Peut-on apprendre à etre heureux 29 septembre 2011.pub

Jeudi 13 octobre 2011
A la découverte du Réseau Idée
Information et diffusion en éducation à
l'environnement
Jeudi 29 septembre 2011
de 12 heures à 14 heures
Espace Rencontres – 2
ème
étage
Parking aisé
Peut-on apprendre à être heureux ?
Par
Matthieu van Pachterbeke
Observatoire de la Santé du Hainaut
Rue de Saint-Antoine 1 – 7021 HAVRE
Tél : 065 87 96 00 – Fax : 065 87 96 79
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LE 26 septembre 2011
MIDI SANTE
DU
BOIS D'HAVRE
Jeudi 29 septembre 2011
Par Matthieu van Pachterbeke
UCL (Faculté de psychologie et des scien-
ces de l'éducation – centre d'étude du
comportement social – centre de psycholo-
gie de la religion), traducteur de
"L’hypothèse du bonheur"
(Jonathan Haidt) – éditions Mardaga.
On apprend à lire et à compter. On s’exer-
ce à certains sports. On suit des recom-
mandations diététiques. Mais on consacre
peu de temps à accroître son potentiel de
bonheur. Un tort selon la psychologie po-
sitive, sur laquelle se penche le psycholo-
gue Jonathan Haidt dans « L’Hypothèse du
bonheur » (Mardaga).
Peut-on apprendre à être heureux ?
Peut-on apprendre à être heureux ?
On s’est longtemps intéressé aux problèmes de
santé physique comme mentaux. Pour preuve :
l’existence du fameux DSM IV, manuel statistique
et diagnostique des désordres mentaux dont la
première version date de plus de quarante ans.
Des chiffres illustrent bien l’intérêt généralement
porté par la communauté scientifique aux mala-
dies plutôt qu’aux ressources favorables à la san-
té mentale comme physique. On recensait ainsi
en 1978 plus de 10 000 études sur la dépression
contre 1000 sur le bien-être, soit un rapport de
1/100. Heureusement, avec le temps, le rapport
se modifie en faveur des facteurs protecteurs
pour la santé physique, mentale et sociale, puis-
qu’en 2000, on enregistre un rapport de
1/21. On doit ce passage d’un modèle de la ma-
ladie à un modèle de la santé à des tenants de la
psychologie positive. Le courant s’est largement
répandu en Europe. La psychologie positive étu-
die les conditions qui favorisent l’épanouisse-
ment des individus et des groupes. Elle porte sur
les ressources qui contribuent au bien-être per-
sonnel, mais aussi interpersonnel (à l’école, au
travail, dans le couple, en société). Aller bien,
cela peut s’apprendre. Le bonheur ne tombe pas
du ciel. Pourquoi ne pas compter sur soi ? Com-
ment ? A force de recherches scientifiques, la
psychologie positive a dégagé une équation du
bonheur : G+C+A.
Loin d’être une formule magique, l’équation
pointe trois facteurs qui entreraient en ligne de
compte dans notre niveau de bonheur :
nos pré-
dispositions génétiques (G), les conditions de
vie (C) et les activités que nous menons (A).
A explorer lors du
Midi Santé
.
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