Il faut ensuite identifier les cardinalités et le résultat est le modèle conceptuel de données (voir
annexe 1).
2. Le modèle logique de données relationnelles
Une fois le modèle conceptuel de données établit il faut le transposer en modèle
logique de données relationnelles. Dans notre cas les clés primaires sont soulignées alors que
les clés étrangères sont précédées de #.
Nous avons :
- Produit( id_produit, nom, classe, pourcentage, date_expiration, numerot_lot, prix)
- Fabricant( id_fabricant, nom, taux, #id_produit)
- Ordonnance( id_ordonnance, date)
- Facture(id_facture,somme, date_achat)
- PO( id_produit, id_ordonnance, prescriptions)
- PF(id_ produit, id_facture, quantité)
- FO(id_facture, id_ordonnance)
- Secu( id_secu, #id_produit, type_remboursement, #id_centre)
- CentreGestion( id_centre, nom, lieu, numerocentre)
- Mutuelle( id_mutuelle, #id_client, cotisation, #id_centre, nom)
- CF( id_centre, id_facture, somme_secu, somme_mutuelle)
- Client( id_client, nom, adresse, numero_tel)
- Medecin( id_medecin, nom, adresse, specialite)
- MCO( id_medecin, id_client, id_ordonnance)
- CC( id_centre, id_client, numero_identification)
3. Le modèle physique de données
Il faut maintenant établir le modèle physique de données.
Il y a différentes règles qui permettent de construire le modèle physique de données
relationnelles.
Relation binaire aux cardinalités (X,1) - (X,n), X=0 ou X=1.
La clé primaire de la table à la cardinalité (X,n) devient une clé étrangère dans la table à la
cardinalité (X,1).
Relation binaire aux cardinalités (X,n) - (X,n), X=0 ou X=1.
Il y a création d'une table supplémentaire ayant comme clé primaire une clé composée des
identifiants des 2 entités.
On dit que la clé primaire de la nouvelle table est la concaténation des clés primaires des deux
autres tables.
Si la relation est porteuse de donnée, celles ci deviennent des attributs pour la nouvelle table.
Relation binaire aux cardinalités (0,1) - (1,1).