Allemand – épreuve écrite

Allemand – épreuve écrite
CASSOUX Erika
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L'épreuve se composait de deux exercices :
- un QCM de 40 items visant à évaluer la maîtrise des règles grammaticales et, dans une moindre
mesure, celle du lexique.
- une contraction de texte.
Comme l'année précédente, seulement 7 candidats ont passé l'épreuve d'allemand cette année. Dans
l'ensemble tous les candidats ont bien compris le texte tiré d'un article sur les jeunes immigrés turcs
en Allemagne, publié dans le magazine allemand "Bildung und Wissenschaft" 2004.
Sur les 7 copies, trois en particulier étaient d'un bon niveau, voire d'un très bon niveau (17/20, 16/20
et 15/20), trois d'un niveau très satisfaisant (12/20 et 13/20), et une seule copie a reçu une note en
dessous de la moyenne.
Tous ont bien respecté la limite des 200 mots imposés.
Les fautes constatées de déclinaison et de syntaxe sont assez classiques et portent surtout sur
l'emploi des cas, des genres et notamment de la place du verbe et de l'adjectif qualificatif qui se
décline lorsqu'il est placé devant le nom, mais reste toujours invariable lorsqu'il est placé après. Les
candidats pourraient éviter bien des fautes d'orthographe s'ils respectaient tout simplement les règles
de base, comme par exemple, que tout substantif, sans exception, s'écrit avec une lettre majuscule et
que le complément direct est toujours régi par l'accusatif.
Par ailleurs, le texte soulignant la difficulté pour un jeune sans diplôme de trouver du travail,
certains candidats ont utilisé, en parlant d'un emploi, le terme BERUF (= profession) au lieu du
terme STELLE (= emploi).
D’autres fautes sont dues aux pronoms (IHNEN à la place de SIE) et surtout à la traduction "mot à
mot" des pronoms relatifs par WER à la place de DER ou DIE ainsi qu'à celle de la tournure POUR
CELA par FÜR DAS alors qu'il faut dire DAFÜR.
En conclusion, néanmoins, la majorité des candidats ont fourni un travail satisfaisant tenant compte
du fait qu'il s'agissait d'une contraction de texte et non d'un commentaire.