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DOSSIER PRO
Compagnie / Equipe
> p 2
L’Ogrelet
> p 3 & 4
Fil d'attente
> p 5 & 6
Ateliers
> p 7
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Compagnie Les volets rouges
16 rue Saint James – 33000 Bordeaux
SIRET 51980600014
contact artistique
> Sebastien Sampietro 06 99 69 04 54
contact technique & communication
> Julien Lot 06 29 37 50 28
contact diffusion
> Estelle Martinet 06 63 16 85 48
contact@lesvoletsrouges.net
www.lesvoletsrouges.net
COMPAGNIE
Les Volets Rouges est née en 2006 de la rencontre d'un musicien et d'un comédien, qui, avec leurs vocabulaires
respectifs, souhaitaient s'adresser au jeune public, par des spectacles exigeants et ambitieux.
Cette motivation a résonné avec une grande évidence à la lecture du texte de Suzanne Lebeau "L’Ogrelet", dont nous
avons adapté, en 2007, notre premier spectacle.
Depuis, l’équipe s'est étoffée d'une comédienne, désireuse elle aussi de s'adresser au jeune public.
En 2008 est né « Fil d'attente », création tout public à partir de 6 ans.
La compagnie développe aussi un volet pédagogique sous forme d'ateliers de pratique ou de sensibilisation autour de
ses spectacles.
A travers nos actions artistiques et pédagogiques, notre ambition est de cultiver la curiosité, l’imaginaire et l’inventivité
des enfants, leur inclinaison à s’émouvoir et leur exigence de spectateur.
EQUIPE
Bénédicte Chevallereau
> 2000-2003 : classe d'art dramatique du Conservatoire national de Bordeaux
>
Little Boy
de J.P Cannet, cie du Théâtre Icare
>
Juste la fin du monde
de J.L Lagarce, cie La Nuit venue.
>
Miam
, cie Les enfants du paradis
>
Orphée
et
Le peintre
, cie Tieberghien
>
La conserverie de vieux
et
Les voyages extra-Ordinaires
(actuellement en création), cie La grosse situation
> Nombreux stages suivis en théâtre gestuel, danse de rue et théâtre d'objets
Julien Lot
> 2004 à 2006 : formation intensive au C.I.A.M. de Bordeaux de en guitare-chant-arrangement
> Musicien-comédien dans
Théu
, cie L’Art Hache Scène
(sortie juin 2012)
> Comédien dans
Les Fill'harmonic Von strausse
et
Les cantonniers
, cie Bougrelas
> Compositeur de musiques de spectacles (cie Les volets rouges, Mouka, Farouche, Bougrelas)
> 2006 - 2010 : arrangeur-chanteur-comédien, groupe vocal
La bonne cause
> 2006 - 2008 : musicien-comédien dans
Je suis Personne
, cie L'Art Hache Scène
> 2001 - 2006 : auteur-comédien-musicien dans la cie Le petit à petit : spectacles jeune et tout public
> Nombreux ateliers pour enfants menés en théâtre, écriture de contes et création de chansons
> Nombreux stages en théâtre gestuel, clown et improvisation
Sebastien Sampietro
> 2000 : formation professionnelle au “Théâtre ²2 l'Acte” à Toulouse
> 2000-2003 : classe d'art dramatique du Conservatoire national de Bordeaux
> 2010 : reprise de rôle sur Série B, création danse-chant-musique. cie Hors-Corps
> 2008 : comédien sur la manifestation
Le Printemps des Poètes
, Théâtre des Tafurs
> 2007 : reprise de rôle sur
Je suis personne
, création danse-théâtre-multimédia' cie Art-Hache-Scène
> 2006 : assistant à la mise en scène pour
Mamie Mémoire
, Théâtre des Chimères.
> 2006 : danseur dans
Le Marin
de Fernando Pessoa, Théâtre des Chimères.
> Depuis 2006 : danseur dans
Tribe
, Cie Chen Dance
> 2005 : création et tournée d'un spectacle pluridisciplinaire au Mexique
> 2004 : comédien dans Orphée de Bernard Manciet, cie Tibergien.
> Nombreux ateliers menés auprès d'enfants et d'adolescents
Vincent Bourgeau
Il obtient son Diplôme d’Agent Technique du Spectacle en 1996 en son, lumière, machinerie et électricité.
Technicien Lumière pour L’IDDAC de 1997 à 2000, il multiplie les collaborations en tant que régisseur / technicien
lumière pour le TNBA ainsi que pour le Conservatoire de Bordeaux de 2004 à 2010.
Il est aujourd’hui régisseur lumière de La Boite à Jouer et régisseur général de l'Espace culturel La Forge à Portets et
multiplie les créations lumière pour différentes pièces.
« Les raisons qui m'ont fait choisir cette jeune compagnie tiennent à ses qualités artistiques
auxquelles s'ajoutent de belles qualités humaines dont le respect du public et la générosité ».
Michèle Bousquet, responsable du projet « L'Enfance de l'Art »
au sein du collectif Créaction (St Quentin de Baron, 33)
Théâtre tout public à partir de 6 ans d'après la pièce de Suzanne Lebeau
L'ogrelet vit seul avec sa mère dans une maison au coeur d'une forêt dense, en retrait de la communauté villageoise. Le
jour il commence à fréquenter l'école et les autres enfants, il découvre sa différence : il est le fils d'un ogre que sa
mère a passionnément aimé. Pour apaiser ses pulsions de dévoration et vivre sereinement dans le monde qui l'entoure,
il devra réussir trois épreuves.
Puisant ses origines dans les contes traditionnels, l’histoire de l'Ogrelet, avec ses six ans, sa grande douceur et son
appétit de cannibale illustre dans un ton brut la dualité de l’être humain.
Distribution
Bénédicte Chevallereau > aide à la mise en scène, direction d'acteur, régie son & lumières
Julien Lot > adaptation, mise en scène, scénographie, jeu, musique
Sébastien Sampietro > adaptation, mise en scène, scénographie, jeu
Intentions
Dans notre adaptation, l'unique personnage incarné par un comédien est
celui de l'Ogrelet afin de souligner la solitude dans laquelle il se trouve face
aux épreuves.
Le second personnage de la pièce écrite, la mère, est matérialisé par des
accessoires et rendu vivant par l'adresse de son fils.
Le deuxième comédien, en périphérie, prend le récit et le déroulement de
l'histoire en charge et s'invite en interventions mystérieuses pour symboliser
le père de l'Ogrelet, présumé disparu.
La forme oscille entre récit et jeu, adresse public et quatrième mur.
La scénographie est fidèle à l'atmosphère de la pièce, bois et jute de
l'univers familial, tableau noir de la connaissance et déclinaison du rouge,
symbole et révélateur de toute la problématique de l'histoire.
L'éclairage, intime et contrasté, permet de changer de lieu en un tournemain,
aussi subitement que naissent et meurent les pulsions de l'Ogrelet.
Pourquoi ce texte ?
Dévoration et voyage initiatique, cette pièce intime, vive et contrastée puise sa force et sa structure dans les contes
traditionnels.
Suzanne Lebeau s'adresse aux enfants avec une exigence élémentaire. Au-delà de la qualité littéraire du texte, elle porte
un regard lucide sur la nature humaine. Consciente de notre origine animale, elle éclaire notre caverne, y peignant une
fresque rupestre qui retrace l'évolution de l'humanité.
L'Ogrelet se lance dans un parcours initiatique sur l'échelle du temps, la colonne vertébrale courbée, sans pensée, ni
langage. Mis à l'épreuve, il tente de passer du rang d'animal à celui d'Homme, de l'état d'enfant à celui d'adulte. Eleau
milieu de la forêt, isolé du reste du monde, il ne prend conscience de sa condition que le jour où il se rend à l'école.
Premiers pas vers l'Autre, premiers élans de sociabilisation.
Poids du sang, coups de sang et goût du sang. Une fois révélé le secret de son hérédité, il devra, pour occuper sa place
dans la communauté, prendre en main son destin et se dresser seul face à ses pulsions, "insociables" et insatiables.
L'enjeu pour lui n'est pas de les annihiler mais de mieux les connaître pour les contrôler, de passer de l'état d'ignorance
à l'état de conscience et de devenir libre.
C'est en lui-même que l'Ogrelet voyage dans un double parcours vers la lumière et la connaissance.
Petit Ogrelet deviendra Grand ?
Presse
"Un spectacle jeune public hors norme […] Une pièce à texte menée rondement. [...] La mise en scène et les lumières
magnifient un texte qui, bien que pour les enfants, pose aux adultes la question de la dualité de l'être humain."
F.H.H., Le Républicain, Jeudi 15 mai 2008
Témoignages
"C’est une aventure intime et bouleversante que les deux comédiens, ont fait vivre aux enfants qui fréquentent mon
école. Aucun n’en est ressorti indemne et c’est tant mieux. Vivre la proximité de cette histoire menée avec talent a été
une étape importante en avril 2007. Je recommande l’Ogrelet des Volets Rouges, à tous les coopérateurs petits et
grands, créateurs, acteurs, spectateurs, poètes et plus si affinités."
Marie Françoise Cherbero-Mistaudy, militante et membre du C.A de l’OCCE 24,
directrice de L’école Andrée Boissière de Périgueux, M.A.D. de L’OCCE 24.
"L'adaptation de l'Ogrelet m'a semblée à la fois juste et intelligente, la simplicité et l'efficacité des dispositifs scéniques
sont aussi appréciables, comme la fraîcheur et la sincérité du jeu des comédiens mais aussi leur enthousiasme et leur
créativité."
Michèle Bousquet, responsable du projet « L'Enfance de l'Art »
au sein du collectif Créaction (St Quentin de Baron, 33)
"Les deux comédiens de la Compagnie Les volets rouges proposent une lecture sensible du texte de Suzanne Lebeau et
offrent une mise en scène astucieuse où chaque personnage occupe l’espace en chair et en os mais aussi en voix intime.
Avec un choix scénographique rustique, les spectateurs peuvent se sentir comme à la maison : tantôt rassurés, tantôt
effrayés. Un premier spectacle jeune public dont ils n’ont pas à rougir. Touchant !"
Hélène Rassis, responsable des actions animations
de l’association des arts de la parole interculturelle de Bordeaux
Soutiens
> Association "Pneu-Pno" - Imprimerie Boucherie
> Association "Les arts de la parole interculturelle de Bordeaux St Michel"
> Association "ACROCS"
> Association "Spirales"
> Théâtre National de Bordeaux Aquitaine (T.N.B.A.)
Fiche technique
Durée > 45 minutes
Jauge > 150 personnes maximum
Salle > Obscurité totale
Espace silencieux
Assise du public sur plusieurs niveaux dans salles plates
Espace scénique > ouverture 7m / profondeur 6m / hauteur sous plafond 3m
jeu au sol si hauteur de scène > 60cm
Lumière et son > dans salles non-équipées : autonomie (besoin de 2 lignes de courant 16amp. distinctes) /
dans salles équipées : branchement sur le système de diffusion sonore, nous contacter pour le plan
de feu
Temps de montage > 3h / Arrivée sur le lieu 4h avant le spectacle (prévoir repas et/ou hébergement pour 3 ou 4
personnes en fonction de l'horaire de jeu et de la distance depuis Bordeaux)
Matériel à fournir par l'organisateur > une table d'environ 60 x 100cm pour la régie
Tarif > nous consulter
Librement inspiré de l’album « Moi, j’attends » de Davide Cali et Serge Bloch (Editions Sarbacane),
“FiL d’attente” déroule et tisse en une quinzaine de tableaux le fil de vie d'un personnage à travers ses moments
d'attente, tristes ou heureux, extraordinaires ou quotidiens.
Dans un univers minimaliste, inventif et musical, les trois comédiens-machinistes invitent le public à un jeu de miroir sur
la question universelle de l’attente, changeant de costumes en un tournemain, détournant les objets, se jouant des
codes cinématographiques et des lumières, plantant les décors “à vue” sans ôter leur magie,
“funambulant” sans cesse sur la frontière entre fiction & réalité.
Distribution
Bénédicte Chevallereau > écriture, scénographie, jeu
Julien Lot > écriture, scénographie, jeu, musique
Sebastien Sampietro > écriture, scénographie, jeu
Christophe Andral > écriture, scénographie, regard extérieur
Vincent Bourgeau > régie son & lumières
Intentions
Après notre premier spectacle L'Ogrelet, nous avons initié une recherche sur le thème du fil.
FiL : tracé de vie que l'on déroule en cinémascope, lien qui nous unit et nous attache à la fois, ritournelle d'enfant,
symbole abondamment décliné dans de multiples jeux, professions, activités du quotidien. En cours de réflexion et
d'écriture, nous avons fait la connaissance de l’album jeunesse
Moi, J'attends
(de Davide Cali et Serge Bloch, aux
éditions Sarbacane) dont le thème majeur est l'ATTENTE... qui jalonne notre vie.
Excitante pour un premier rendez-vous, exaltante pour la venue d'un bébé, irritante à la caisse du supermarché, c'est
par son prisme que se déroule la vie du personnage central puis de son couple et de sa descendance...
Cette rencontre fortuite a permis de synthétiser la pensée déroulée pendant les premières semaines de création. Nous
avons alors librement adapté cet album, inventant de nouvelles pages de vie, laissant certaines de côté, revisitant la
matière des dessins et du texte au g de nos désirs et de nos fantaisies. Voilà un éventail de la matière qui a sous-
tendu notre approche et notre travail pour mettre en chair cet album ”à pas feutrés” , en mode « explorateurs ».
Nous voulons ce spectacle tendre, émerveillé, drôle et poétique, comme le regard que nous avons porté sur le livre.
Par le propos et notre traitement artistique, nos ambitions sont d'accompagner le spectateur dans une émotion et une
rêverie à la hauteur de celles de l’ouvrage et de semer en lui les graines de l’imaginaire et de l’inventivité.
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