cote d`ivoire

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Abidjan, décembre 2009 /janvier 2010.
CÔTE D’IVOIRE : RENOUVEAU ECONOMIQUE ET SOCIAL
AVEC LE PDCI-RDA (version illustrée et commentée)
INTRODUCTION :
Les populations ivoiriennes vont voter pour désigner démocratiquement leurs nouveaux
responsables, après près d’une décennie de frustrations électorales suscitées par l’actuel régime.
La gouvernance mitigée mise en œuvre, l’impact négatif de la guerre et ses conséquences,
l’actuelle situation d’absence de paix, les conflits sociaux divers, etc., ont transformé ce pouvoir
et l’ont réduit en un système politique miné et contreproductif.
Le préjudice subi par le pays et le peuple ivoirien est lourd. Il doit donc être dit pour rappeler
les dangers électoraux actuels liés à des choix politiques controversés pour l’avenir de la Côte
d’Ivoire, en tant qu’Etat, peuple et Nation.
La Côte d’Ivoire doit renaître avec le PDCI-RDA, le parti politique de tous les Ivoiriens. Les
arguments ci-dessous esquissés justifient le soutien sans réserves à donner à ce parti politique
aux prochaines élections générales.
1 - L’EFFONDREMENT D’UN PAYS PROMIS A UN BEL AVENIR :
Avant l’année 2000 et lorsque le PDCI-RDA était au pouvoir, la Côte d’Ivoire présentait le
visage d’un pays sérieux aux plans politique, économique et social.
Au plan politique, le régime houphouëtiste, fondé sur la démocratie libérale, a réussi à faire de
la Côte d’Ivoire une référence régionale en matière de paix et de stabilité politique, dans un
environnement sujet à la guerre et aux crises multiformes.
M. Félix Houphouët-Boigny, premier Président de la Côte d’Ivoire
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Le Prix Félix Houphouët-Boigny pour la recherche de la paix de l’UNESCO, (décerné cette
année au Président brésilien Luiz Inacio Lula da Silva), constitue une reconnaissance
internationale des efforts de paix mis en œuvre pendant toute sa vie par le premier Président de
la République ivoirienne.
Le Président brésilien, M. Luiz Inacio Lula da Silva
Cette politique sera poursuivie dans ses grandes orientations par son successeur, M. Henri
Konan Bédié, qui a consolidé l’orientation libérale de la Côte d’Ivoire et le développement
harmonieux et sans discrimination de toutes les régions du pays.
Au plan économique et social, la Côte d’Ivoire a été véritablement construite comme un pays
agricole moderne, avec une économie relativement diversifiée, des infrastructures économiques
et sociales de bon niveau, des entreprises performantes ouvertes sur le monde, une
Administration efficace avec des agents recrutés selon des standards de transparence et de
mérite, etc. Ce miracle est le fruit de la bonne gouvernance et ne repose pas sur l’exploitation
de ressources naturelles importantes.
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Côte d’Ivoire : une agriculture moderne et compétitive en cours de destruction : gouvernance hasardeuse,
détournements massifs dans les filières agricoles, problème de modernisation des exploitations, défaillance de l’agroindustrie, etc.
Malheureusement, ce sont tous ces efforts qui ont été anéantis depuis 1999. La Côte d’Ivoire
s’est dangereusement appauvrie par une politique de destruction des fondements de son
économie et a stoppé son développement économique et social. Les principales infrastructures
construites se sont clochardisées, faute d’entretiens. Les investisseurs ont fui le pays. Toutes les
ressources nationales se vaporisent dans l’océan des besoins et des prédations de tout acabit, en
l’absence d’une politique de restructuration des dépenses publiques et de création de richesses
nouvelles.
Abidjan, capitale économique de la Côte d’Ivoire, ville paupérisée aujourd’hui et en voie de sous-développement, a
tout perdu de son attrait et de son rayonnement au niveau africain. (Comment en est-on arrivé à ce niveau
inadmissible de délabrement et de gâchis ?)
La Côte d’Ivoire est victime d’une gouvernance non satisfaisante : une sortie de crise
interminable et onéreuse, des problèmes déplacés et non solutionnés, des populations meurtries
et incapables d’impulser le dynamisme, un pays déconsidéré et sans institutions légitimes
depuis 2005, un soutien économique et financier extérieur sincère conditionné à l’organisation
effective d’élections transparentes, etc.
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Les élections à venir sont également attendues de pieds fermes par les populations ivoiriennes
disqualifiées, qui se demandent si leur pays est encore une démocratie libérale.
Dans l’hypothèse de la tenue effective de ces scrutins, les Ivoiriens doivent-ils reconduire au
pouvoir tous ces artisans de la descente aux enfers de leur chère patrie ?
2 – NE PLUS FAIRE CONFIANCE A CEUX QUI ONT DETRUIT LA CÔTE
D’IVOIRE :
En dehors du PDCI-RDA (et de ses alliés houphouëtistes), les Ivoiriens ne doivent plus faire
confiance à des marchands d’illusions. Il est donc souhaitable qu’ils votent clairement contre
tous ces partis et mouvements politiques qui ont ruiné la Côte d’Ivoire.
Les manquements à sanctionner par les électeurs aux prochains scrutins sont :
_ les tentatives malhonnêtes et opportunistes de récupération de l’œuvre politique
d’Houphouët-Boigny dans l’espoir de s’approprier un électorat convoité ;
_ l’introduction en Côte d’Ivoire des violences politiques, de la guerre et de la situation de ni
paix ni guerre, pour diriger le pays sans rendre compte et jouir de ses ressources ;
_ le déploiement des violences particulières issues de la jeunesse dans les écoles et dans les
universités, avec pour conséquence la destruction de l’avenir d’une nation, en remplaçant la
culture de paix forgée sur le mérite par une culture exotique de barbaries ;
_ la destruction de l’économie nationale, en chassant du pays des entrepreneurs sérieux et en
occasionnant la fermeture de diverses entreprises par la mauvaise gouvernance politique, avec
pour conséquence l’appauvrissement de la Côte d’Ivoire et une élévation du nombre des
chômeurs ;
_ l’application insatisfaisante des accords signés, avec pour résultats, des difficultés politiques
interminables, un prolongement sans fin de la crise politique, des grèves à répétition, des échecs
scolaires et des morts dans les hôpitaux et centres médicaux publics ;
_ l’utilisation des médias d’Etat à des fins de propagande politique ;
_ l’ignorance des souffrances des populations rurales et urbaines ivoiriennes, dont certaines ont
tout perdu en une décennie de mauvaise gouvernance, etc.
3 – ADOPTER MASSIVEMENT LE PDCI-RDA ET FAIRE RENAÎTRE LA
PROSPERITE DE LA CÔTE D’IVOIRE :
Le régime politique ivoirien est de type présidentiel, avec un rôle accru dévolu au Président de
la République. Des constitutionnalistes ont même parlé de régime présidentialiste, pour
critiquer le rôle central et omnipotent du Président de la République dans la vie politique et
socioéconomique ivoirienne et dans le fonctionnement des institutions nationales.
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Barack Obama : l’actuel Président des Etats-Unis d’Amérique, pays ayant un régime politique présidentiel.
(Etats-Unis d’Amérique : le régime politique américain est de type présidentiel. Ici, les prérogatives importantes
dévolues au Chef de l’Exécutif baignent en réalité dans un environnement de moralité et de contre-pouvoirs efficaces.
Dans cette démocratie avancée et puritaine, les assassins et les tueurs, les bandits et voleurs de deniers publics, les
époux infidèles, les escrocs notoires, etc., ne peuvent accéder aux plus hautes fonctions de l’Etat. Un exemple à
méditer par les Ivoiriens…)
La conséquence logique de cette situation politique est que si le Président de la République est
un dirigeant ou un manager sérieux, intègre et bienveillant, le pays aura une gouvernance
bonne, efficace et apaisée.
A contrario, si le Chef de l’Exécutif n’est pas bon, le pays ne sera pas bien gouverné. Tout ce
qui compte dans un Etat moderne sera oublié, voire combattu, à savoir la prise en compte des
aspirations des citoyens, la paix et le développement, l’entretien et la consolidation des
infrastructures économiques et sociales, la protection des entreprises et de l’économie nationale,
l’efficacité de l’Administration et sa neutralité, la neutralité de l’Armée et son caractère national
et non ethnique, la justice pour tous, etc.
A terme, le pays sera perverti par l’insouciance et la méchanceté de son leader et de ses
courtisans.
La Côte d’Ivoire, telle que vous l’avez connue et aimée, mérite-t-elle franchement cet avenir
assombri ?
C’est pour cette raison que les populations ivoiriennes de toutes les régions du pays doivent
voter massivement pour le candidat du PDCI-RDA, le seul à même d’assurer le développement
et la cohésion sociale. Ce candidat aux élections présidentielles prochaines se nomme Aimé
Henri Konan Bédié.
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M. Aimé Henri Konan Bédié, candidat du PDCI-RDA aux prochaines élections présidentielles ivoiriennes.
Les arguments qui militent pour le choix de M. Bédié comme prochain Président de la
République de Côte d’Ivoire sont les suivants :
_ le candidat Aimé Henri Konan Bédié n’est pas sanguinaire et il a démontré à plusieurs
reprises, son aversion pour les tueries aveugles et irresponsables de ses compatriotes. La Côte
d’Ivoire est un pays de paix et de non violence. Cette image sacrosainte a été sauvegardée par
M. Bédié et le PDCI-RDA. Aujourd’hui, les réalités sont différentes ;
Côte d’Ivoire : l’une des nombreuses tueries barbares et aveugles qui ont endeuillé les populations ivoiriennes. La
gestion des crimes de cette ampleur et la sanction des criminels relèvent de la communauté et des tribunaux
internationaux.
_ le candidat du PDCI-RDA est un artisan de paix. Il sait toutefois que la paix ne se décrète pas
et qu’elle suppose avant tout une gouvernance sérieuse et respectueuse des vœux légitimes des
populations. M. Bédié inspire donc confiance ;
_ le candidat du PDCI-RDA connaît bien la Côte d’Ivoire et les problèmes spécifiques vécus au
quotidien par ses diverses régions. Dans le cadre des visites fraternelles aux populations locales
et avant toutes formes de doléances, M. Bédié égrène les difficultés spécifiques de cette région
et rappelle les projets précis envisagés pour son développement et suspendus ;
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_ le candidat du PDCI-RDA est d’avis que le développement de notre pays passe par une
croissance économique soutenue et par la construction d’infrastructures économiques et
sociales importantes et diversifiées. Son programme accorde une place de choix à ces priorités
et mérite le soutien de toutes les populations ivoiriennes ;
_ Enfin le candidat du PDCI-RDA est ouvert sur tout ce qui peut œuvrer à l’épanouissement de
son peuple, à savoir : la culture, le sport, les nouvelles technologies, l’écodéveloppement, etc.
Son programme et les réalisations mises en œuvre ressortent ce caractère moderne, durable,
culturel et complet de sa vision du développement.
Côte d’Ivoire : garantir l’indépendance énergétique par les meilleures solutions envisageables est une priorité
constante pour le PDCI-RDA.
CONCLUSION :
Tout sera fait par les institutions ivoiriennes et par la communauté internationale pour garantir
en Côte d’Ivoire dans les jours à venir des élections générales transparentes, libres et ouvertes,
avec tous les électeurs ivoiriens régulièrement inscrits sur les listings électoraux.
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Par votre bulletin de vote, vous pouvez réellement choisir le meilleur des candidats aux
fonctions de Président de la République, de Député ou même de Maire. Ivoiriens et Ivoiriennes,
ne gâchez pas cette chance en optant pour celui qui va plus tard détruire votre pays, votre cité
ou votre région.
Le choix le plus pertinent reste le PDCI-RDA parce que ce parti politique a déjà dirigé ce pays
avec sagesse et efficacité, avec des dirigeants éclairés et justes. Tout sera mis en œuvre au
PDCI-RDA pour vous présenter de bons candidats aux prochaines élections. Entérinez sans
crainte ces choix mûris car vous connaissez votre parti politique, celui qui a construit la Côte
d’Ivoire moderne.
Que l’année 2010 soit donc pour la Côte d’Ivoire une année électorale effective, pour permettre au peuple
souverain de changer enfin de gouvernance par la démocratie.
La fin de l’année 2009, encombrée et jonchée de grèves et de crises multiformes, est difficile. Des vœux
particuliers et intenses de santé sont adressés aux populations ivoiriennes en difficultés sérieuses, du fait
de l’inactivité ou du non fonctionnement des services publics. Ces problèmes auraient pu être évités...
Que l’année nouvelle donne à tous et à toutes, la sagesse nécessaire pour résoudre au mieux et par le
dialogue fraternel toutes ces difficultés qui nous détruisent au quotidien et contribuent à appauvrir notre
pays.
A tous et à toutes, bonne et heureuse année 2010.
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