Allemand – épreuve écrite

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Allemand – épreuve écrite
CASSOUX Erika
L'épreuve se composait de deux exercices :
- un QCM de 40 items visant à évaluer la maîtrise des règles grammaticales et, dans une moindre
mesure, celle du lexique
- une contraction de texte.
Cette année seulement 5 candidats ont passé 1'épreuve d'allemand. Dans 1'ensemble tous les
candidats ont bien compris le texte tiré d'un article sur 1'énergie du futur publié dans le magazine
allemand "Deutschland", Edition 3, 2006.
Sur les 5 copies, trois en particulier étaient d'un bon niveau, voire d'un très bon niveau (17/20 et
16/20 et 15/20) ; les autres ont obtenu, respectivement, 10/20 et 9/20.
Tous ont bien respecté la limite des 200 mots imposés.
Les fautes constatées de déclinaison et de syntaxe sont assez classiques et portent surtout sur
1'emploi des cas, des genres et notamment de la place du verbe. Même les meilleurs candidats
oublient souvent une des règles de base : tout substantif, sans exception, s'écrit avec une lettre
majuscule.
Par ailleurs, le texte soulignant 1'économie d'énergie, le mot "économie" ne peut pas se traduire par
"Sparung", mais par "Sparen" ou "Einsparen".
D'autres fautes sont dues à 1'emploi du comparatif dans le cas d'un adjectif : on ne peut pas, comme
en anglais, placer MEHR (more) devant 1'adjectif, mais on doit ajouter à la fin de 1'adjectif la
terminaison ER. De même le mot "important" n'existe pas en allemand.
J'ai aussi observé que certains candidats ne maîtrisent pas bien 1'emploi des verbes de modalité. En
1'occurrence, "les allemands peuvent (ont choisi de) habiter dans des maisons appelées
"Passivhäuser", l'emploi de DÜRFEN (avoir la permission de) n'est pas approprié.
En conclusion, néanmoins, la majorité des candidats ont fourni un travail satisfaisant tenant compte
du fait qu'il s'agissait d'une contraction de texte et non d'un commentaire.
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