
Si vous avez déjà échoué à l’Épreuve,
votre inscription est également
automatique.
Par contre, si vous avez réussi des
cours de français de l’ancien régime
pédagogique, vous ne recevrez pas de
convocation pour l’épreuve qui aura lieu
le 18 mai 2011, même si vous suivez
actuellement le cours 601-103-MQ,
Littérature québécoise. Vous devez
donc vous y inscrire en vous présentant
au Registrariat (local A-209).
Seuls les élèves dument inscrits seront
admis.
Inscription : jusqu’au 6 mai,
au local A-209
D’excellents outils de préparation
à l’Épreuve uniforme en langue
d’enseignement et littérature (EULEL)
sont disponibles au Centre d’aide en
français (CAF), situé au local A-494.
Le CAF
a besoin d’aides
pour la session
d’automne 2011
Si tu veux devenir assistant ou assistante
au Centre d’aide en français (CAF), c’est
le temps !
• Si tu as de bonnes notes en français,
• si tu désires enrichir tes
connaissances linguistiques,
• si tu as le gout d’aider un ou une
collègue qui éprouve des difficultés en
français…,
tu peux t’inscrire au cours Relation
d’aide en communication française écrite
(CAF), lequel se substitue à ton cours
de formation propre en français. Au
préalable, tu n’auras qu’un court test à
passer au CAF, local A-494.
L’équipe du CAF a hâte de t’accueillir !
Problème nº 828
Casser la chaine
Citation hebdomadaire
« Les hommes ont peur de la mort, comme les enfants du noir ; chez les enfants, cette peur
est due aux histoires qu’on leur raconte, chez les hommes aussi. »
Maya Angelou
Pour plus d’information sur les activités entourant le Concours Philosopher,
consultez votre professeure ou professeur de philosophie, ou adressez-vous
au CARAPH ([email protected]).
Concours Philosopher 2011 : www.concoursphilosopher.qc.ca
Participe
au jeuquestionnaire
Recherches
sociales et
deviens célèbre !
Problème nº 2
Le programme TECHNIQUES DE
RECHERCHE SOCIALE s’intéresse aux
méthodes quantitatives et aux méthodes
qualitatives. Voici une deuxième
question, cette fois, en lien avec la
recherche qualitative.
La recherche qualitative a pris son essor
avec l’École de Chicago. Nommez une
célèbre anthropologue de cette école.
Indice : le livre... Samoa.
Faites parvenir votre réponse
à l’adresse courriel suivante
([email protected]),
en mentionnant votre nom.
La solution à ce problème sera publiée
dans le prochain Ici Rosemont,
accompagnée du nom de la première
personne qui aura répondu correctement
à l’énigme.
Solution du problème nº 1
La réponse à la question de la semaine
dernière est Karl Pearson.
La personne la plus rapide a été Joanie
Boivin, étudiante en TECHNIQUES DE
RECHERCHE SOCIALE.
Jean-Guy Banville, professeur
au Département de recherche sociale
Élection fédérale
Notez que le Collège est ouvert, et que
toutes les activités sont maintenues le
jour de l’élection du 2 mai prochain.
Concours Citoyen
du monde
aujourd’hui, édition
Automne 2011 :
c’est l’heure de
remettre les prix !
En cette fin de session, le Département
de philosophie et le CARAPH ont le
plaisir de vous convier à la remise
des prix de l’édition Automne 2010 du
concours Citoyen du monde aujourd’hui
et au lancement de la publication des
textes gagnants.
Le mercredi 27 avril
à l’occasion d’un « 5 à 7 »,
à la Bibliothèque
Venez rencontrer les auteurs et
découvrir les réponses proposées par :
• Clément Courteau, étudiant en
ACUPONCTURE
• Mylène Robert-Boire, étudiante en
ARTS ET LETTRES (profil Cinéma).
• Julie Thériault, étudiante en SCIENCES
HUMAINES (profil Monde et société)
Bienvenue à toutes et à tous !
Pour information :
Le CARAPH, local E-231
Poste téléphonique 7431
[email protected]
(Centre d’aide, de référence
et d’animation en philosophie)
On possède une chaine linéaire de
23 maillons. Combien de maillons doit-on
ouvrir pour pouvoir, en réunissant plus
ou moins des segments obtenus, réaliser
toutes les longueurs de chaine possibles,
de 1 à 23 ?
La solution de ce problème sera publiée
dans le bulletin Ici Rosemont de la
semaine prochaine.
Solution du nº 827
Cinq traversées suffisent pour passer
« n » couples sur un bateau pouvant
contenir « n – 1 » personnes.
« n – 1 » femmes montent sur le bateau
et passent sur l’autre rive.
« n – 2 » femmes restent, et l’autre
ramène le bateau.
La femme qui vient de ramer reste avec
son mari et un autre couple.
Les « n – 2 » autres hommes prennent le
bateau pour rejoindre leur femme.
Un couple revient. Les trois derniers
couples passent.
Sophie Delisle,
professeure de mathématiques
Projection de
Chercher le courant
au Collège
Mercredi le 27 avril,
à 12 h 30, au local B-541
Le documentaire Chercher le courant,
qui traite des enjeux financiers et
environnementaux de l’hydroélectricité
au Québec ainsi que des énergies vertes,
sera présenté au Collège, le 27 avril
prochain, à 12 h 30 (local B-541).
Après la projection, Nicolas Boisclair,
l’un des coréalisateurs du film, répondra
aux questions du public et discutera de
solutions possibles aux problématiques
évoquées dans le film. Ce documentaire
est également coréalisé par Alexis de
Gheldere, avec la collaboration de
Roy Dupuis.
Pour plus d’information, vous pouvez
consulter les plateformes suivantes :
• sur Internet :
www.chercherlecourant.com
• sur Twitter :
twitter.com/ chercherlecourant
• sur Facebook :
www.facebook.com/chercherlecourant
Capsule
linguistique
Juste une question
d’argent ?
Le vocabulaire de l’argent est utilisé à
toutes les sauces ; aussi se retrouve-t-il
dans des contextes ou des emplois qui
n’ont pas grand-chose à voir avec les
finances ou la marche des affaires.
Les mots profitable, rentable et bénéfique
font partie de ce vocabulaire de la finance
que nous employons dans nombre de
contextes, comme s’ils étaient de parfaits
synonymes. Il faut toujours être prudent
avec des mots dont le sens « parait »
identique. Une petite enquête sur leur
signification nous révèle en effet que les
réalités qu’ils désignent ne sont pas tout à
fait équivalentes.
Profit, bénéfice et rentabilité ont certes
en commun leur origine latine, mais leur
dissemblance sur le plan formel indique
des différences sur le plan de leurs
significations respectives.
Le mot bénéfique est un dérivé du verbe
bénéficier qui origine de la locution latine
bene facere et qui désignait un service,
une faveur ou une distinction formelle. Le
mot bénéfice est en fait très important au
Moyen-Âge puisqu’il servait à reconnaitre
la donation par un seigneur ou un
membre du haut clergé d’une propriété
comme « marque de bienveillance ou de
rémunération pour les services rendus ».
Progressivement, le mot bénéfique
débordera de ce sens pour s’appliquer à
un contexte commercial au XVIIIe siècle et
adopter le sens que nous lui connaissons
aujourd’hui, à savoir ce qui est favorable
ou salutaire.
Le mot profitable connait une évolution
similaire dans la mesure où sa signification
de départ ne renvoie pas exclusivement
au domaine des affaires. Le mot profit
est apparu au XIIe en français et vient du
préfixe pro (pour, en avant) et du verbe
facere (faire). Il désigne tout simplement,
au sens propre, le fait d’avancer ou de
croitre et, au sens figuré, il est associé à la
notion de progrès. On trouve ce mot dans
quantité d’expressions qui renvoyaient
toutes à l’avantage intellectuel ou moral
que l’on peut tirer d’une situation : tirer
profit de ses connaissances ou tourner
à son profit un geste malheureux sont
des emplois acceptés encore aujourd’hui
et dont le sens n’est pas spécifiquement
commercial. C’est sur une assez longue
période (entre les XIVe et XVIe siècles) que
ce mot adoptera un sens plus spécialisé
pour désigner les avantages financiers ou
les revenus. Le domaine de la comptabilité
introduira dans son lexique les expressions
profits et pertes seulement au XIXe siècle !
De nos trois larrons, rentable est le seul
mot dont l’acception initiale appartient au
domaine de l’argent, et il est resté fidèle
à cet emploi jusqu’aujourd’hui. Rentable
dérive du mot rente, un terme introduit
en français au XIIe siècle à partir du latin
populaire rendita, qui signifiait « ce qui rend
l’argent placé ». L’idée d’une restitution est
centrale pour comprendre l’emploi de ce
mot et de ses dérivés. Ainsi, on peut vivre
de ses rentes si elles offrent un rendement
élevé. Rentable est apparu en français dès
le XIIIe siècle pour disparaitre de l’usage
courage quelque trois-cents ans plus tard
et ne revenir en force dans le vocabulaire
courant qu’au XXe siècle ! Ce mot sera
mis en relation avec les termes revenu et
rapport, et cet adjectif servira à qualifier
tout ce qui rapporte de l’argent, tout ce qui
« rapporte un bénéfice suffisant par rapport
à un capital investi ». Par extension, on
finira aussi par l’appliquer à toute activité
qui permet d’accroitre la productivité d’une
entreprise : est rentable ce qui rapporte.
Les parentés de sens sont indéniables.
Le mot rentabilité est utilisé dans des
contextes qui renvoient aux retombées
pécuniaires d’une action : la rentabilité
d’une stratégie, d’un programme, d’un
placement, d’une affaire, d’une opération,
etc. se mesure constamment aux profits
générés. Le bénéfice renvoie aussi aux
résultats financiers d’une entreprise
puisqu’il est considéré comme la mesure
de sa performance économique (bénéfice
net). De même, le profit sert à établir
l’augmentation « des biens que l’on
possède (…) qui résulte d’une activité. »
Malgré des significations « parentes », ces
mots ne sont pourtant pas parfaitement
interchangeables. L’Office québécois de
la langue française (OQLF) distingue
assez clairement les contextes à l’intérieur
desquels il est possible d’utiliser bénéficier
(et, par extension, bénéfique) de ceux
où profiter et profitable sont préférables.
En fait, bénéficier et profiter (suivis de la
préposition de) signifient bel et bien que
l’on tire profit ou avantage de quelque
chose. Toutefois, le verbe profiter implique
que la personne qui « tire avantage
de quelque chose » le fait en toute
connaissance de cause, qu’elle en est
pleinement consciente. Par opposition,
bénéficier de quelque chose suppose qu’il
n’y a pas vraiment eu d’effort conscient de
la part de la personne avantagée, qu’elle
n’a pas cherché activement à profiter d’une
situation. D’ailleurs, l’emploi de bénéfice
dans une expression comme « spectaclebénéfice » met très bien en évidence le
désintéressement qui semble l’apanage de
ce que l’on cherche tout simplement
« à bien faire » ou « à faire pour le bien »
(le bene facere du latin).
Ainsi, on peut très bien bénéficier de
l’estime de son supérieur ; cela signifie
qu’il n’y a pas eu de volonté consciente
d’obtenir une faveur. Cependant, profiter
de l’estime de son supérieur relève bel et
bien du calcul et suppose que la personne
qui jouit des retombées positives de cette
estime était désireuse de les obtenir
et qu’elle a agi en conséquence. Vous
aurez compris que le caractère intéressé
du verbe profiter ouvre la porte à l’abus,
à une quête de profits qui peut devenir
déraisonnable ; aussi, la recherche sans
frein de ce qui est profitable peut conduire
celui ou celle qui ne donne aucune limite
à ses ambitions à être traité de profiteur !
Pareille dérive péjorative est impossible
avec bénéficier et ses dérivés.
Nous espérons donc qu’à défaut d’avoir
été rentable, la lecture de cette capsule
vous aura été profitable puisque vous
bénéficiez maintenant d’une meilleure
connaissance des nuances de sens qui
font tout le charme du français.
Francine Bousquet Pascal
et Benoît Dugas
Responsables du CAF
local A-494 ou poste 7352)
Quand l’appétit va,
tout va !
À la cafétéria, le repas du jour
complet (plat « écono » à 5,10 $ ou
plat « saveurs » à 6,55 $) comprend le
potage, le plat principal servi avec un
accompagnement au choix, ainsi qu’un
dessert et une boisson.
Lundi
Pâté au boeuf
Tortellini au fromage, sauce tomate
Mardi
Boulettes de dinde au cari
Mijoté marocain
Mercredi
Veau Marengo
Omelette aux légumes
Jeudi
Burritos au boeuf et aux haricots
Roulade végétarienne
Vendredi
Blanquette aux deux viandes
Poisson pané
Autres services offerts
• Mets sautés : plusieurs choix de
garniture (poulet, crevettes, boeuf,
légumineuses, tofu). Optez pour des
pâtes ou de la salade : les possibilités
sont nombreuses !
• Zone baja : de délicieux sandwichs
faits sous vos yeux, avec les
ingrédients que vous aurez choisis !
• La route du blé
• Casse-croute
• Plats pour emporter
Publication
Éditrice
Rédactrice en chef
Réviseurs linguistiques
Graphiste
Mise en page
Imprimeur
Dépôt légal
: Service des communications
: Anne-Marie Lacombe
: Marie-Lou Bouchard
: Francine Bousquet Pascal et
Benoît Dugas
: Renaud Paquet
: Denise Courtine
: Impartitions X-Nex inc.
: Bibliothèque nationale du Québec
Bibliothèque nationale du Canada
ISSN : 0318-2622
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