La corrosion vendredi 21 mars 14 Page|4 I - CORRO OSION D’UN N MÉTAL page 4 Fe O2(g) + 2H2O+4e2Fe + O2 + 2H2O Fe2++2e4OH2Fe2+ + 4 OH- La corro osion des métaux m déssigne les ph hénomènes suivant lessquels les m métaux purs s, ou alliés,, ont tendan nce à s'oxyd der sous l'a action de ré éactifs gazeux ou en solution pour donner de es ions soitt en solution n, soit dans un solide. AST – LP ROMPSAY Autre illu ustration dess dégâts ca ausés par co orrosion : vendredi 21 mars 14 La corro osion des métaux m déssigne les ph hénomènes suivant lessquels les m métaux purs s, ou alliés,, ont tendan nce à s'oxyd der sous l'a action de ré éactifs gazeux ou en solution pour donner de es ions soitt en solution n, soit dans un solide. page 4 Autre illu ustration dess dégâts ca ausés par co orrosion : Le problème e de la a osion a aujourd’huii corro toujo ours une importance e considérable. Du D point de e vue économiq que, cette e osion a un n coût trèss corro élevé é, car chaq que année,, près du qu uart de la prroduction d’acier (la prroduction mondiale m d’a acier est voisine de 1 milliard m 527 7 millions de e tonnes en n 2011 – à comparer aux a 200 miillions de to onnes de 1950) est dé étruit par la a corrosion, en passantt à l’état de rouille Fe2O3,xH2O. vendredi 21 mars 14 extrait du site du LEM MMA : vendredi 21 mars 14 Page|7 Dans la su uite, nous n’envisageo ons que les phénomè ènes de co orrosion hu umide, c’es st à dire la a corrosion due d à des oxydants o e solution en n aqueuse, ou alors à des oxydan nts présents dans une e 1 euro par jour par personne = coût de sont en phase gazeusse (cette co orrosion est étudiée grâ âce aux diag grammes d’Ellingham)). la corrosion en France atmosphè ère humide e. Nous n’en nvisageons pas ici la corrosion c ditte sèche, o où les agentts oxydantss ECT THERM MODYNAMIQUE DE LA L CORROS SION D’UN N MÉTAL II - ASPE L’étude the ermodynam mique des phénomène p es de corro osion humid de fait interrvenir les diagrammess potentiel-p pH (ou diagrramme de Pourbaix). P O distingue On e trois doma aines dans ces diagram mmes : vendredi 21 mars 14 immunité passivité corrosion A connaître vendredi 21 mars 14 sont en phase gazeusse (cette co orrosion est étudiée grâ âce aux diag grammes d’Ellingham)). ECT THERM MODYNAMIQUE DE LA L CORROS SION D’UN N MÉTAL II - ASPE page 7 L’étude the ermodynam mique des phénomène p es de corro osion humid de fait interrvenir les diagrammess potentiel-p pH (ou diagrramme de Pourbaix). P O distingue On e trois doma aines dans ces diagram mmes : dom maine d’IMM MUNITÉ : le e métal est stable therm modynamiq quement dans ce doma aine. dom maine de CORROSIO C ON : le mé étal est ox xydé en une espèce e soluble. On admett gén néralement qu’ un mé étal est corrrodable si la quantitté qui peut être diss soute dans s l’ea au est vois sine de 1,,0.10-6 mol.L-1 d’eau. On trace donc les d diagrammes s pour dess -1 con ncentrationss voisines de d 1,0.10-6 mol.L m (1µm mol.L-1) pour les ions en n solution. dom maine de PASSIVITE P : la passivité (ou pas ssivation) est la forma ation sponta anée d’une e cou uche protecctrice mince e et compaccte (généralement d’un n oxyde) à la a surface d’un métal. : cettte couche e solide fa ait écran et protège le métal de toute oxydation ultérieure : l'oxxydation estt possible mais m elle estt infiniment lente. Les films passivants p ( (oxydes ou autres) doivent compacts, inerte es, bien adh hérents au métal m qu’ilss protègent. vendredi 21 mars 14 cou uche protecctrice mince e et compaccte (généralement d’un n oxyde) à la a surface d’un métal. : On remarquera que les diagrammes potentiel-pH lors de l'étude de la corrosion font intervenir cettte couche e solide fa ait écran et protège le métal de toute oxydation ultérieure : souvent les oxydes là où on envisageait jusqu'à présent les hydroxydes, parce que les oxydes l'oxxydation estt possible mais m elle estt infiniment lente. sont plus stables (mêmes s'ils se forment moins rapidement) et permettent de mieux expliquer les phénomènes rencontrés. Les films passivants p ( (oxydes ou autres) doivent compacts, inerte es, bien adh hérents au métal m qu’ilss protègent. Diagramme potentiel-pH du fer : concentration totale des espèces en solution : 1,0.10-6 mol.L-1 PASSIVITE CORROSION IMMUNITE La partie de l'image av ec l'ID de relation rId32 n'a pas été trouv é dans le fichier. Identifier les domaines d'immunité, de corrosion et de passivité (ou passivation) du fer sur le diagramme ci-dessus. vendredi 21 mars 14 Page|9 E/V passivité corrosion immunité Figure 1 : diagramme potentiel -pH du bismuth c = 1 .10-6 mol.L-1 E/V pH passivité corrosion vendredi 21 mars 14 P a g e | 100 guera : Par ailleurss, on disting Mé étaux passivvés : ils so ont recouve erts d'une couche pro otectrice d'o oxyde solid de : Cr2O3, Al2O3, TiO2 ou encore PbO… Mé étaux corrod dables : Leur oxydatio on se pours suit en perm manence ca ar la rouille protectrice e est perméable e au dioxygè ène. La pré ésence de dioxygène d est un factteur déterm minant des phénomèn nes de corrosion. La partie de l'image av ec l'ID de relation rId32 n'a pas été trouv é dans le fichier. vendredi 21 mars 14 er sur le dia agramme le es zones de e corrosion,, d’immunité é, de passivité sur le diagramme e Précise Mé étaux corrod dables : Leur oxydatio on se pours suit en perm manence ca ar la rouille protectrice e pageperméable est e au dioxygè ène. 10 La pré ésence de dioxygène d est un factteur déterm minant des phénomèn nes de corrosion. er sur le dia agramme le es zones de e corrosion,, d’immunité é, de passivité sur le diagramme e Précise tentiel-p pH de l’alum minium : vendredi 21 mars 14 P a g e | 111 page 10 PASSIVIITE CORROS SION CORRO OSION IMMUNITE vendredi 21 mars 14 page 11 Figure 2 : iPod shuffle en aluminium anodisé vendredi 21 mars 14 page 12 Coupe schématique d’une plaque de fer rouillée III- P a g e | 13 Coupe schématique d’une plaque d’aluminium oxydée ASPECT CINÉTIQUE DE LA CORROSION D’UN MÉTAL 1. La corrosion électrochimique La corrosion humide est la plupart du temps de nature électrochimique(le métal est ici l'électrode siège de la réaction). Elle se manifeste lorsque deux métaux et l’électrolyte sont en présence et qu’il existe une hétérogénéité soit dans le métal, soit dans la solution. Il existe alors des piles locales, piles de corrosion appelées également micropiles. On distingue plusieurs types de piles de corrosion. avendredi -Les piles 21 marsde 14 corrosion à électrodes dissemblables ou la corrosion galvanique vendredi 21 mars 14 Coupe schématique d’une plaque de fer rouillée III- Coupe schématique d’une plaque d’aluminium oxydée ASPECT CINÉTIQUE DE LA CORROSION D’UN MÉTAL 1. La corrosion électrochimique La corrosion humide est la plupart du temps de nature électrochimique(le métal est ici l'électrode siège de la réaction). Elle se manifeste lorsque deux métaux et l’électrolyte sont en présence et qu’il existe une hétérogénéité soit dans le métal, soit dans la solution. Il existe alors des piles locales, piles de corrosion appelées également micropiles. On distingue plusieurs types de piles de corrosion. a -Les piles de corrosion à électrodes dissemblables ou la corrosion galvanique Elles sont constituées de deux pièces métalliques de nature différente : c’est le cas par exemple d’une pièce en zinc au contact d’une autre pièce en fer, ou en cuivre par exemple. Ces pièces sont au contact de l’eau. Expérience 1 : un clou et une plaque de cuivre plongent dans une solution aqueuse de chlorure de sodium désaérée et sont mis en contact par un fil extérieur. L’eau est désaérée : ce n’est donc pas le dioxygène qui peut être réduit dans cette expérience. vendredi 21 mars 14 P a g e | 14 Fer Cuivre OBSERVATIONS : Eau désaérée contenant NaCl 1 mol.L -1 clou cuivre bulle de dihydrogène vendredi 21 mars 14 Eau désaérée contenant NaCl 1 mol.L -1 clou cuivre bulle de dihydrogène Couleur rouge de l orthophénantroline Couleur rose de la phénolphtaléine Dans la solution, l’orthophénantroline ajoutée est incolore. La solution prend une couleur rouge au Le fer est oxydé... voisinage du clou : il y a formation du complexe [Fe(Phen)3]2+, qui est rouge. vendredi 21 mars 14 P a g e | 15 Définition du potentiel mixte : c’est le potentiel commun pris par deux métaux en contact ; on l’appelle aussi potentiel de corrosion. Refaisons la même expérience, mais avec une lame de zinc à la place du cuivre : Fer OBSERVATIONS : Zinc Eau désaérée contenant NaCl 1 mol.L -1 clou zinc vendredi 21 mars 14 Eau désaérée contenant NaCl 1 mol.L -1 clou zinc Pas de couleur rouge l orthophénantroline Couleur rose de la phénolphtaléine dépôt d hydroxyde de zinc Couleur rose de la phénolphtaléine Le fer n’est pas oxydé... vendredi 21 mars 14 Refaisons la même expérience, mais avec une lame de zinc à la place du cuivre : Eau désaérée contenant NaCl 1 mol.L -1 Fer clou cuivre OBSERVATIONS : Zinc Fe protégé Eau désaérée contenant NaCl 1 mol.L -1 bulle de dihydrogène Couleur rouge de l orthophénantroline Couleur rose de la phénolphtaléine Fe oxydé Pas de couleur rouge l orthophénantroline Dans la solution, l’orthophénantroline ajoutée est incolore. La solution prend une couleur rouge au voisinage du clou : il y a formation du complexe [Fe(Phen)3]2+, qui est rouge. vendredi 21 mars 14 Couleur rose de la phénolphtaléine clou zinc dépôt d hydroxyde de zinc Couleur rose de la phénolphtaléine Quelqu ues jourrs plus tard vendredi 21 mars 14 Fe protégé Fe oxydé au contact de Cu vendredi 21 mars 14 au contact de Zn le zinc est un hydroxyde amphotère Zn2+ Zn(OH)42- Zn(OH)2 Dans ce test, t on met en évid dence les ions Zn2+, et le caractère préciisément mp photère de e l’hydroxyde e de zinc Zn n(OH)2(s). vendredi 21 mars 14 P a g e | 18 page 17 Interprétation à l’aide des courbes intensité-potentiel : i / mA Zn Zn2+ Le potentiel mixte EM est le potentiel commun des deux métaux qui sont en contact. Fe Fe2+ EM - 0,7 V H2(g) H2O sur Fe b. Corrosion uniforme vendredi 21 mars 14 - 0,4 V E / ESH sur Fe b. Corrosion uniforme Expérience 2 : verser un peu d’acide chlorhydrique environ 1,5 molaire dans un petit bécher. Y plonger une petite lame de zinc. Observer. Tremper ensuite le clou de fer dans la solution sans toucher le zinc et observer. P a g e | 19 Ensuite, relier les deux pièces métalliques et observer. Interpréter ce que vous observez à l’aide OBSERVATIONS : potentiel E2 que des courbes intensité-potentiel tracées ci-dessous. En particulier, déterminer le prennent les deux électrodes lorsqu’elles sont court-circuitées et placer également i2, courant proportionnel à la vitesse d’oxydation du zinc. Préciser quelle réaction a lieu à l’anode et quelle réaction a lieu à la cathode. vendredi 21 mars 14 i3 très important i2 notable i1 très faible Zn Zn2+ Fe Fe2+ E / ESH H 2O H2(g) sur Zn vendredi 21 mars 14 sur Fe P a g e | 20 R Lame de fer Lame de fer Fe2+)0 : 0,1 mol.L-1 Fe2+)0 : 0,2 mol.L-1 Pont salin : NH4+ + NO 3- retenu dans un gel d'agar-agar La concentration en oxydant n’est pas la même dans le compartiment de gauche et dans celui de droite : la pile va débiter dans le sens tendant à ramener le système à l’équilibre, donc les concentrations à égalité. d. corrosion différentielle : pile d’Evans et aération différentielle vendredi 21 mars 14 P a g e | 20 pôle + pôle - R Lame de fer Lame de fer Fe2+)0 : 0,1 mol.L-1 Fe2+)0 : 0,2 mol.L-1 Pont salin : NH4+ + NO 3- retenu dans un gel d'agar-agar La concentration en oxydant n’est pas la même dans le compartiment de gauche et dans celui de droite : la pile va débiter dans le sens tendant à ramener le système à l’équilibre, donc les concentrations à égalité. d. corrosion différentielle : pile d’Evans et aération différentielle vendredi 21 mars 14 P a g e | 20 pôle + R e- pôle Lame de fer Lame de fer Fe2+)0 : 0,1 mol.L-1 Fe2+)0 : 0,2 mol.L-1 Pont salin : NH4+ + NO 3- retenu dans un gel d'agar-agar La concentration en oxydant n’est pas la même dans le compartiment de gauche et dans celui de droite : la pile va débiter dans le sens tendant à ramener le système à l’équilibre, donc les concentrations à égalité. d. corrosion différentielle : pile d’Evans et aération différentielle vendredi 21 mars 14 P a g e | 20 pôle + R e- pôle Lame de fer Lame de fer ANODE CATHODE Fe2+)0 : 0,1 mol.L-1 Fe2+)0 : 0,2 mol.L-1 Pont salin : NH4+ + NO 3- retenu dans un gel d'agar-agar La concentration en oxydant n’est pas la même dans le compartiment de gauche et dans celui de droite : la pile va débiter dans le sens tendant à ramener le système à l’équilibre, donc les concentrations à égalité. d. corrosion différentielle : pile d’Evans et aération différentielle vendredi 21 mars 14 P a g e | 20 pôle + R e- pôle Lame de fer Lame de fer ANODE CATHODE Fe2+)0 : 0,1 mol.L-1 Fe2+)0 : 0,2 mol.L-1 Pont salin : NH4+ + NO 3- retenu dans un gel d'agar-agar Clou qui droite : la pile va débiter dans le sens tendant à ramener le système à s’oxyde l’équilibre, donc les La concentration en oxydant n’est pas la même dans le compartiment de gauche et dans celui de concentrations à égalité. d. corrosion différentielle : pile d’Evans et aération différentielle vendredi 21 mars 14 rentielle : pile d’Evans et aération différentielle concentration célèbre est la pile d’aération différentielle, ou pile d’Evans. e3: TP Dans un tube à essais, verser le mélange à u base d’agar-agar et introduire le clou de façon à ce que son extrémité supérieure reste à l’air libre. Maintenir le clou vertical jusqu’à la prise du gel. Après quelques heures, on observe une coloration autour de la partie profonde du clou et une autre autour de celle située près de la surface du gel. Interpréter en tenant compte des indications ci-dessous. phénolphtaléine : vous connaissez son rôle. ferricyanure de potassium : c’est l’hexacyanoferrate(III) de potassium. En présence d’ions ferreux, on observe la précipitation du ferricyanure ferreux Fe3[Fe(CN)6]2 de couleur bleue (bleu de Turnbull). vendredi 21 mars 14 Expérience 3 : Clou P a g e | 21 Extrait de sujet d’écrit vendredi 21 mars 14 au bout de quelques heures... vendredi 21 mars 14 Expérience 4 : Variante : expérience de la goutte d’Evans ou de la cocarde tricolore ! formation de HOformation de Fe2+ Fer formation de rouille vendredi 21 mars 14 P a g e | 23 O2(aq) + Na Cl Cl- Na+ - eau salée O 2(aq) O2(aq) OH-(aq) OH-(aq) O2(aq) Fe(OH)3(s) e- vendredi 21 mars 14 Fe2+(aq) Fe2+(aq) Fe2+(aq) Fe(s) Fe(s) Fe(OH)3(s) e- O2(aq) O2(aq) Cl- Na+ Na+ Cl- eau salée O 2(aq) O2(aq) OH-(aq) OH-(aq) O2(aq) Fe(OH)3(s) e- Fe2+(aq) Fe2+(aq) 2+ Fe Fe(s) Fe(s) Autre illustration de la formation de la rouille : 38 vendredi 21 mars 14 Fe(OH)3(s) (aq) e- O2(aq) Noter vos observations et interpréter. Dans les deux expériences, la quantité d’oxygène n’est pas partout la même: il y a une aération différentielle. L’attaque du fer (corrosion) se développe-t-elle là où il y a l’oxygène ou là où l’oxygène est en défaut ? La réduction du dioxygène se produit-elle sur le fer à l’emplacement le plus riche en dioxygène ou le plus pauvre ? ARGILE : imperméabilité à O 2 SABLE : forte perméabilité à O2 vendredi 21 mars 14 page 23 P a g e | 25 5 vendredi 21 mars 14 IV - PROTECTION CONTRE LA CORROSION On peut protéger le fer par une couche protectrice de peinture ou par un film plastique. Ce film doit être parfaitement résistant et totalement imperméable, car toute piqûre du film protecteur est source de corrosion. 1°) Mise en évidence de la passivation du fer. On se propose ici d’enregistrer la branche anodique de la courbe intensité-potentiel de métaux passivables (on se limitera au cas du fer ici) pour montrer la passivation de ceux-ci. La passivation est l’oxydation d’un métal en un composé solide protecteur qui le protége alors d’une oxydation ultérieure. Le dispositif expérimental dont vous disposez est le suivant : vendredi 21 mars 14 Résultat expérimental : vendredi 21 mars 14 P a g e | 299 transpassivité corrosion immunité passivité Voirr expérienc ce du clou plongé dan ns l’acide nitrique n fum mant C Clou de la séance, s cettte manipula ation est spe ectaculaire !! vendredi 21 mars 14 Expérience : la passivité du fer... Le clou est d’abord dégraissé et décapé avec du papier de verre. Il est ensuite plongé dans la solution d’acide nitrique fumant (solution jaune), contenant plus de 90 % de HNO3 en masse) : le fer est passivé. Il est ensuite plongé dans la solution de sulfate de cuivre 0,2 mol.L-1, (solution bleue). Aucune réduction des cuivre par le fer n’est observée parce que le film passivant protège le fer. Tapons le clou contre un objet, le film passivant se brise et ne protège plus le fer : la réduction des ions cuivre par le fer est immédiate, donnant alors au clou sa couleur rouge. vendredi 21 mars 14 Expérience... acide nitrique FUMANT... vendredi 21 mars 14 acide nitrique FUMANT... Fe Zinc Zn vendredi 21 mars 14 Gel agar-agar contenant : *phénolphtaléïne *K3Fe(CN)6 frricyanure de potassium Clou Zinc vendredi 21 mars 14 P a g e | 34 Fe Cuivre vendredi 21 mars 14 Cu Gel agar-agar contenant : *phénolphtaléïne *K3Fe(CN)6 frricyanure de potassium Clou Cuivre vendredi 21 mars 14 Protection par anode sacrificielle aluminium vendredi 21 mars 14 zinc magnésium P a g e | 33 Autre exemple : la protection d’une canalisation en fer : Zn vendredi 21 mars 14 Al vendredi 21 mars 14 3°)Autres moyens de protection de différents métaux : C’est l’oxyde de chrome Cr2O3 qui est l’additif à la base des aciers inoxydables. Un acier inoxydable contient au moins 12 % de chrome. Protection d’un moteur par chromage vendredi 21 mars 14 Protection d’une œuvre par plaquage d’or FIN vendredi 21 mars 14 vendredi 21 mars 14 vendredi 21 mars 14 vendredi 21 mars 14 vendredi 21 mars 14 vendredi 21 mars 14 vendredi 21 mars 14